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08/02/2009

Antonio Quintana (1904-1972)

Photographe chilien
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Pescadores 1
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Filets 1

Actuellement exposé à Paris « VALPARAISO DANS LES ANNEES 40 ET 50 » du 19/1/2009 au 29/5/2009 à la Photo Galerie de la Maison des Amériques Latines, 3 rue Cassette, 75006 Paris, Plan d'accès

 

 Galerie Photos :

Mav.canal cultural

 

 Un autre site à consulter :

 Araucaria

 

Un article dans le « Monde 2 » du 7 février 2009 :

Article AQ Monde2.pdf

 

07/02/2009

Maurice Chappaz

Évangile selon Judas

Editions Gallimard

Date de parution : 26/10/2001

Collection : BLANCHE

  

 

Écrivains suisses

L’art de la fugue de Maurice Chappaz

 


 

Note de lecture

 

Les plus accomplis des textes de Maurice Chappaz (il est mort en janvier 2009, à l’âge de 92 ans, dans le canton du Valais) restituent la constante la plus notable de son art romanesque et poétique, ce que l’on pourrait appeler son art de la fugue, l’alternance de récits parallèles, chacun fondé sur ses registres habituels, les rêveries alpestres, ses réflexions dépitées sur le « monde moderne », un univers onirique proche de celui de son compatriote et aîné Gustave Roud et la lecture attentive et extrêmement lucide de la Bible. À cet égard, « Évangile selon Judas » se révèle comme un livre à placer devant tous les yeux en un temps où la religiosité et sa conséquence l’intolérance trouvent un regain de sottise et de cruauté.

Le credo de l’écrivain (et viticulteur) valaisan livre un Judas Iscariote revisité et s’il en dépoussière le mythe de la catéchèse, l’auteur se prévaut de garder au personnage, au-delà des avatars d’un récit singulier, la véracité prônée aux enfants et aux gens simples, non d’esprit mais de cœur.

« Le douzième apôtre avait l’instinct pour deviner les bêtes, écrit-il. Il tâtait le bétail avec un sixième sens. Et c’est lui qui dénicha l’ânon gris sur lequel personne n’était monté pour l’amener à Jésus avant le grand rendez-vous, lors de l’ultime fête… »

Sa profession de foi le ramène aux matins de l’enfance, aux prémices de la pureté évangélique, lorsqu’il persistait à « se réfugier dans l’église et à écouter la petite clochette de l’élévation » dans l’espoir d’apercevoir de nouvelles « Terres promises ».

 

Claude Darras

 

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Maurice Chappaz et Gustave Roud lors d’une séance de signature chez Payot. 9 mars 1968.

© Archives littéraires suisses, Fonds S. Corinna Bille-Maurice Chappaz, Berne.

Bibliothèque Nationale Suisse

 

 

«Judas et Jésus remontent en moi.

Parce que ma vie devient comme une forêt noire où je m'enfonce. Je suis par moments étranglé par le respect puis en proie à la curiosité. Ma vocation je la subis. L'un après l'autre mes poèmes me quittent, déménagent, mais il me semble encore écrire des souvenirs avec les mots de plusieurs poètes engloutis, enfuis au bout du monde, de passage dans ma conscience, à demi-visibles. Je ne sais plus d'où vient telle voix, je pénètre, je tâtonne dans les buissons obscurs, sur les sentiers à la fin de l'âge. Où il faudrait être une bête, avoir son savoir aussi.»

 

Le poète valaisin s’est éteint à 92 ans, le 15 janvier 2009. « Poète témoin lucide des ruptures et des angoisses de la modernité. »

 

 

à consulter :

 

Site Rimeur.net

(Poésie Suisse Romande en ligne)

Jean Dieuzaide

 

Jean DIEUZAIDE

Photographe français

(1921-2003)

 

L A   P A U S E   P H O T O G R A  P H I Q U E


 

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Tiulinda, Nazaré – 1954 (BM Lyon)

 

 

Aux Editions Le Temps qu'il fait

 

 

GALERIE

 

Marco Ercolani, Lucetta Frisa - Courts-circuits

Réponses possibles à des questions imaginaires…………………………

 

Traduction de Sylvie Durbec

 

 

Extrait

 

Provoquer des courts-circuits

 

Quelques écrivains actuels, assez désinvoltes pour se détourner des origines et des racines de la littérature, écrivent des choses qui ont déjà été écrites des années auparavant, avec la présomption de renouveler de fond en comble l’écriture, d’être les premiers à voir la force et l’originalité d’un style, le leur. Une originalité qui se caractérise par l’amnésie, peut-être volontaire, du travail des générations précédentes. Au lieu d’être conscients de leurs choix personnels, ils se posent en prophètes de leur petite Weltanschuung sur le monde. Ils se construisent leur propre lexique dans une langue vidée à force de pauvreté, sereine par omission. Le péché originel de ces écrivains est bien leur manque de curiosité envers leurs prédécesseurs et leur absence désolante d’imagination. Se sont-ils jamais demandé si le fil rouge qui unit les générations est seulement la petite madeleine personnelle, la magique Rosebud de Welles et pas plutôt ce «fragment en forme de cube de la conscience haletante » dont parle Pasternak et qu’il recherchait dans tout livre ?

 

 Télécharger le texte : courts circuits.pdf

Gaston Bachelard

Lettres à Louis Guillaume

(Editions La part commune, décembre 2008)

 

 

Extrait

 

Un petit traité d’émerveillement

Préface de Jean-Luc Pouliquen

 

 

La correspondance de Gaston Bachelard (1884-1962) est à ce jour, dans sa plus grande partie, encore inconnue de tous ceux qui sont attentifs à son parcours exceptionnel dans la philosophie des sciences et de l’imaginaire. Avec le temps, elle remonte peu à peu à la lumière, s’échappant des tiroirs, des dossiers, des archives de ses nombreux interlocuteurs, quittant ainsi la sphère privée pour devenir accessible à tous. Tel est le processus qui se met en route après leur mort, autour des grandes figures de la création intellectuelle, littéraire et artistique ; une curiosité irrépressible pousse la collectivité à mieux connaître ce qui a entouré l’oeuvre, en constitue son soubassement.

 

Télécharger le documentlogoPDF.jpg Préface Lettres à Louis Guillaume.pdf

06/02/2009

Nécessaire, mais...

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David et Goliath d'après Caravage
 

 

Bernard Noël © L’Amourier éditions

Images : Ernest Pignon-Ernest

Nul doute que l’arrogance du pouvoir est

à son comble tout comme les faveurs accordées

aux privilégiés. Il est même étonnant de voir

à quel point l’absence de partage des richesses

réduit sans cesse la marge d’illusion qui pouvait

rendre supportable cette appropriation

exclusive. Le mépris de la misère crée un

désespoir sans doute propice à la révolution,

mais c’est un piège pour la raison que le

désespoir est explosif et non pas révolutionnaire:

il prépare une jacquerie facile à réprimer

et qui, finalement, servira l’oppression.

 

Lire le texte sur le site des éditions de l'...

amourier.com

Anne Slacik

 

A R T S    P L A S T I Q U E S


 

Grandes peintures 1996 – 2008

blanc (Piero 6).jpg

  Blanc (Piero 6)  200 x 142 cm 2008

  

 

Espace Chabrillan

127 rue Pierre Julien

26200 Montélimar

Tel 04 75 53 10 84

www.montelimar.fr

 

14 Février – 5 Avril 2009

Vernissage le 14 février 2009 à 18h

 

Commissariat d'exposition : Galerie Artenostrum

Le Parol   Allée des promenades   26220 Dieulefit

tel 04 75 46 83 30

info@artenostrum.com

www.artenostrum.com

Texte du dépliant D'où la lumière de Jean-Gabriel Cosculluella

 

 

05/02/2009

Roland Dauxois - poèsie & peinture

Roland Dauxois, né à Lyon en 1957, travaille dans l’industrie des arts graphiques jusqu’en 1992, rencontre et se lie d’amitié avec le peintre et écrivain belge jean Raine à Rochetaillée-sur-Saône. Expose dans de nombreux salons lyonnais, membre du jury du salon Regain 1980-1984. Membre de la cave littéraire à Villefontaine. Participe à des lectures dans différents lieux publics. Fonde  avec des amis écrivains les Editions du Vampire Actif en 2008. Publie régulièrement dans la revue de poésie lyonnaise Verso animée par alain Wexler.

 

« Peinture et écriture deux formes d’expression qui m’ont toujours habité. Je les situe toutes deux dans cette préoccupation : tendre à une certaine universalité. Ces deux formes de créativité bien différentes dans leur vécu me permettent non de me soustraire au monde mais d’expérimenter des tentatives de traduction de ce monde, de redécouvrir une forme de spiritualité non soumise à des dogmes. » 

Copie (2) de Copie de Roland - 018.jpg

Hors de  - 2003

 

 

La Ruche du monde

 

Hors la ruche du monde
nous habitons les ossuaires du verbe,
notre métier : tisser en haute lumière
la lice où nos paroles s'affrontent.

Hors la ruche du monde
nos fronts sont brûlants de fièvre.


Nous avons soif d'oracles et de signes,
soif d' ombres mêlées de terres et de vents,
soif de marches sur les sommets du monde,
soif de réponses,
de visions magiques,
mais les  cercles anciens
traversés d'ondes et de câbles
ne transmettent plus aujourd'hui
que des peurs nouvelles.
 
Hors la première ruche du monde
nous avons perdu le goût du miel.

 

 

 

 

Hors du chant

 


Hors ce côté solide du verbe,
hors ce côté du squelette de la parole,
hors cette naissance,
hors du sommet et de la plaine,
hors de l'ivresse,
hors du tourment absolu,
du manque d'eau,
hors de ces interminables couloirs
qui conduisent aux chambres,
hors les rivières,
hors les lits fangeux du fleuve,
hors la bouche bavarde,
hors cette parole
hors ces paradis d'argile
et ces grottes très sombres,
hors la première version du texte,
hors du premier versant,
hors de ce peu de bravoure
qui nous fait tenir
côte contre côte,
chair contre chair,
hors ce premier brouillard
qui nous immerge,
hors ce  mur,
cet arbre,
cette table,
où nous voulons en finir

avec toutes nos faims et nos soifs,
hors ce tronc
dans lequel se creuse la pirogue,
hors ces yeux
qui font mentir la bouche,
hors ces armes qui parlent
le langage du feu,
hors ce feu qui forge l'arme,
hors ces coups qui pleuvent sur nos têtes,
hors ces mauvais esprits
qui brandissent leurs colères
comme des torches,
hors ces pays traversés
par les vents, les guerres, les famines,
hors l'innocence
et son existence toujours coupable,
hors cette pierre,
hors ce couteau planté dans la chair,
hors cette ouverture dans le ciel,
incompréhensible
et belle à la fois,
hors les réseaux
et leurs bruissements de ferraille,
hors les machines
et leurs sirènes dictatures,
hors tous les murs
et leurs cris tagués,
hors ces fuites incessantes,
hors ces champs ravagés
sous des herses semeuses d'effrois,
hors ces silences
plantés comme des lances
dans la terre des ancêtres,
hors ces chemins
qui ne connaissent pas encore les routes,
ni le sens giratoire,
ni le sens interdit,
ni le sens unique,
ni le double sens,
ni l'obligation de céder le passage,
ni la route absolument prioritaire
sur toutes les autres,
ni le passage protégé,
ni les feux comme des drapeaux
voleurs d'aubes et d'aurores,
ni tout sens imposé par les dictionnaires,
hors la grande circulation du sang dans vos veines,
hors le niveau des mers qui monte,
hors la véhémence du ciel d'avant l'orage,
hors les grandes migrations,
hors l'exil
et ses pensées exténuées,

hors ces chants impénétrables,
hors ces sphères brûlantes qui s'ouvrent,
hors ce travail,
hors ce jeu dans l'espace préservé du sommeil,
hors cette langue
éraflure faite au soleil,
blessure au flanc d'une colline,
jouissance dans l'arène de sable,
hors cet art de marcher
sans heurter la pierre,
sans jamais toucher le sol.

 

02/02/2009

Philippe Sollers

Les Voyageurs du Temps

Editions Gallimard - Collection Blanche - Roman

256 pages - 17,90 €

A77977 - ISBN : 9782070779772

 

 

NOTE DE LECTURE

Claude Minière

 


                            

                  Conditions de la critique

 

Il est au fond assez rare que soit dite l’expérience extatique (poétique) du temps comme surgissement.  Cette expérience ne se place pas dans la continuité des affaires ordinaires mais marque un saut qualitatif, une espèce de décrochage où vous devenez rassemblé au cœur de l’intelligence et de la Bête. Quand c’est dit – et ce l’est magnifiquement dans Les voyageurs du temps – les critiques professionnels réagissent avec gêne (il serait instructif d’établir le relevé des divers contournements auxquels ils s’emploient).Les journalistes alors tatillonnent, cherchent la petite bête (« faux roman » !), ressortent les mêmes routines (« masques » !).  Il faut pour eux que cette expérience ne soit que relative, à diluer au cours de tables rondes, alors qu’elle est proprement indiscutable.  D’où la nécessité pour l’écrivain d’une guérilla aux méthodes semblables à celles que T.E. Lawrence définissait.  Rimbaud, Hölderlin, Zhuangzi (« La Perfection »), Pound,…sont-ils passés ?  Voyez Sollers.

 

Qu’à travers les siècles un poète ressuscite est dans « la nature des choses » (De rerum natura).  Sollers cherche les lois et phénomènes de cette Nature et la forme-roman lui permet d’exposer au quotidien, sans posture idéologique, un parti-pris de l’Etre. Visiblement le style ici perturbe le ron-ron journalistique.

                                                                                                

 

 

 

En librairie depuis le 8 janvier 2009

 

« Je viens du Centre de tir. Quelques bavures pour commencer (fatigue, souffle court), et puis précision. Je ne sais plus quel poète américain a écrit ces deux vers : "Paradis calme/Au-dessus du carnage". C'est mon état d'esprit à l'entraînement. En haut, si j'arrive à penser le moins possible, ciel bleu, calme lumineux. En bas, explosion et larmes.

Je me concentre sur le mot "mot". Je le vois là-bas, dans la ligne de mire. Il respire un peu, il grandit, c'est lui que je vise, que je veux toucher et trouer. MOT. Avec une lettre de plus, c'est MORT. En anglais, ça ferait WORD et WORLD. Je tire sur la mort, je tire sur le monde. Petite plaisanterie, mais qui fait du bien. Ma voisine de stand, Viva, me félicite d'avoir mis dans le mille. Je ne sais rien de ses activités, ni elle des miennes. On se sourit, ça suffit. » Extraits Gallimard

 

 

7 questions posées à Philippe Sollers

Qui sont ces « Voyageurs du temps » du titre ?

Quel sens donner à la formule « Le temps il ne passe pas, il surgit » ?

...

Entretiens Vidéo Gallimard

 

 

 Lire l'article de Jacques Henric

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La gazette BASILIC n°31

 

De la toile et des mots, Un maillage possible

par Yves Ughes

 

logo_basilic.gifDepuis le Basilic n° 10, nous avons créé une rubrique consacrée aux sites amis, ceux qui animent sur la toile une défense de la poésie et de la littérature. Dans ce numéro nous vous proposons un détour par : Les Carnets d’Eucharis…(page 7)

 

 

Télécharger la gazette

(Basilic n°31)

 

 

 

Jean-Christophe Schmitt

jcs.jpgHomme singulier, peintre poète, Jean Christophe Schmitt nous donne à voir une peinture touchante, d'un calme conquis, libérée de tout conformisme, où bonheur et gravité s'interrogent mutuellement.

Une peinture que l'on peut qualifiée d'intimiste, mais dont l'évidente poésie, si elle s'attache à la douce sensualité des êtres et des choses, n'en véhicule pas moins comme un dérangement, un désordre primaire, une ligne de perturbation abstraite nécessaire à l'émergence d'une intériorité maîtrisée : d'où cette atmosphère de rêve en suspens que ponctuent, le plus souvent, la ou les femmes, silhouettes aimées, ou la caresse d'un fruit ou l'incertaine présence d'objets familiers.

D'une palette parfois douce, parfois vive, mais toujours harmonieuse, dans une subtile lumière et la nervosité sous-jacente du trait, fondus et transparence suscitent une œuvre d'une grande sensibilité.

 

Xavier Culty

 

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Julie

 

Né le 9 novembre 1956 à Tananarive ( Madagascar )

 

Après un bac scientifique en 1974 puis une Licence de psychologie ( mémoire de psycho-clinique consacré à Vincent Van Gogh ), il entre, en 1977, aux Beaux-Arts de Lyon dont il s'évade rapidement, non sans emmener avec lui celle qui sera dorénavant sa compagne.

Ses premiers travaux en peinture seront suivis par les peintres Jacques Poncet et Jacques Truphémus et il rencontrera, lors de son installation dans le midi, Philippe Jacottet puis René Char.

De 1978 à 1984, il collabore régulièrement à la revue " Les Cahiers Bleus ", dirigée par Dominique Daguet à Troyes , et publie en 1985 les recueils  " Premier Séjour " et " Le Lys ou la Tourmente ", illustrés de dessin à l'encre. Avec Roger Planchon, au T.N.P de Villeurbanne, il approche aussi le théâtre comme " comédien " et décorateur.

Il sera un temps instituteur mais choisira finalement de connaître une période de vaches maigres avant de trouver du côté des postes françaises, un emploi qui  le laisse plus libre dans l'exercice de l'écriture et de la peinture surtout, puisque c'est à elle, semble-t-il, qu'il se consacre essentiellement désormais.

 

 

Jean-Christophe Schmitt vit et travaille en Vaucluse.

 

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Expositions personnelles

 

1985 : atelier d'imprimerie Philippe Devoghel ( Grignan )

1987 : Librairie Galerie " Arcanes " ( Valréas )

1990 : O.T.S.I  Valréas

1994 : Galerie Michèle Emiliani ( La Bégude de Mazenc )

1995 : Galerie Jean-Pierre Prébet ( Roanne / New York )

1996 : Galerie Julia Novo ( Aix en Provence )

1997 : Chromalies , Valence ( Galerie Michèle Emiliani )

1998 : Galerie Michèle Durieux ( Tain-l'Hermitage )

1999 : Galerie Michèle Emiliani

2000 : Galerie Montfort et Galerie  La Peyrouse ( Nyons )

2001 : Galerie Montfort et Galerie La Peyrouse

           Galerie Eric Van Neygen  ( Moerzeke, Belgique )

           Salon ArteNîmes ( Galerie Montfort )

2002 : Galerie Martine Brugière ( L'Isle sur la Sorgue )

           Galerie Eric Van Neygen

           Galerie La Peyrouse

2003 : Galerie Michèle Durieux

           Galerie Montfort

2004 : Galerie La Peyrouse

2005 : Galerie Patrice Alexis ( Thonon-les-Bains )

2006 : Salon ArteNîmes ( Galerie Montfort )

           Galerie Michèle Durieux

2007 : Galerie « Passerelle » ( lyon )

2008 : Centre Culturel « Espace Ripert », Bolléne

           Galerie Incarnat (Grignan).

           

 

Œuvres présentes dans différentes collections privées en France, en Europe et aux Etats Unis.

 

 

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