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23/08/2009

Willem De Kooning

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A New York en 1959 - Photo : Arnold Newman

Source photo

« Peut-être que je peins vite pour retenir cet éclair

C’est ma façon de m’y prendre

C’est comme traverser une rue

On veut traverser vite

Alors, on court

Juste l'éclair de quelque chose

Et puis à la fin si j'ai un tableau

Je veux donner à quelqu'un d'autre une idée de cet éclair.

(...)

Chaque nouvel éclair est précédé de beaucoup d'éclairs. »

 de-Kooning-Willem.jpg

 

(…)

Il arrive un moment dans la vie

Où vous décidez de faire une promenade

Et vous vous promenez dans votre Paysage.

(…)

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Comment voulez-vous comprendre quelqu’un qui vous dit : « je désirais me retrouver dans une impasse » ? Ou qui s’intéresse simplement à une « lumière sur un toit quand tout paraît sans couleur » ? Mais non, il ne s’agit pas de technique, pas plus que dans cette soudaine absence de ponctuation ! (Picasso a vécu cette expérience de la précipitation émotive avec ses poèmes sans points ni virgules.) « Au commencement était l’émotion… le galop… on a ramené l’homme au trot… dans la dialectique, c’est-à-dire dans le bafouillage » (Céline)… c’est l’émotion qui permet d’utiliser l’arbitraire, de l’amener à la frénésie en acceptant d’aller éventuellement vers l’échec, lequel est une limite naturelle.

Ibid., pp.148/149

De Kooning, vite par Phillippe Sollers – La guerre du goût, éd. Gallimard, 1996

 

11/07/2009

"Fil d'Ariane, variations plastiques" de FRA DELRICO

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"Fil d'Ariane" de Fra Delrico (Frédérico Alagna)

04/07/2009

DOSSIER PHOTOGRAPHIE Anne-Sophie Maignant, Etudes pour Suzanne

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Poésie & Arts

plastiques●●●●●●●●●●●

 

 

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 Avec

Anne-Sophie Maignant 

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Etudes pour Suzanne, 2006, photomontague numérique

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Conte Sylvestre, 2008, photomontage numérique

 

 logoPDF.jpg Dossier à télécharger : Anne Sophie Maignant_2009.pdf

 

01/07/2009

THEMA (Oeuvre acousmatique pour piano et bande audio & vidéo) - Rey Eisen & Emmanuelle Simonet

L'AVANT-PREMIERE


de la création le samedi 25 juillet 2009 au monastère de Saorge dans le cadre de la journée de l'art contemporain "SAORGE IN SITU".

Oeuvre acousmatique pour Piano seul et spatialisation. Quadriphonie en temps réel et projection vidéo sur la symbolique des 12 cycles des renaissances.
La partition se présente comme une improvisation écrite donnant libre cours à l'inspiration du jeu pianistique directement suggérée par une bande-son pré enregistrée où se mêlent bruits naturels, sons virtuels et séquence électroacoustique diffusés en temps réel.

La séquence vidéo apparait sur la partition comme un story-bord élaboré où figurent images, ambiances sonores (bruits naturels) et musique réunies.

Rey Eisen : piano

Conception graphique : Emmanuelle Simonet

28/06/2009

Texte de présentation du film documentaire FIL D'ARIANE, VARIATIONS PLASTIQUES de FRA DELRICO

Art d’éloge


 

Préambule

au film documentaire

"Fil d'Ariane, variations plastiques"

sculptures et peintures

de

Frédérico Alagna

FRA DELRICO

 

 

Par

Nathalie Riera

 

 

 

■■

 

 

 

Quelque chose comme une foi, une reconnaissance au réel, une incursion dans l’éloquence et le mutisme de la matière, le film FIL D’ARIANE (variations plastiques) se compose d’une suite de sculptures, masques et figures, d'oeuvres graphiques, dessins et peintures, tout un flux de gestes et d’éloges qui célèbrent une certaine tenue esthétique et confèrent aux formes leur souffle.

Sans retenue le surgissement : force du vivant. Pouvoir actif et magnétique de la main à donner forme, et pouvoir de la matière à faire qu’il y ait oeuvre possible.

Oscillations, contorsions, déplacements, autant de contenance que d’élan lyrique, et pour l’artiste, Fra DelRico, le désir non pas d’un style mais d’un art à maintenir ces deux pôles que sont la figuration contemporaine et la vision traditionnelle, en résonance certaine aux arts premiers.

Pratique de la variation, avec d’un objet à un autre cette volonté ou manière de ne pas se complaire dans le néant, mais toujours à vouloir ce qu'il y a de plus authentique, c’est-à-dire en passant par un nécessaire abandon de la recherche du "mieux" au profit de ce qui fait « différence » ou de ce qui est « autre », s’opposant ainsi à toute uniformisation dans la notion même de perfection. Il ne s’agit pas d’espérance pour mieux vivre, mais de plus de potentialités et d’alternatives à une existence où le quotidien offre autant son lot de grâces que sa portion d’affres et de méandres.

 

Le poète et critique Yves Bonnefoy nous dit qu’il a bien fallu « quelque chose comme une foi pour persister dans les mots », j’ose croire que chez Fra DelRico le désir n’est pas fiction, et la foi n’est pas imaginaire. L’art a une prise directe sur son quotidien, et n’est-il pas justement cette chance souveraine, nous donnant à demeurer dans la vision et l’éveil des choses du monde? Avec lui l’art n’est pas dénigrement contre la vie et la mort, mais plutôt l’art comme preuve que l’homme a été dépossédé par le trivial, et que cette dépossession l’a affaibli.

« Dépossédé » veut dire aussi que nous avons toujours moyen de re-posséder ce qui a simplement été obscurci. Si l’art est considéré par certain comme un moyen de détournement, d’échappatoire à l’emprise du réel et du quotidien, il est pour d'autres le moyen de faire non plus obstacle à son être mais offrande. D’où ce recours de l’artiste à une oeuvre qui se déploie, à des rêves sans échardes, à des passions où la flamme ne détruit pas.

 

Fil D'ariane : 9 séquences sous tension. Son tracé a la qualité de ce qui est exigeant, mais aussi de ce qui sait laisser place à la mesure jusqu’à l’effacement.

 

Quand l’art est chuchotement, il est aussi célébration du vivant.

 

 

«Je ne m’attache pas à expliquer mon art, mais à le comprendre »

 

 

Fra DelRico fait éloge à la matière, avec, pour thème de prédilection, la figure humaine. Le peintre-sculpteur s’en vient chercher résonance et dissonance dans les couleurs du monde – ses fresques ou ses toiles du réel – dans les rumeurs du quotidien, dans les carnations de l’être. Et c’est dans ce geste de sculpter ou de peindre que se révèle le don.

 

Alchimie de matières, entremêlement de textiles, de tissus synthétiques, de terre et de cire : de ce geste profane des figures naissent.

Travailler/créer chez Fra DelRico c’est surtout exclure tout maniérisme. Se maintenir sur le chemin du dégagement. Poursuivre la recherche, c’est-à-dire tâtonnement, pénétration, pour au mieux continuer à comprendre son art, pour au mieux avancer sur le chemin de ce qui est promu à mûrir.

 

Pour ce qui est de l’action de peindre et de ce qui se propose sur la toile : donner à voir l’aura d’une figure, son essence, son empreinte.

 

© Nathalie Riera – Contribution mai/juin 2009

 

 

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© FRA DELRICO Copyrights 2009

 

 

 

 

 

FRAGMENTS POESIE

 Nathalie Riera

 

 

« … voir dans le nu des choses le filigrane de l’Universel et l’empreinte du Toujours »

Malcolm de Chazal

(La vie filtrée, 1949, éditions Gallimard)

 

 

 

I – Le nu des choses

II – La force des choses


-I-

 

LE NU DES CHOSES

 

corps c’est-à-dire régnant s’engouffrant en sens inverse en avant de cendre et de lumière se mélange à la pierre le regard

vers où les masses subsistent sans or sans air contre la tragique légèreté……………… brouillés de dédales les corps luisent……………………………………… feu et argile sont la matière des figures comme ratures peut habiter les chairs comme éther les bruits les mouvements grincements du vivant en nerfs eau nervures des socles………………………….……… c’est-à-dire corps

 

où peut survivre à proximité la passion des ombres raccourcis des clartés dans la courbe des épiphanies contre le zigzag des périphrases

 

CE QUI SUBSISTE SE PROLONGE SE LAISSE ENTREVOIR INCISIF SE REFERME

 

 

 

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© FRA DELRICO Copyrights 2009

 

 

 

-II-

 

LA FORCE DES CHOSES

 

la nudité habite l’espace, les corps dans la liberté de ce qui est sans enlacement ni déformation ni sublimation

 

où est l’ombre est la lumière est l’épaisseur de l’origine est le voyage la chaîne le fil l’infini

 

ce qui est du fond de la chair ce qui est à l’intérieur ce qui est obscurité ce qui est corps dans les bras de l’invisible................... est sacré

 

montagne des corps où le regard puise force s’affaisse

 

sommets des crânes ce n’est pas la mort qui se déclare au regard mais ce qui survit qui est encore plein du monde………… rocheux humide argileux fertile herbeux aride

 

monde du regard 

■■

 

FILM A VISIONNER CI-DESSOUS

"Fil d'ariane" Variations plastiques de FRA DELRICO

Film documentaire intégrale

 

Sur l’œuvre de FRA DELRICO

Musique de Rey Eisen

 

 

Lien : http://vids.myspace.com/index.cfm?fuseaction=vids.individual&VideoID=59131711

 

 

FIL D’ARIANE

 

variations plastiques

  

 

 

FRA DELRICO

 

 

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Dossier à télécharger

 PRESENTATION

 

 

 

AU FIL D'ARIANE_FRA DELRICO_2009.pdf

 

 

©FRA DELRICO Copyrights 2009

 

 

 

 

Entretien (Fil d'Ariane)

 

de Rey Eisen

 

ICI

 

Lien : http://vids.myspace.com/index.cfm?fuseaction=vids.individual&VideoID=59131844

12/06/2009

Exposition Claude Viallat

  

 E X P O du 6 juin au 25 juillet 2009

 

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 PÔLE ARTS VISUELS OUEST PROVENCE

Claude VIALLAT

 

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logoPDF.jpg Dossier à télécharger  CLAUDE VIALLAT_Carnets d'eucharis.pdf

 

CLAUDE VIALLAT_Carnets d'eucharis.pdf

26/05/2009

Pablo Picasso aux Baux de Provence

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jusqu'au 3 janvier 2010

Picasso participait au tournage du "Testament d'Orphée" à Cathédrale d'Images, il y a cinquante ans. En 2009, c'est au tour de Cathédrale d'Images de lui rendre hommage.

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LES REALISATEURS

Gianfranco Iannuzzi

Artiste multimédia

gianfranco Iannuzzi.jpgSociologue et photographe de formation, sa création artistique est fondée sur l’image, le son et la lumière. Gianfranco aménage et réinvente des lieux existants, en extérieur comme en intérieur, où il crée à chaque fois une installation qui valorise et transforme l’espace de façon éphémère. Il y dessine de nouveaux environnements au cœur duquel le spectateur peut évoluer à son gré. L’utilisation des technologies de pointe dans les domaines du multimédia, favorise cette participation active du public sur l’œuvre artistique. Depuis de nombreuses années, il réalise des spectacles sur les 5000 m2 de surface de CATHEDRALE D'IMAGES. Aujourd’hui, de nouveaux projets le conduisent à développer une nouvelle approche des sites sur lesquels il s’exprime. En Europe, il investit des sites urbains à Bari, à Narbonne ou à Paris, pour la création d’œuvres globales de déambulation image-son-lumière. Au Liban où il réalisera un nouveau musée virtuel. Au Japon, où il est représenté par « Apollonia Corporation » il est appelé à investir et aménager de nouveaux espaces pour ses créations artistiques. Une présentation interactive de ses dernières réalisations est disponible sur www.gianfranco-iannuzzi.com.

Renato Gatto

Vocaliste

Renato réalise un parcours personnel didactique centré sur le rapport corps-voix, geste-son. Depuis 1986, il enseigne la technique vocale dans les plus prestigieuses écoles de théâtre italiennes. Enseignant et interprète du « Projet Didactique du théâtre de la Fenice » de Venise, il dirige l’Accademia Teatrale Veneta, école pour la formation professionnelle de l’acteur.

Massimiliano Siccardi

Vidéaste, artiste multimédia

Massimiliano a développé une activité de recherche et de production intégrant les nouvelles technologies dans les domaines de l’image, du son et de la vidéo. Il travaille sur l’intégration de l’image dans des performances artistiques.

Marco Melia

Musicien compositeur

Marco crée des bandes-son de spectacles audiovisuels en particulier pour la danse classique et contemporaine.

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Dossier de presse à télécharger :
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24/05/2009

Leonardo Lucchi

Né en 1952 à Cesena, Italie.

Vit et travaille près de Bologne, Italie.

 

Etudes à l’Ecole d’Art de la céramique de Faenza, Italie.

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Le fauteuil rouge (détail) - 26x24x43 cm
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Jeune fille au hamac - 30x28x68 cm

  

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10 Rue de la Trinité. 31000 Toulouse. Tel : 05 34 31 74 84 – Fax : 05 34 31 74 80

www.galeriealaindaudet.com    -     email : contact@galeriealaindaudet.com

22/05/2009

Gertrude Käsebier

Photographe américaine (1852-1934)

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The Sketch. 1902. Beatrice Baxter Ruyl in Newport, Rhode Island.
8x10 inch dry plate glass negative.
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The Picture Book. 1903, Vintage platinum print, 6.25 x 8.25 in. (159 x 210 mm), on original paper mount., Illustrated: Camera Work, April 1905, Plate II, and Michaels: Gertrude Kasebier, plate 64. The sitters are Beatrice Baxter Ruyl and Charles O'Malley. v1188c.

Laurent Septier

Exposition du 25 au 30 mai

Galerie du Tableau

37 rue Sylvabelle 13006 MARSEILLE           

 

du 25 au 30 mai.jpg

Une certaine manière de prendre son temps

 

 

 

La vue est une très fine photographie

Imperceptible, sans doute, si l’on se fie

À la grosseur de son verre dont le morceau

Est dépoli sur un des côtés, au verso ;

Mais tout enfle quand l’œil plus curieux s’approche

Suffisamment pour qu’un cil par moments s’accroche.

 

Raymond Roussel

La Vue

 

 

L’image latente n’existe plus avec la photographie numérique, il n’y a plus de point aveugle, ce qui est capté l’est sous nos yeux et mieux encore, comme dans une mise en abîme, il nous est possible sur le lieu même de nous transporter à l’instar de Raymond Roussel, dans la vue que nous venons de prendre. De nous arrêter sur des détails suspendus que l’œil n’avait pas su ni même pu capter; non seulement il est possible de circuler dans l’image, mais en l’agrandissant très fortement sur ce petit écran aux couleurs si vives, d’y pénétrer au plus près, dans une sorte d’apnée. Mais ce n’est pas cet apparent paradoxe - être à la fois dans le réel et dans son image - qui est troublant, c’est qu’au fur et à mesure de cette approche, ce que l’imaginaire permettait à Raymond Roussel de saisir indéfiniment trouve ici sa limite dans la raison technique de l’image numérique : le pixel.

 

Il y a dans cet agrandissement progressif un entre-deux, un instant et une distance justes(1), où l’image n’est déjà plus vraiment nette, où apparaît à l’œil, même le moins exercé, quelque défaut : l’envahissement d’un visage par une couleur semblant glisser, la disparition d’une main, un flou bizarre, des effets de granulation qui font apparaître la substance même (si l’on peut dire) de l’image, sans pour autant que cette altération soit un frein à l’engouffrement de notre imaginaire confronté à ce réel qui fut là. Avant cet entre-deux, l’image est une simple photographie, au-delà elle devient un banal jeu de pixels - mais, dans cet intervalle où elle est juste un peu “attaquée”, comme “piquée” par le temps ou l’usure et où elle est cependant encore image, se trouve une sorte de vibration qui rend curieusement les personnes, les objets, les lieux, très présents, comme vivant de cette légère et incertaine pulsation.

 

La photographie se relâche ici comme, dans les restaurants, les conventions au demeurant assez complexes en Chine se relâchent, parfois le temps d’un clin d’œil, en révélant de nouvelles connivences. Les deux temps se rejoignent dans ces images.

 

Ces recadrages très serrés et sur le point de se dissoudre dans leur peu de matière, de disparaître comme éclate une bulle de savon, n’ont rien de spectaculaire. Ils témoignent à peine mais portent notre attention vers quelque chose à la fois très présent - suspendu dans cette durée hallucinatoire, comme un ralentissement, un glissement - et très déréalisé par son apparence fragile : détails troublants à la limite du visible, qui ne nous apportent aucun savoir, aucune certitude, mais simplement une vision légèrement décalée, déplacée, une certaine manière de prendre son temps.

 

 

 

 

(1) Sans savoir exactement pourquoi, mais avec cette certitude déjà décrite par exemple par Zhang Yanyuan, un peintre chinois de la dynastie Tang, qui écrivait “[la peinture] devient ce qu’elle est, sans que l’on sache pourquoi elle est bonne”.

 

galeriedutableau@free.fr

Site

 

 

15/05/2009

Wayne McGregor

 

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under garage door

 

 Site de la Cie Random Dance

11/05/2009

Arboretum Marcel Kroenlein

 

à Roure (Alpes-Martimes)
Journée_de_l'oiseau_Affiche.jpg

Site de l'arboretum...

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10/05/2009

Patricyan - Clin d'oeil

patricyan.jpgPATRICYAN

Artiste-plasticienne vivant en pays Basque

Née le 02/01/1959.

Je pratique une exploration du corps ( humain, animal) à travers :

Les sculptures : vide, transparence, je construis le vêtement empreinte, habitacle, en traitant les mailles  grillagées comme du tissu : couture, broderie.

Les performances : chirurgienne, sage-femme, femme-animal, femme-maison

Les montages images, photos et 3D : morcellement, organes.

La peau, le corps, les maisons, le textile.

Reliée à l’espace, en réaction aux bruits du monde, en juxtaposant ethnologie, symboles, médecine, humour, subversion…

 

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Série Clin d'oeil 1 (Art numérique)

Site

Richard Skryzak - In vidéo Vanitas

LES INSTALLATIONS VIDÉO ET MULTIMÉDIAS

Inauguration le Mardi 19 mai

 

 

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IN VIDÉO VANITAS

de Richard Skryzak

(France)

 

Quelque chose

Sûrement

Se joue

Entre Vidéo et Vanité.

Entre médium et concept.

Quelque chose

Mais quoi ?

Une affaire de famille.

Des relations intimes.

Une question d’affinités

Electriques

 

Qu’est ce qui est à l’œuvre ?

Les qualités inhérentes

Aux deux forces en présence.

Immatériel

Impalpable

Ephémère

Flottant

Volatile

 

Des presque-riens.

 

Traduction en images.

Que voit-on ?

Bulle et tulipe

Autoportrait et

Chute des corps.

Des mondes reflétant le monde.

Des concentrés d’univers

Livrés dans l’inconstance même

De ce qui les fait naître.

Une plongée

Au cœur

De la fragilité

Des choses.

 

Chaque fois

Le temps d’une vision

Le moment vidéo

Révèle

Les évènements

Les plus imperceptibles.

Le cycle de la vie

Est là

Condensé

En un fragment

De légèreté

Et D’éternité.

 

Géo-esthétique.

Là bas

En Palestine

Survivre…

A l’effacement…

A l’infini…

 

Chaque fois

L’image creuse

Une fissure

Dans le flux

Du Visible

Une blessure

Qui laisse échapper

Le Sens

Goutte à goutte

Bulle après bulle

Pétale après pétale

Et jamais

Ne se referme…

 

Toute Création

Est

Une fracture

Ouverte…

 

 

 Richard Skryzak 2009

                                                                                                     

 

 

 

 

Autoportrait à la bulle

 
bulle fixe.gif

 

Vanité à la tulipe

 

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Instants Vidéos Poétiques et Numériques

IVNP.jpgL’association des Instants Vidéo Poétiques et Numériques www.instantsvideo.com a hérité de la manifestation des Instants Vidéo fondée en 1988 sous l’égide de la Maison des Jeunes et de la Culture de Manosque. Elle est ancrée à Marseille depuis février 2004. Nomade, elle y développe des actions de partenariat complice avec le milieu associatif et artistique (33 structures : Cinéma, cabaret, galerie, friche, Musée, médiathèque, bibliothèque, Université, Maison des Jeunes et de la Culture, collège, lycée, théâtre, restaurant….).

Les Instants Vidéo s’intéressent aux nouvelles formes d’écritures et aux oeuvres sensibles : art vidéo, installations multimédias, performances, documentaires de créations….

Depuis 1988, nous nous sommes petit à petit imposés comme un événement majeur de la scène internationale des arts électroniques et comme un partenaire actif et permanent pour l’accomplissement de différents projets liés aux nouvelles technologies de l’image : créations, programmations, conférences, production de textes critiques, formation, accompagnement de projets d’artistes….

 

LES INSTANTS VIDEO POETIQUES ET NUMERIQUES

& LA FONDATION QATTAN

Ont le plaisir de vous annoncer le

1er FESTIVAL D'ART VIDÉO ET MULTIMÉDIA DE PALESTINE

19 AU 24 MAI 2009

à Ramallah, Jérusalem et Gaza

 

 

 

Dossier_de_presse_Festival_Palest.pdf

 

 

 

 

Les GRANDES LIGNES du FESTIVAL

 

 

 

PROJECTIONS d'Art vidéo international

Palestine, Liban, Syrie, Iran, Egypte, Tunisie, Algérie, Emirats Arabes, Chine, Corée, Japon, Kosovo, Serbie,

Brésil, USA, Canada, France, Irlande, Allemagne, Angleterre…

« Résister c'est créer, danser, chanter », « Zones de conflits », « Leçons de communication »,

« Programmation Méditerranéenne », « La vidéo, c’est magique »

Expositions d'INSTALLATIONS

« Toro » de Mariana Vassileva

« Reflecting Pool » de Bill Viola

« In Vidéo Vanitas » de Richard Skryzak

« Tableaux Vivants » de Kasha Legrand

« Chic point » de Sharif Waked

« Vacuum » de Raeda Saadeh

« The return » de Jumana Abboud

« Control room » de Mohamad Harb

« An on going tale » de Shadi Habib Allah

« An ordinary day », « Once upon a time » de Hakeem B

« Body and sole » de Khalil Rabah

« Impossible journy », « Gaza diary », « like water » de Taysir Batniji

5 PERFORMANCES

Déclar'actions: « le chant des épices » et « 8 ou & ou ! »

de Julien Blaine

« Chanteur Alchimiste » de Natacha Muslera

« Aérobic Philosophic » de Pascal Lièvre

« In between – I am not a reader » de Manar zoabi

un ATELIER

avec de jeunes artistes locaux

animé par Dominique Angel

qui débouchera nécessairement sur une installation réalisée in situ et une performance.

7 RENCONTRES-DISCUSSIONS

Samuel Bester « Image et son: Nature/ Contre Nature »

Julien Blaine « Le rôle du corps dans la fabrication et la proclamation du poème »

Pascal Lièvre « Pop et Politique »

Natacha Muslera « La voix et le regard »

Dominique Angel « Pièce Supplémentaire »

Jean-Paul Fargier « Hommage à Nam June Paik »

Marc Mercier « La poésie électronique »

 

 

07/05/2009

Charles Despiau

(Mont-de-Marsan, 1874 - Paris, 1946)

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Odette, buste
(bronze)
1933
28 x 30 x 25 cm

05/05/2009

Maria Elena VIERIA DA SILVA - (1908-1992)

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Pour + d'infos

Vitrail Architecture

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Vitraux de l'église St. Jacques à Reims

POETIC COSMOS OF THE BREATH, 2007

Tomas Saraceno
(Argentine / Italie, né en 1973, vit à Francfort)

Sculpture/Structure gonflable

Consulter l’espace

arts catalyst

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Cloudy Dunes_Air-Port-City_2006

Artiste et architecte, Tomas Saraceno imagine des structures expérimentales, sous forme de ballons ou de plates-formes modulaires gonflables et habitables, qui tirent le meilleur parti des énergies naturelles. Ses visions ne sont utopiques qu'en apparence, car il les expérimente en réalisant des éléments qui fonctionnent. Il a d'ailleurs été invité par l'organisation londonienne The Arts Catalyst, elle-même mandatée par l'Agence spatiale européenne, pour discuter des possibilités d'utilisation de la Station spatiale internationale à des fins culturelles. Lire la suite

29/04/2009

David Lynch à la Fondation Ekaterina, Moscou

David Lynch, The Air is on Fire

 

10 avril - 12 juillet 2009

 

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© David Lynch, Sans titre, Sans date

Black and White photograph

Exposé pour la première fois en 2007 à la Fondation Cartier pour l’art contemporain à Paris, David Lynch, The Air is on Fire sera présenté à la Fondation Ekaterina de Moscou du 10 avril au 12 juillet 2009. Cette exposition majeure dédiée à David Lynch en tant qu’artiste plasticien, explore les multiples facettes de son œuvre, réunissant peintures, photographies, dessins, lithographies, films expérimentaux et créations sonores réalisées depuis 1960. Lire la suite