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23/02/2023

DE SON VIVANT - Un film d'Emmanuelle Bercot

29/01/2023

Stjepan Hauser (Violoncelliste) - "Oblivion" d'Astor Piazolla

20/07/2022

FEU! CHATTERTON ! (Arthur Teboul) AU CABARET VERT

 

05/04/2017

RADIO ZIBELINE - Entretien avec Nathalie Riera, poète et fondatrice de la revue "Les Carnets d'Eucharis"

                                 

 

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À propos des Carnets D’Eucharis – Nathalie Riera

Nathalie Riera est poète, elle dirige la revue « Les Carnets d’Eucharis » qu’elle a fondée sous forme électronique en 2008 sur internet, et qui s’est enrichi d’un volume annuel, décliné sous forme papier depuis 2013. Une revue qui a fait l’objet d’une présentation le 31 mars dernier au cipM, à la Vieille Charité, par Nathalie Riera, Richard Skryzak et Alain Bourges.

L’occasion d’un entretien à propos de cette revue, en compagnie de Nathalie Riera.

Par Alain Paire

Une émission imaginée et réalisée par WRZ en partenariat avec le cipM.

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Photo : Alain Paire, Nathalie Riera & C. M. Voiry © Claude Brunet

 

 

 

04/02/2017

Anne Calas - Entre vous et moi

02/12/2016

Agota Kristof, une hongroise suisse dans la littérature française (1935-2011)

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AGOTA KRISTOF

Agota Kristof est née en 1935 en Hongrie, à Csikvand. Elle vit en Suisse dès 1956, où elle a tout d’abord travaillé en usine. Elle y apprend le français, puis écrit pour le théâtre et réussit à faire jouer ses pièces.

En 1987, elle devient célèbre avec son premier roman, Le Grand Cahier, qui reçoit le prix du «Livre Européen». Agota Kristof est décédée en 2011. Cette auteure n’a écrit qu’un texte autobiographique mais c’est un bijou, L’Analphabète. Conçu peu après la trilogie des jumeaux, il en a les phrases courtes, la sobriété, le détail fulgurant. Ce récit, extrêmement court, va de la petite enfance en Hongrie à l’exil en Suisse, où elle a perdu sa langue, où elle est devenue une analphabète. Avant d’apprendre le français en même temps que ses enfants, d’écrire des pièces radiophoniques et, un jour, son premier roman Le Grand Cahier. Cette minuscule autobiographie est traduite dans une vingtaine de langues.

 

12/11/2016

John Cage

 

 John Cage.jpgJohn Cage engraving at the Crown point Studio, 1982 

In memoriam

John Cage décède en 1992 d’une attaque cérébrale. Six semaines plus tôt, il donnait une conférence de presse à l’invitation du Quaderni Perugini di Musica Contemporanea, à Pérouse, le 23 juin 1992. J. Cage avait un attachement particulier à l’œuvre du philosophe et historien de l’art Ananda Kentish Coomaraswamy (1877-1947). Il partageait l’idée « que si l’art évolue, c’est en fonction de la conscience que nous prenons de la façon dont la nature travaille, de la façon dont elle opère ».* Chez le compositeur, ce sera la nécessité de recourir au hasard.

« Il nous faut penser le monde dans lequel nous vivons non seulement comme quelque chose que nous ne détruisons pas, mais comme ce avec quoi nous co-œuvrons ». (p.32)

« Nous persévérons dans l’idée qu’il importe davantage de présider plutôt que d’être un simple citoyen ». (p.34)

Proche de la musique de Luigi Nono, Cage aimait la musique, mais avant cela, disait-il, « j’aime les sons ». Pour lui, « Les sons que nous entendons sont la musique ». Pourquoi écrivait-il de la musique ? « (…) il n’y a en tout, que deux personnes qui font que j’écris de la musique : quelqu’un d’autre que moi et moi ».**

« Pour les oiseaux » est une suite d’entretiens avec J. Cage et le philosophe Daniel Charles, réalisée par les éditions de l’Herne (en 2002). Le regretté Daniel Charles nous offre une « Esthétique du silence » publiée en 2010 chez La main courante. Petit ouvrage à se procurer pour renouer avec l’un des créateurs les plus controversés du XXème siècle. 

 

* John Cage, « Je n’ai jamais écouté aucun son sans l’aimer : le seul problème avec les sons, c’est la musique », (p.14), éditions La main courante, 2010.

** Ibid., (p.25)

01/11/2016

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© Nathalie Riera

 

EXTRAIT

 

J’estime que notre pratique artistique va certainement évoluer, au même titre que notre conscience de la situation et de son aspect chaotique. Nous cesserons, pour commencer, de réduire chaque œuvre d’art à l’état d’objet, comme nous le faisons quand nous assignons à toute pièce musicale un début, un milieu et une fin. Notre sens de la contradiction nous fera concevoir l’art de façon différente. Personnellement, j’ai abandonné d’entrée de jeu le schème début-milieu-fin, de même que toute autre relation logique entre des parties (…) Par la suite, je renonçai à l’idéal de l’objet et lui substituai celui du procès ; et le procès dans lequel je me suis investi aujourd’hui est celui que j’ai décrit : les parenthèses temporelles et les opérations de hasard. Ce que je veux suggérer, c’est qu’avec une semblable liberté, la flexibilité des parenthèses de temps autorisera une meilleure compréhension des opérations de la nature, et qu’un meilleur modèle pour les relations sociales se fera jour si l’on autorise une telle flexibilité.

----------------------------------------------(p.28)

« Je n’ai jamais écouté aucun son sans l’aimer : le seul problème avec les sons, c’est la musique », éditions La main courante, 2010.

 

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11/11/2014

Alain Fleischer

04/09/2014

Vivian Maier

27/08/2014

Arlt

02/08/2014

Une Journée d'Andrei Arsenevitch (One Day in the Life of Andrei Arsenevich, 1999)

 

 

CHRIS MARKER

ONE DAY IN THE LIFE OF

ANDREI  ARSENEVICH

1999, 55mn

 

 

 

 

 

 

 

« Qui mieux que Marker (…) pouvait s’aventurer sur les terres tarkovskiennes ? Alors qu’André S. Labarthe regrettait dans un entretien à Libération l’absence de Tarkovski parmi les cinéastes auxquels avait été consacré un volet de Cinéastes de notre temps, il reçut quelques jours plus tard une lettre de Marker. Ce dernier signalait avoir dans ses archives des rushes se situant entre le tournage de son ultime film et la mort du cinéaste russe. Quatre ans plus tard, l’épisode existait. Le titre du film paraphrase celui du roman d’Alexandre Soljenitsyne, « Une journée d’Ivan Denissovitch », implacable témoignage, le tout premier paru en 1962 du Goulag soviétique. Artiste « obsédé de la liberté » en URSS, Tarkovski a vécu une sorte d’exil intérieur (c’est ainsi que l’on caractérisait le fait d’être déporté  dans les camps du goulag) dans son propre pays avant de le quitter – sans retour, bien malgré lui – en 1982, notamment pour tourner « Nostalghia » (1983) en Italie et « Le Sacrifice » (1986) en Suède. »

[…]

_______________________

© Arnaud Hée

Extrait d’un article paru dans le magazine du court-métrage « Bref » : Les constellations Chris Marker – N°108, 2013 (volume 3).

 

 

 

 

29/07/2014

Chris Marker, La jetée, 1962

08/07/2014

AUTOPORTRAIT - Marguerite Duras

20/06/2014

György Ligeti, Kammerkonzert

Sylvie Guillem - Two (Rise & Fall)

26/05/2014

Olivier Gallon, vidéo 2003 (Monsieur et très respectable correspondant-partie 01)

 

 

 

synopsis :

Dans "La Promenade" de Robert Walser, il nous est donné à lire une lettre envoyée à ce que l'on comprend aisément être un homme de pouvoir. Ce sont ces mots que l'on retrouve ici apparaissant sur fond noir -- rapprochés à d'autres "paysages", telle surface blanche de la neige où repose son chapeau. Hommage à l'auteur dont les mots (en réponse à une violence où il apparaît qu'il n'y a de pouvoir qu'abusif) nous frappent toujours par leur impressionnante actualité.

(Quant aux derniers mots chuchotés, ils sont extraits d'une « prose brève » : "Retour dans la neige".)

 

 

Olivier Gallon - video, 2003 (Monsieur et très respectable correspondant- partie O2)

22/05/2014

Steve Jansen

11/05/2014

Nathalie Riera - en lecture - LA RITRATTI DI POESIA ROMA- 8ème édition 2014

06/05/2014

Robert Fripp & Brian Eno - The Equatorial Stars