09/04/2009
la lettre de Solstices N°1
Information diffusée par
Art Point France communication
CINQ CENTS [500] titres
parmi lesquels
livres d'artistes, livres, revues, documents rares
Le lien vers le catalogue, format PDF
à télécharger : ICI
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08/04/2009
TU NE REPARES PAS en 4 volumes à télécharger
Tu rectifies une imperfection de l’œuvre
tu ne répares pas
Yannis Ritsos
Publication interactive des 4 volumes sur la plateforme Calaméo
●●
Cliquez sous les liens ci-dessous :
VOLUME 1
Dominique Sorrente
Emeric de Monteynard
Alain Helissen
Ile Eniger
Jeanine Baude
http://fr.calameo.com/read/000037071dc50d958b9ff
VOLUME 2
Laurent Campagnolle
Patrice Maltaverne
Patrick Hutchinson
Ruth Cadusseau
http://fr.calameo.com/read/000037071c86a12021799
VOLUME 3
Nathalie Riera
Rafael Concejo
Sabine Peglion
Mario Urbanet
http://fr.calameo.com/read/0000370712565d5a2e6d2
VOLUME 4
Artysil
Patricyan
Sylvie Durbec
Cryss2C
Lambert Savigneux
http://fr.calameo.com/read/0000370713f33d8bec693
●●
Si vous souhaitez recevoir l’ensemble au format pdf
m’écrire à voyelles.aeiou@free.fr
18:18 Publié dans Nathalie Riera | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer | | Facebook
03/04/2009
Visages de Séféris (extrait)
La vie est la perpétuelle résurgence des sources – ce qui redonne ce qui a toujours été là.
G. Picon
Visages de Séféris
Gaëtan Picon
Doré comme les pierres de son pays, comme ces rocs depuis toujours brûlés, imprégnés par les sucs, les sels, le rayonnement de l’espace, raviné comme la sécheresse de la terre ocre, craquelée, le visage est celui d’un homme qui s’expose au soleil. Cette démarche lourde, lente, qui fait sonner la route, qui a prise sur les pierres (et je le vois qui se baisse, soupèse l’une d’elles qu’il a ramassée), elle est celle d’un voyageur toujours en chemin, épiant un écho qui n’est pas celui de ses pas, mais la voix d’une chose qu’il va, la découvrant, contraindre à la parole.
(…)
Il s’est exposé au soleil, il s’est exposé à la vie, et sa poésie – d’une langue si simple, proche du langage de tous les jours, de l’oraison du matin et du soir, mais toujours consacrée par la solennité poétique – bien loin d’être celle d’une autre vie, d’un autre monde – est, d’un bout à l’autre, comme celle de Baudelaire, le chant qui sourd de ces heures où l’existence d’un homme, d’un individu particulier, hic et nunc, a pris conscience de sa gravité. Journal de bord, dit-il, comme Ungaretti a dit : Vie d’un homme.
(…)
Mais ce soleil, cette vie à quoi il s’expose, il attend que de leur brûlure et de leur saturation vienne l’exsudation du poème. Voici qu’il les ramène dans ses filets, dans l’ombre de sa bibliothèque d’Athènes, entourée par les flammes du jour – au fond de ce silence, de cette réserve, de cette absence, que l’on devine en lui comme le vide par lequel la plénitude de sa présence est invisiblement tenue. Du soleil à l’ombre, de la communication à la solitude, de l’exil au retour, de l’errance aux racines natales : c’est le rythme d’une vie et d’une poésie.
Hai - Kai
Extrait
Ce corps qui souhaitait fleurir comme une branche,
Porter ses fruits, devenir flûte dans le gel,
L'imagination l'a enfoui dans un essaim bruyant
Pour que passe, et l'éprouve, le temps musicien.
Sur un soleil d'hiver
Extraits
F
Un vent bref, et un autre, bourrasque
Lorsque tu laisses le livre
Et déchires les liasses vaines du passé
Ou te penches
Pour suivre du regard, dans la prairie,
L'ombrageux galop des Centaures
Et les Amazones vernales, suantes
Dans tous les sillons de leur corps;
Qui s'affrontent au saut et à la lutte.
Bourrasque de résurrection, à l'aube,
Quand tu as cru au lever du soleil.
G
Guérison de la flamme, la flamme seule :
Non par le goutte-à-goutte de l'instant
Mais par l'éclair, soudain,
Du désir qui rejoint l'autre désir
- Et chevillés ils restent
L'un à l'autre, et le rythme
D'une musique, au centre
A jamais, la statue
Que rien ne bougera.
Dérive, non, de la durée, ce souffle :
Mais foudre, qui tient la barre.
(Traduction de Yves Bonnefoy)
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Jean-Baptiste Siméon Chardin
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Yves Bonnefoy
Notre besoin de Rimbaud
[Poésie]
Quatrième de couverture
Ce que je crois qu'en tout cas je puis dire de vrai, à propos de Rimbaud, c'est qu'aucun autre que lui ne m'aura requis en poésie par autant d'intensité, d'immédiateté, de proximité dans sa voix. Voix qui elle-même demande, voix qui affirme et bien sûr se trompe, mais se reprend, vit de se reprendre, portée, secouée par les deux grandes forces qui font que l'on est au monde [...] : d'une part l'espérance, qui veut croire possible que l'existence soit un partage et donc que la vie ait un sens, d'autre part la lucidité qui déconstruit les illusions successives en quoi l'espérance s'enlise [...].
Espérance et lucidité, c'est le titre que j'aurais pu donner à ce livre [...]. Mais j'en ai préféré un autre parce que m'alarme de plus en plus un certain déni que je vois qui se répand aujourd'hui de l'intuition proprement poétique, à cause d'une lucidité mal fondée dont la conséquence est un renoncement désastreux à l'espérance. Et que s'inquiéter ainsi, c'est savoir à quel point Rimbaud, que l'heure présente lit peu, ou mal, est et va rester nécessaire.
Lire un grand poète, ce n'est pas avoir à décider qu'il est grand [...], c'est lui demander de nous aider. C'est attendre de sa radicalité qu'elle nous guide, tant soit peu, vers le sérieux dont on est peut-être capable. Je ressens ces approches de Rimbaud, commencées il y a maintenant cinquante ans ou presque, comme surtout une sorte de journal de mon affection pour ce poète.
Editions du Seuil, mars 2009
Dialogue poétique à travers les siècles. Dans ce volume, Yves Bonnefoy rassemble la totalité des écrits qu'il a consacrés à Arthur Rimbaud, depuis son premier livre paru aux éditions du Seuil en 1961 (Rimbaud par lui-même, devenu Rimbaud en 1994 qui occupe à peine plus d'un tiers du volume), jusqu'à " Notre besoin de Rimbaud " écrit en 2008 et qui introduit aujourd'hui aux autres textes. Ce sont des pages où il ne s'attache pas à la qualité proprement littéraire des oeuvres de ce poète, aussi belles et novatrices soient celles-ci, mais où il cherche à comprendre ce qui incita Rimbaud à penser que la transgression de la " vieillerie poétique " lui permettrait de " changer la vie ". Espoir, et ensuite travail, qui font du poème un simple moyen dans une visée dont le lieu et l'enjeu sont l'être au monde. L'idée du livre est encore que, dans l'état actuel de la poésie, intimidée par la pensée issue de Mallarmé, relue par Blanchot (pensée du " neutre " etc.), nous avons besoin de comprendre ce que voulait Rimbaud : à savoir que l'on doit donner du sens et même conférer de l'être à notre condition.
Yves Bonnefoy est professeur au Collège de France. Il a notamment publié dans la même collection Lieux et Destins de l’image et L’Imaginaire métaphysique.
00:39 Publié dans Yves Bonnefoy | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer | | Facebook
31/03/2009
"Tu ne répares pas"
15:24 Publié dans Nathalie Riera | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer | | Facebook
29/03/2009
Antonio di Puccio da Cereto, dit PISANELLO (Pise, 1395 - Rome ( ?) 1455)
PISANELLO
Cheval de trois quarts vers la droite, la tête de face
Source : Musée du Louvre, Paris
11:18 Publié dans CLINS D'OEILS (arts plastiques) | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer | | Facebook
28/03/2009
Eugène Carrière - (1849-1906)
Grâce à l’art, au lieu de voir
un seul monde, le nôtre,
nous le voyons se multiplier,
et autant qu’il y a d’artistes
originaux, autant nous avons
de mondes à notre disposition (…).
Marcel Proust
15:36 Publié dans CLINS D'OEILS (arts plastiques) | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer | | Facebook
27/03/2009
Artavazd Pelechian et sa théorie de la distance
Cinéaste arménien, "poète du réel"
End
"L'une des affirmations de base d'Eisenstein nous est connue depuis longtemps : un plan, confronté au cours du montage aux autres plans, est générateur de sens, d'appréciation, de conclusion. Les théories du montage des années 20 portent toute leur attention sur la relation réciproque des scènes juxtaposées, qu'Eisenstein appelait le " point de jonction du montage " (montznj styk) et Vertov un " intervalle ".
C'est lors de mon travail sur le film « Nous » que j'ai acquis la certitude que mon intérêt était attiré ailleurs, que l'essence même et l'accent principal du montage résidaient pour moi moins dans l'assemblage des scènes que dans la possibilité de les disjoindre, non dans leur juxtaposition mais dans leur séparation. Il m'apparut clairement que ce qui m'intéressait avant tout ce n'était pas de réunir deux éléments de montage, mais bien plutôt de les séparer en insérant entre eux un troisième, cinquième, voire dixième élément.
En présence de deux plans importants, porteurs de sens, je m'efforce, non pas de les rapprocher, ni de les confronter, mais plutôt de créer une distance entre eux. Ce n'est pas par la juxtaposition de deux plans mais bien par leur interaction par l'intermédiaire de nombreux maillons que je parviens à exprimer l'idée de façon optimale. L'expression du sens acquiert alors une portée bien plus forte et plus profonde que par collage direct. L'expressivité devient alors plus intense et la capacité informative du film prend des proportions colossales.
C'est ce type de montage que je nomme montage à contrepoint."
Artavazd Pelechian, extrait de Mon Cinéma, traduction Barbar Balmer-Stutz.
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26/03/2009
Dziga Vertov (1896-1954) - L'homme à la caméra
Cinéaste soviétique d’avant-garde.
Kine eye/L’homme à la caméra, 1929, film muet.
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23/03/2009
Yves Hayat
C O M M U N I Q U É D E P R E S S E
Exposition
Yves HAYAT
L’illusoire réel et le réel illusoire
Exposition du 6 au 31 mars 2009
Galerie Bernard Mourier
Place du Général de Gaulle 13210 Saint-Rémy-de-Provence
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Nos enfants nous accuseront
Un film de Jean Paul Jaud (2008)
Dans un petit village français au pied des Cévennes, le maire a décidé de faire passer la cantine scolaire en bio. Ici comme ailleurs, la population est confrontée aux dangers de la pollution agrochimique. Ici commence un combat pour que demain nos enfants ne nous accusent pas.
La projection du film a eu lieu à Draguignan vendredi 20 mars dans le cadre de la "Semaine sans pesticides" en Dracénie jusqu'au 30 mars 2009.
Informations www.amapd.org
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16/03/2009
Que Yo, ...
« Que yo, Sancho, naci para vivir muriendo »
Cervantes, Don Quichotte
(Vois-tu, Sancho, je suis né pour mourir ma vie)
« QUE YO, … »
Le temps est à écouter
rumeur de vent de mer
le centre en prière
aigue la beauté
que je luise d’un seul trait
un rien vêtu de joie
guérir
le vide
----------------------------------
et dans cette conjonction,
rencontrer la pierre
(le souffle ne perd pas sa longueur)
en un point de la route
en un rond-point des jours
vitesse des phrases
les vagues frappent
la lumière traverse
arche et hanche
l’eau glisse s’infiltre
et dans cet abouchement,
remonter le courant
l’immensité qui nous manque
Que yo, …, dans le haut
clappement l’eau
de la langue
dans cet inoubliablement être
©Texte inédit, 2009 : Nathalie Riera
http://virgulesdepollen.canalblog.com
10:39 Publié dans Nathalie Riera | Lien permanent | Commentaires (3) | Imprimer | | Facebook
12/03/2009
Virgules de pollen est ses rubriques
■Poésie contemporaine■
En ô du pré
Au PAS du lavoir
■■■avec Pascal Boulanger
Richard Skryzak, etc■■■
cliquer ci-dessous :
Espace
Virgules
de
pollen
■■■
http://virgulesdepollen.canalblog.com
crée par Nathalie Riera
11:31 Publié dans CLINS D'OEILS (arts plastiques) | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer | | Facebook
09/03/2009
Bulletin des Carnets d'eucharis n°4
9 Mars 2009
SOMMAIRE………
Luis Gonzales Palma
Les « Fusées ξt Paperoles » de Pascal Boulanger
La Galerie du tableau avec Richard Petit
Béatrice Machet, Guenane Cade
Richard Skryzak
Samuel Beckett chez Regard au Pluriel
La Caravane Poétique 2009 du Scriptorium à Marseille
22:52 Publié dans LES CARNETS D'EUCHARIS (pdf & calaméo) | Lien permanent | Commentaires (1) | Imprimer | | Facebook
Sermons aux oiseaux - (Lecture de Brigitte Donat)
François Cassingena-Trévedy :
Sermons aux oiseaux
Cinquante homélies pour le temps qui demeure
Préface de Sylvie Germain
Ad Solem , Genève (Suisse)
Parution : décembre 2008
Nous aurions tort de devenir des oiseaux de mauvaise grâce, sourds, rétifs aux sermons. Car le sermon, plus précisément l’homélie est un genre d’expression musicale : un rondeau de la Parole qui revient sur elle-même en ouvrant un espace infini.
François Cassingena, moine bénédictin, retourne inlassablement aux Ecritures et s’abouchant à la Parole, s’en fait l’instrument. Descendant sans fin de la Montagne, elle prend son essor, se déploie, nous exhorte d’aimer et louer Dieu. Brillant exégète, l’auteur possède cependant l’art de transcender une nécessaire rhétorique au bénéfice d’une poétique. N’est-elle pas essentielle au Verbe afin qu’il s’éprenne de notre chair, pousse le lecteur à s’alléger, à s’enchanter davantage ? Séminale, subversive, elle est sœur de la foi qui opère des déplacements, étant bien entendu que le premier arbre qu’elle déracine comme la première montagne qu’elle transporte, c’est nous-même. Invité à l’habitation du désert, c'est-à-dire le dedans, nous serons amenés à découvrir que cette région de l’homme est immense. Elle délie le regard pour voir que les Trois Noms sont écrits sur toutes les fleurs des champs.
Sermon aux oiseaux rappelle que la Parole s’espace de silence. Laisse immense de Jésus en son retirement. Laisse marine. Jésus est une mer et sa laisse est l’amour.
Brigitte Donat
08:56 Publié dans NOTES DE LECTURES/RECENSIONS | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer | | Facebook
08/03/2009
Richard Skryzak
Richard SKRYZAK
Vidéo, installation
E N T R E E S S A I & P O E S I E
Résonances d’un souvenir florentin
Florence.
Eglise Santa Croce.
Giotto.
Galilée.
Marconi.
Trois noms qui sonnent comme des promesses de sens.
Trois voix qui se sont tues.
Mais continuent d’émettre.
Trois découvreurs.
Triumvirat des ondes tournoyantes.
Mise en mouvement des corps.
Rotation des flux.
Quitter la pesanteur terrestre.
Oeuvrer à ciel ouvert.
Trois voyants.
Ou plutôt deux voyants et un « entendant ».
Réunis en un seul lieu,
Contemporains pour qui daigne prêter l’écoute.
Merveilles de l’anachronisme
Sans qui l’Histoire
Serait illisible.
L’axe Giotto-Marconi.
Et si c’était çà.
Radio a fresco.
La paroi picturale comme chambre d’écho des énergies sonores.
L’icône comme acte manqué de l’audiovisuel.
L’histoire de l’art est une histoire déguisée.
Partout des prières
Pleurs
Plaintes
Lamentations
Batailles
Exécutions
Crucifixions
Concerts des anges
Instruments de musique
Fêtes galantes
Silences.
Cri de Munch.
Vibration pure de la substance sensible.
Déchirure primitive qui signe la venue de l’être au monde.
C’est bien cela que cherche tout artiste
Chaque fois qu’il tente de faire acte de création.
Annonciation.
De quoi parle-t-elle sinon de la Parole elle-même ?
Conversation secrète.
Dispositif favorisant l’intimité des corps.
Plus pour longtemps.
Bientôt la télé-phonie.
Le moment radiophonique accompagne l’éclatement cubiste.
L’Ange Gabriel et la Vierge-Marie communiquent désormais à distance.
La basilique Santa Croce (Firenzi/Florence)
Magie de la radio.
Emission invisible.
Mystère de la réception.
Le charme peut agir.
La séduction est sonore.
Toute voix qu’on sent proche est un chant de sirène.
Sans radio pas de télévision.
Sans télévision pas d’art vidéo.
Syllogisme implacable.
La vidéo.
Image-lumière.
Image-son.
La télé.
Apport principal.
Mettre des images sur des voix.
De l’objet-poste
Au mur-support
L’écran-cadre a trouvé sa place.
Aux côtés de la peinture,
De la photo et du cinéma.
C’est sûrement ce qui pouvait lui arriver de mieux.
Une vraie télévision de création
Est encore possible.
En attendant,
Les écrans rivalisent.
Performances techniques.
Courses économiques.
Quotidiennement
Ils déversent
Inconsistance généralisée.
Que sont les écrans devenus ?
A l’image des programmes.
Plats,
Désespérément
Plats…
Richard Skryzak 2009
Richard Skryzak est né en 1960 près de Valenciennes où il vit et travaille.
Il a une formation littéraire et artistique (Maîtrise d'Arts Plastiques et DEA d'Analyses Littéraires et d'Histoire de la Langue Française). Il s'intéresse à la vidéo depuis 1980 et a réalisé des bandes (Electron, Ecran, Autoportrait à la bulle, L'Arc-en-ciel) et des installations (Coups de Dés, Coups de Foudre, Les Attributs du Vidéaste, In Vidéo Vanitas, Autoportrait).
Ses recherches théoriques et artistiques interrogent principalement les qualités esthétiques inhérentes à l'image électronique, notamment dans son rapport au concept de "Vanité".
Son travail a été montré dans de nombreux festivals, centres d'art, musées en France (Clermont-Ferrand, Dunkerque, Hérouville-saint-Clair, Lille, Manosque, Paris, Valenciennes) et à l'étranger (Allemagne, Argentine, Brésil, Chili, Colombie, Estonie, Lituanie, Pays-Bas).
Ses bandes vidéo ont été diffusées également dans l'émission "Die Nacht/La Nuit" sur Arte.
Il a aussi publié des essais sur l'art et la vidéo dans différentes revues (Turbulences Vidéo, Les Acharnistes, Mouvement).
Il enseigne la vidéo et l'analyse d'image à l'Ecole Régionale des Beaux-Arts de Dunkerque depuis 1988.
Il prépare actuellement une compilation DVD de ses créations intitulée "La Constellation du Vidéastre", ainsi qu'un recueil de textes qui s'appellera "L'Invention du clin d'oeil".
09:38 Publié dans CLINS D'OEILS (arts plastiques) | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer | | Facebook
03/03/2009
Nouvel espace Poésie & arts plastiques
Pour changer l’alphabet : ici en ruisseau, là en sentier, ailleurs en broussaille. Et de nouveau l’abc du voyage : l’antique chaussée esquissée vers l’abîme, la piste des pas perdus, le dédale entre les falaises, la précaire sentence du labyrinthe, pour changer en fruit le noyau, en épi le grain, en mémoire la parole.
Oscillante parole, 1978
Georges-Emmanuel Clancier
00:31 Publié dans CLINS D'OEILS (arts plastiques), Nathalie Riera | Lien permanent | Commentaires (1) | Imprimer | | Facebook
01/03/2009
Anselm Kiefer
Peintre plasticien allemand
Lire la suite sur ART POINT FRANCE.ORG
PEINTURES………SCULPTURES
Artiste allemand né en 1945, Anselm Kiefer vit et travaille dans le sud de la France depuis 1993. Il a entre autres suivi une formation artistique à l’École des beaux-arts de Fribourg-en-Brisgau ainsi qu’auprès de Joseph Beuys à la Düsseldorf Akademie entre 1970 et 1972. Ses œuvres développent un langage plastique mêlant peinture, photographie, livres et sculpture, et questionnent l’histoire allemande. Son travail a été présenté lors de nombreuses expositions monographiques (MoMA, New York, 1987 ; Sezon Museum of Art, Tokyo, 1993) et de manifestations internationales telles les biennales de Venise et de São Paulo. Daniel Arasse a consacré un ouvrage à Anselm Kiefer publié en 2001 aux Éditions du Regard. Lire la suite
23:12 Publié dans CLINS D'OEILS (arts plastiques) | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer | | Facebook
Centre chorégraphique de Roubaix - Grand Palais - Monumenta 2007 ANSELM KIEFER
AUTRE VIDEO………
Anselm Kiefer vu par Carolyn Carlson
Sous la forme d’un spectacle inédit, le Centre chorégraphique de Roubaix dirigé par Carolyn Carlson propose une vision dansée de l’œuvre d’Anselm Kiefer. Interprétation libre du travail de l’artiste, le spectacle joue sur le rapport des corps et de la monumentalité.
22:21 Publié dans CLINS D'OEILS (arts plastiques) | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer | | Facebook