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26/10/2012

Ruth Orkin

 

photographies — archives

SERIE-CHILDREN

© ruth orkiN

ruth orkin (2).jpg

Children – http://www.orkinphoto.com/photographs/children/

 

 

 

Gérard Titus-Carmel

 

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Gérard Titus-Carmel

Série Narwa

Pierre Noire IV

1977

 

22/10/2012

Marianne Breslauer

 

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http://www.mariannebreslauer.info/

 

21/09/2012

Jean Tinguely & Niki de Saint-Phalle

JEAN TINGUELY

NIKI DE SAINT-PHALLE

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[Jean Tinguely/Niki de Saint-Phalle]

 

 

SOURCE PHOTOGRAPHIQUE :

The Red List

 

 

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 [Niki de Saint-Phalle]

 

SOURCE PHOTOGRAPHIQUE :

Galerie Voigt

 

Jean Tinguely_Paris 1957.jpg

[Jean Tinguely]

Paris, 1957

 

 

Construire La Hon (sculpture monumentale)

 

Les Carnets d'Eucharis

 

 

 

 

27/08/2012

Joanna Szczerbic & Jerzy Skolimowski

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Joanna Szczerbic & Jerzy Skolimowski

 

08/05/2012

samedi 12 mai 2012 à Tulle

bermes

 

éditions

L’arachnoïde

barre parallèle

Le Cadran ligné

Dernier Télégramme

Les Ennemis de Paterne Berrichon

fissile

Le frau

les mains

tardigrade

Remarque

Unes

 

poésie

Laurent Albarracin

Fabrice Caravaca

Billy Dranty

Stéphanie Ferrat

Jean-Pierre Sintive

Rodrigue Marques de Souza

Caroline Sagot Duvauroux

Christian Viguié

 

 

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exposition

Jean-Marc Dufour

Philippe Guitton

Olivier Orus

& les invités

 

danse

Mathilde Lapostolle

 

 

 

Association Merveilleux Prétexte - Cerice - Tulle

http://www.merveilleuxpretexte.blogspot.com

tel : 05 55 27 28 23 ou 05 55 93 10 27

avec le soutien de le DRAC Limousin, de la Région Limousin,

du Conseil Général de Corrèze, de la Ville de Tulle.

Sylvie Deparis

Au prieuré de Salagon à Manes

04300 Mane / Alpes de Haute-Provence

Tel. 04 92 75 70 50

info-salagon@cg04.fr/ www.musee-de-salagon.com

 

 

 

 

 

 

Sylvie Deparis_Végétales.jpg

 

 

 

www.sylvie-deparis.odavia.com

 

 

 

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Les livres d’artiste de Sylvie Deparis sont également exposés

à la médiathèque de Sainte Maxime du 3 au 30 mai 2012

Route du Plan de la Tour, 83120 Sainte Maxime

04 94 56 77 60

15/04/2012

Jean-Marc Planchon - Exposition

 

 

 

Affiche Le havre 2012web.jpg

 

http://www.jm-planchon.fr

 

05/04/2012

Juliette Lemontey à la Galerie Le Réalgar

Galerie Le Réalgar
Daniel Damart

23 rue Blanqui – 42000 Saint-Étienne
Cell. :
0687602234
lerealgar@gmail.com/www.lerealgar.com

 

 

La carpe et le pinson

Peintures de Juliette Lemontey

Du 14 avril au 25 MAI 2012

Vernissage le 14 AVRIL à partir de 18h


La carpe et le pinson.jpg

 

A cette occasion la Galerie édite :
"La carpe, le pinson et le bestiaire de nos solitudes inachevées"
Textes de Raphaële Bruyère accompagnés de la reproduction des peintures de Juliette Lemontey

08/03/2012

SALVADOR DALI par Claude Darras (N° Spécial, mars 2012)

Lectures critiques de Claude Darras

 

Je vous salue Dali…

Un contemporain

entre classicisme et avant-garde

 

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Mars 2012 © Claude Darras

Les carnets d'eucharis

 

 

Un jour de 1932, dans les toilettes de l’hôtel Saint-Régis, à New York, alors qu’il s’emploie devant un urinoir à « changer l’eau des olives », selon une expression catalane dont il ne dédaigne pas la trivialité, un usager voisin l’interpelle poliment et lui demande son métier. « Artiste », répond-il. « Êtes-vous un bon artiste ? », surenchérit son interlocuteur : « Le meilleur du monde », assure-t-il. C’est ainsi, le nez dans la céramique de l’édicule, que l’Américain A. Reynolds Morse est devenu le plus grand collectionneur de Salvador Dali (1904-1989) ! Fondateur en 1982 à Saint-Petersburg (Floride) du Salvador Dali Museum, cet industriel de Cleveland (Ohio) a transformé l’institution en une fondation Salvador Dali. Lorsque le maître catalan meurt le lundi 23 janvier 1989, deux conservatoires muséaux portent déjà le glorieux patronyme, le deuxième étant le théâtre-musée Dali de Figueras, sa cité natale, en Espagne. Près d’un quart de siècle après sa disparition, un ouvrage d’exception, « Dali, l’invention de soi » (éditions Flammarion), permet de le redécouvrir, au-delà du mythe populaire et trompeur forgé par son talent et ses excentricités. En lisant son auteure, Catherine Grenier, historienne de l’art et directrice adjointe du Centre Pompidou à Paris, le lecteur comprend mieux comment l’œuvre dalinien a transgressé les codes habituels de la vision esthétique et pourquoi il a ouvert de fécondes perspectives aux artistes du XXIe siècle.

 

 

 

 

L’ « Angélus » de Millet obsède l’enfant

 

 

Collines mauves d’herbe sèche et lande couleur de pain grillé, la campagne natale d’Ampurdan peuple l’horizon de ses toiles : la silhouette des maraîchers affairés aux étals du marché de Figueras, le goût de l’eau ferrugineuse puisée au Moli de la Torre, l’église coiffant les maisons de Cadaqués comme un tricorne, les pêcheurs de Port Lligat inlassables à astiquer leurs lamparos, les rochers gothiques du cap Creus. Cette portion de Catalogne dont Louis Pauwels, un des rares familiers de Dali, prétend qu’elle « engendre quantité de lunatiques au caractère fort, fanatisme hérité des Arabes, goût de l’homérique venu des Grecs », cette région ibérique entre mer et montagne reste la patrie dalinienne par excellence où chaque printemps le ramène après qu’il ait campé dans les palaces de Paris et de New York, de Tokyo ou de Rome. Car c’est là, précise encore Louis Pauwels, « qu’il a construit son amour, sa personne, son œuvre, sa demeure ».

 

Salvador Dali est né deux fois. Le père qui porte le même prénom a 29 ans le 21 octobre 1901 quand naît son premier fils, Salvador Dali, lequel meurt le 1er août 1903. Huit mois plus tard, le vendredi 11 mars 1904, le second Salvador (Felipe Jacinto) Dali, troisième du nom, vient au monde à Figueras. Les parents restent inconsolables, et le fils supportera toute sa vie la culpabilité d’avoir pris la place de l’aîné. En 1963, il confie au journaliste et historien André Parinaud : « Ce frère mort, dont le fantôme m’a accueilli en guise de bienvenue, était, si l’on veut, le premier diable dalinien. Mon frère avait vécu vingt-et-un mois. Je le considère comme un essai de moi-même. »

 

Ses parents comptent leurs ascendants parmi la bourgeoisie catalane. Notaire de son état, le père est un libre-penseur, fantasque et colérique, qui ressemble, physiquement, à Benito Mussolini, le Duce de l’Italie fasciste. La mère, Felipa Domenech Ferrés, encourage le talent précoce de leur fils pour l’art décoratif au point de soumettre son initiation à la peinture dès l’âge de six ans à une famille d’artistes fortunés, les Pichot, et plus spécialement Ramon, qui lui révèle Claude Monet et Auguste Renoir. À treize ans, son professeur de l’école de dessin de Figueras, Juan Núñez, lui enseigne les clairs obscurs des eaux fortes de Rembrandt. L’enfant montre une habileté troublante à dessiner et manifeste des dons précoces de… médium. Ainsi, dans le corridor conduisant à la salle de classe, la reproduction de « L’Angélus » de Jean-François Millet le fascine et fomente des rêveries à la faveur desquelles il extrait du sac de pommes de terre du couple paysan en prière le cercueil d’un enfant mort. Vision dramatique et prémonitoire, tant il ignore alors que les conservateurs du musée du Louvre à Paris aboutiront plus tard, grâce aux rayons ultraviolets, à la même trouvaille, une découverte que pressentira le peintre et écrivain russe Kazimir Malevitch en 1911. « L’Angélus de Millet, écrit Salvador Dali en 1933, est aussi beau que la rencontre fortuite sur une table d’opération d’une machine à coudre avec un parapluie » : la formule comme beaucoup d’autres issues de la rhétorique dalinienne fait florès.

 

 

  

Humanités madrilènes avec Luis Bunuel et Garcia Lorca

 

  

Des cheveux longs et des favoris qui lui mangent les joues, un savant maquillage, un nœud ou une lavallière, une veste de velours, parfois une ample et longue cape : le fils du notaire a de qui tenir lorsqu’il est admis, à dix-sept ans, à l’institut San-Fernando, l’école des beaux-arts de Madrid en quelque sorte. Extravagant et brillantissime, l'élève étonne ses camarades, et il les surprend plus encore par les toiles cubistes qu’il peint le soir dans sa chambre. Très tôt, il admire Dürer, Goya, Le Greco, Léonard de Vinci, Michel-Ange et Vélasquez ; ces « modèles » l’inclinent à délaisser l’impressionnisme des premières toiles pour un pur classicisme. L’académisme de l’institution madrilène ne l’empêche pas d’étudier simultanément le futurisme, Giorgio de Chirico, Juan Gris, Pablo Picasso et Sigmund Freud, neurologue et psychiatre autrichien qu’il rencontre à Londres en 1917. Barcelone accueille sa première exposition personnelle en 1925.

 

« L’ombre de Picasso s’est profilée très tôt au-dessus de sa carrière artistique, considère Catherine Grenier. Dali a le sentiment de marcher sur ses traces lorsqu’il est reçu chez les Pichot, puis lorsqu’il installe son atelier à Cadaqués. » « De 1921 à 1927, analyse-t-elle, le jeune artiste entreprend la conquête des mouvements modernes, qu’il aborde conjointement sous leurs différents fronts. Déjà sensible dans ses essais de jeunesse, l’éclectisme est une des caractéristiques de l’esprit entreprenant de Dali. »

 

Dans la Résidence étudiante de Madrid, il se lie d’amitié avec Eugenio Montes (futur journaliste et écrivain, 1900-1982), Federico Garcia Lorca (1899-1936) et Luis Bunuel (1900-1983) avec lequel il tournera, en 1928, L’Âge d’or et Un chien andalou, l’une des œuvres les plus étonnantes du cinéma d’avant-garde. Le poète du Romancero gitano le connaît sans doute mieux que personne à ce moment-là. Garcia Lorca sait percer ses motivations les plus intimes lorsque, libéré de ses extases singulières, son camarade donne du monde des songes et du maquis de ses fantasmes une interprétation énigmatique et complexe au gré d’une finition plastique parfaite. En octobre 1926, lorsqu’il est exclu de l’institut San-Fernando pour avoir contesté à trois professeurs la capacité de noter ses croquis, il a devancé depuis belle lurette l’appel des surréalistes au panthéon desquels il place résolument Max Ernst, René Magritte et Yves Tanguy.

 

 

  

 

1929, l’année de Gala

 

  

Adopté par le groupe surréaliste en 1928, il expose à Paris l’année suivante : il figure déjà au premier rang des créateurs de grand format. Il a rencontré Pablo Picasso à Paris en 1927 (« Je viens chez vous avant de visiter le Louvre », lui a-t-il lancé) et Joan Miro s’est déplacé à Figueras pour mieux le connaître. En cette année 1929, André Breton lui rend visite à Cadaqués accompagné de René Char, de Paul Eluard et de son épouse Helena Devulina Diakonoff (1895-1982). C’est le coup de foudre : il croit reconnaître dans la femme d’origine russe, de dix ans son aînée, la « Galutchka » de ses rêveries adolescentes. Quatre ans plus tard, il épouse celle qu’il nomme Gala, la « Gradiva » (« celle qui avance »). « Je n’existais que dans un sac plein de trous, mou et flou, toujours à la recherche d’un béquille, reconnaît-il. En me collant à Gala, j’ai trouvé ma colonne vertébrale. »

 

Amante et cerbère à la fois, Gala est sa muse, son argentier, son modèle, son manager. Elle négocie avec les galeristes, les marchands, les journalistes et les collectionneurs. C’est elle qui a l’idée de mensualiser son mari, en réunissant dans le Cercle du Zodiaque une dizaine de mécènes dont le marquis de Cuevas et l’écrivain Julien Green. Ils lui versent une rente en échange de l’acquisition d’une œuvre par an.

 

Sa fascination pour Hitler et son ralliement à Franco lui valent d’être évincé du groupe des surréalistes en 1939. Il n’en continue pas moins ses provocations intempestives en soutenant que Jean-Louis-Ernest Meissonier vaut mieux que Picasso, que la gare de Perpignan est le centre du monde et que le franquisme a sauvé l’Espagne !

 

 

 

 

La fortune médiatique d’Avida Dollars

 

  

Salvador Dali possède un sens inné des médias. Il les a tous utilisés du reste, la publicité, l’estampe, le disque, le ballet, le théâtre, la conférence, la céramique, la mode, le cinéma (avec Walt Disney et Alfred Hitchcock). Rien d’étonnant à ce que sa célébrité new yorkaise (il réside aux États-Unis de 1939 à 1948) incite André Breton à l’affubler, en 1940, du surnom anagrammatique d’Avida Dollars. Il lance des parfums, vend des posters et des affiches, fabrique des bijoux et des crucifix, grave de la vaisselle et des bouteilles de liqueur, sculpte des Vénus à tiroirs et des éléphants à pattes d’araignée, utilise la technique photographique et l’image stéréoscopique. Moustaches gominées au miel défiant les lois de la pesanteur, il prononce des conférences fumeuses, parfois clownesques, à des auditeurs épatés d’avance. Pourvu de son étrange canne couronnée d’une tête de canard bleu et orange, il répète sur les plateaux de télévision, ses lèvres minces détachant les syllabes dans une diction abracadabrantesque : « Je suis fou du chocolat Lanvin ! ». Il dialogue avec des scientifiques sur le rayon laser, la cryogénisation, l’holographie et l’ADN. De l’acronyme de cet acide, il s’ingénie à prononcer de façon hilarante le mot « désoxyribonucléique ». Après son admission à l’Académie (française) des beaux-arts en 1978, il se préoccupe de la quatrième dimension (celle du temps) et de la théorie des catastrophes, énoncée par le mathématicien René Thom.

 

Gala meurt le jeudi 10 juin 1982 ; son corps est inhumé dans la crypte du château de Pubol que Dali lui a acheté en Catalogne. Le 26 juillet, le roi Juan Carlos confère au peintre le titre de marquis de Dali y Pubol. Durant l’été 1984, il est gravement brûlé dans l’incendie de sa chambre à coucher du castelet de Pubol : il cesse de peindre. Le lundi 23 janvier 1989, il meurt d’une attaque d’apoplexie à l’hôpital de Figueras. Tous les biens de l’artiste, évalués à quelque 703 millions de francs, sont légués à l’État espagnol ; en 1984, en effet, il avait modifié son testament afin d’exclure de son héritage sa sœur Anna Maria.

 

 

 

 

L’invention de soi, l’invention d’un mythe

 

  

Doué d’une prodigieuse imagination, prisant la théâtralité et la démesure, il déconcerte à travers sa célèbre montre molle qui explose en 888 morceaux, son Christ éclaté en quatre-vingts éléments et ses chaussures aux talons incrustés de diamants. « À six ans, je voulais être cuisinier, aime-t-il à répéter. À sept, Napoléon. Depuis, mon ambition n’a cessé de croître comme ma folie des grandeurs. »

 

« Ne confondons pas son esthétisme avec sa propagande exhibitionniste », tempère cependant son ami Ramón Gómez de la Serna (1888-1963). « Pour moi, soutient l’écrivain espagnol, Dali, l’homme qui déteste les épinards parce qu’ils collent aux dents, est le parfait novateur, le représentant le plus convaincant des temps nouveaux. »

 

Dessin, gouache, huile, aquarelle, gravure, sculpture, lithographie, objet, livre : de l’improvisation tachiste au réalisme de la Renaissance, l’œuvre, techniquement magistrale, est protéiforme. On y trouve le souvenir obsédant des paysages de son enfance, la mise en scène systématique de toutes les formes de délire par la paranoïa critique, ainsi qu’une fascination, toute surréaliste, pour ces territoires situés à la frange de l’humain, où l’épique, le mystique et l’érotique catalysent dans le sublime et la mythologie.

 

« Élaboré pièce par pièce, le mythe Dali est la pierre angulaire de son génie, veut persuader Catherine Grenier, une œuvre artistique qui englobe toutes les autres. Après Duchamp, il est le premier artiste qui, sans cesser sa production créatrice, fait de sa vie une œuvre d’art. Une vie qui semble en tous points contradictoire avec celle de son devancier, mais qui pourtant repose sur un principe identique : repousser les affects, transformer l’artiste-œuvre en une "machine à penser" ».

 

Selon Catherine Grenier, de nombreux créateurs s’inscrivent dans le sillage du maître de Figueras. De Jeff Koons à Damien Hirst, de Takashi Murakami à Francesco Vezzoli, de Markus Schinwald à Glenn Brown, de Bertrand Lavier à Zaha Hadid, les enjeux de la pensée et de l’art contemporains se conjuguent au XXIe siècle avec une réactivation de l’invention dalinienne. Les propositions du héraut catalan et les problématiques qu’elles posent aux artistes d’aujourd’hui, ceux qui l’admirent en tout cas, bénéficient d’une telle mise à distance. Servie par une argumentation savante et didactique, cette mise à distance a l’immense avantage de dépasser le mythe pour atteindre à la vraie connaissance de Salvador Dali et de mieux appréhender certains courants esthétiques qui s’en réclament de nos jours peu ou prou.

 Claude Darras

 mars 2012

 

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CLIQUER ICI

 

 

 

28/02/2012

Thomas Brummett

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 Photo Thomas Brummett

 

 

 

Hanging flowers

Mixed media photograph – archival pigment print

30 x 40 inches

 

 

 

www.brettwesleygallery.com

26/02/2012

Annick Desmier Maulion

Les éditions L. Mauguin

présentent

 

 

ANNICK DESMIER MAULION

 

Peintures, PASTELS

 

EXPOSITION DU 6 au 20 mars 2012

Vernissage le MARDI 6 MARS de 18h30 à 21h00

annick desmier.jpg



RENSEIGNEMENTS

www.editionslmauguin.fr

http://lmauguin-infos.blogspot.com

 

27/01/2012

Andrew Wyeth

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Andrew Wyeth, Nogeeshik, 1972, détrempe à l’œuf sur panneau. Collection privée

 

À Paris, la multiplicité et la simultanéité de grandes expositions prestigieuses font parfois oublier ou négliger fâcheusement certaines autres plus petites, moins convenues et plus intéressantes. Tel est le cas aujourd’hui de l’exposition The Wyeth. Trois générations d’artistes américains. Collection Bank of America Merrill Lynch ouverte jusqu’au 12 février prochain au Mona Bismarck – American Center for Art Culture, à quelques pas du musée d’Art moderne de la Ville de Paris (il suffit de descendre la rue de la Manutention jusqu’au quai et de tourner à droite). Dans trois salles, l’exposition présente successivement des œuvres de Newell Convers Wyeth (1882-1945), de son fils Andrew (1917-2009) et du fils de celui-ci, Jamie (né en 1946). S’il ne s’agissait que de montrer que, de ces trois peintres, le plus remarquable est Andrew, et qu’il est à juste titre le plus célèbre, l’exposition resterait d’un intérêt limité. Mais elle devient passionnante en révélant chez eux, selon des modalités différentes, une volonté plus ou moins assumée de raconter qui fait réfléchir à la relation qu’entretient la « grande peinture » telle qu’on l’entend en Occident depuis Cézanne – celle qui ne raconte presque plus rien, qui montre, forme et déforme, fait signe – avec celle qui veut dire quelque chose, suggère un récit, une histoire, et qui, figurative par nature, est aussi narrative, comme la plupart des œuvres des maîtres anciens. LIRE LA SUITE

 

Galerie ALAIN PAIRE

http://www.galerie-alain-paire.com/

 

17/11/2011

A l'Atelier Pictura...

Cycle de conférences

organisé à l’Atelier Pictura de novembre 2011 à juin 2012 sous la direction de Bruno Le Bail
 
 
 
Première conférence
L
’urinoir de Duchamp
Dimanche, 27 novembre 2011 à 11 heures
Route d'Artignosc, 04500 St. Laurent du Verdon

 

 

Conférence Duchamp.jpg

 

 

Bruno Le Bail

 

13/10/2011

Lutz Dille

Stephen Bulger Gallery

Transfixed 1959_ Lutz Dille_ MoMA_NYC 1959-2004 Gelatin-silver print_ 12×16 inches_Stephen Bulger Gallery.jpg

Lutz Dille, MoMa, NYC 1959-2004 - Gelatin Silver print, 12x16 inches

 

24/08/2011

René Peccolo

René Peccolo Un réaliste désirant

Préface et poèmes de Daniel Hachard

Lelivredart, 2011

www.lelivredart.com

 

 

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http://artpeccolo.over-blog.com/

Isabelle Seilern

Galerie Roy Sfeir
6 rue de Seine - 75006 Paris
Tel : +33 (0)1 43 26 08 96
art@galerie-du-fleuve.com/www.galerieroysfeir.com

 

 

Isabelle Seilern tirage lambda plexi - 2-7 _ 52x70 cm.jpg

Isabelle Seilern

Tirage lambda plexi - 2/7

52 x 70 cm

 

 

 

Galerie Samagra

52 rue Jacob - 75006 Paris
Tel : +33 (0)1 42 86 86 19
gallery.samagra@wanadoo.fr / www.gallery-samagra.com

13/08/2011

Marianne Breslauer

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Marianne Breslauer

Photographe allemande

(1909-2001)

 

 

14/07/2011

Sanford Roth

James Dean photographié par son ami Sanford Roth.jpg

James Dean : photography by his friend Sanford Roth

Source : youngzeus.blogspot.com



04/07/2011

Thierry Valencin

Atelier Valencin Photographie

46, rue Saint-Sébastien - 75 011 Paris

06 03 01 45 62  /  01 43 38 09 27

contact@thierryvalencin.com

www.thierryvalencin.com

 

thierry valencin.jpg

 

TV 9

tirage argentique sur papier baryté