28/02/2009
Mathieu Brosseau
cliquer ici : Une lecture de Nathalie Riera sur le site Poezibao
Né en 1977 à Lannion dans les Côtes d’Armor, Mathieu Brosseau est bibliothécaire à Paris. Il a publié deux ouvrages : L’Aquatone et Surfaces : Journal perpétuel. Plus récemment et en collaboration avec Thierry Le Saëc, il a publié Dis-moi, un livre d’artiste aux éditions La Canopée/La Rivière échappée. En 2006, il fonde la revue en ligne plexus-s.net et depuis 2008 il codirige avec François Rannou la collection L’Inadvertance sur le site publie.net. Il a également publié dans de nombreuses revues : Action Resteinte, Ouste, Dock(s), Boudoir & autre, L’étrangère, etc.
La Nuit d’un seul
Mars 2009 - Editions La Rivière Echappée
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27/02/2009
Le bulletin du 2 mars 2009
N°3 – 2 Mars 2009
□LES CARNETS D’EUCHARIS□
Notes de lecture, préfaces, traductions & autres clins d’oeil
●●●●●●●●●●●●Poésie & Arts plastiques●●●●●●●●●●●●
… – alors qu’il n’est plus de « terre ! »
Sur l’horizon de l’infini – Nous avons quitté la terre, nous nous sommes embarqués ! Nous avons coupé les ponts – bien plus, nous avons laissé derrière nous la terre !
(Le Gai Savoir, Livre Troisième, paragraphe 124 – Friedrich Nietzsche)
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25/02/2009
Les Editions Le Bruit du Temps
Le Bruit du Temps
Antoine Jaccottet quitte Gallimard (où il travaillait depuis 15 ans comme éditeur chez "Quarto") pour fonder ses propres éditions : Le Bruit du temps.
Pour Amaury Nauroy, placer ainsi sa maison sous le signe de Mandelstam, c'est affirmer à quel point nous sommes conscients de la force de la parole poétique mais aussi de son essentielle fragilité, sans cesse menacée par des forces qui cherchent à la réduire au silence.
Le Bruit du temps est une petite structure sur laquelle on devra vraisemblablement compter, rapport à l'exigence de ses choix, et au rythme régulier de ses publications (environ 2-3 par mois) à compter de mars 2009.
Les deux premiers titres seront :
"L'Anneau et le livre" de Robert Browning, ouvrage hors norme, adulé en Angleterre (par Carlyle, James, Borges, Woolf, Eliot...), néanmoins totalement inconnu aux lecteurs francophones (la dernière traduction, vite épuisée, remonte à... 1959 !), et proposé ici pour la première fois dans une édition bilingue, et commentée.
En librairie le 17 mars 2009
"Le Timbre Egyptien", unique oeuvre de fiction d'Ossip Mandelstam proposée dans une étourdissante traduction de Georges Limbour. C'est aussi un rarissime exemple de prose surréaliste russe ; laquelle, cahotique, désarticulée, "ferroviaire" comme l'auteur aime à dire, saisit parfaitement l'atmosphère pleine de menaces qui régnait à Saint-Pétersbourg en 1917.
Le Bruit du temps
62, rue du Cardinal Lemoine
75005 Paris
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EN AVANT PREMIERE...
SUR LE BLOG DE LA PENSEE DE MIDI, L'EDITORIAL DU PROCHAIN NUMERO DE LA PENSEE DE MIDI, QUI PARAITRA EN LIBRAIRIE LE 4 MARS 2009, "L'IRAN, DERRIERE LE MIROIR" :
Un rêve méditerranéen… par Thierry Fabre
Très large dossier sur l’Iran contemporain, coordonné par Christian Bromberger… Parmi les rubriques : Le carnet d’hubert Nyssen, En débat (entretien avec Boris Cyrulnik, par José Lenzini), La bibliothèque de Midi (par Renaud Ego, Philippe Di Meo, Nathalie Riera, Inaki Martin Diez, Michel Guérin, Pascal Krajewski, Pierre Baumann, Charlotte Serrus), Les musicales (El Hadj N’Diaye, par Catherine Peillon), Carnet d’artiste (Miguel Angel Molina, par Pierre Baumann), Questions d’images, Le temps des saveurs, puis Les inédits…
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21/02/2009
L'Apparition - Yves Goulm
(LES ENCRES D’ISAAC CELNIKIER)
Editions Albiana, 2007
-Quatrième de couverture-
Jamais il n’écrivit sur Piotr dans son hebdomadaire. Il n’en fit jamais le portrait. Comment aurait-il pu ? Qui pouvait écrire sur ses Têtes ? Personne. Personne n’écrivait comme il gravait. Personne n’avait jamais écrit comme il gravait. Qui écrirait un Visage pour l’hachurer ensuite, pour le strier de suie ? Qui bâtirait le poème de la Face pour le raturer ? Qui rimerait la littérature de la Face pour la biffer avec frénésie une fois l’harmonie atteinte ? Qui parviendrait à faire apparaître une Révélation, à faire se révéler une Apparition pour l’encombrer de gribouillis, pour la charger, la surcharger ? Qui traquerait le beau en mots tissés pour mieux le rayer, le dérayer par les sillons du laid, les souillures de l’effacement ?
-En un mot…-
Par Nathalie Riera
Puisque peindre c’est transcender le monde avait-il dit à Edouard, alors le monde sera ma toile.
Piotr peint des têtes, rien que des têtes, mais pas n’importe quelles têtes. Trente gravures, la Tête I, la Tête II… « Trente Têtes saturées comme pièces maudites » que son ami Edouard, dont l’amitié précieuse l’aide à vivre, veut les confronter au public, lui faire rencontrer ces Têtes, et permettre en même temps au peintre de sortir de son atelier et de sa solitude. Une exposition est organisée dans une galerie, mais Edouard ne peut s’empêcher de remettre en cause ce projet qu’il considère inepte :
Comment avait-il pu insister, et insister encore, et encore, à le sortir de sa réclusion volontaire pour l’entraîner dans cette fange ? Et, surtout, pire que tout comment avait-il pu envisager par quel miracle les œuvres de Piotr supporteraient le choc d’être confrontées aux non-regards, aux regards éteints et aveugles, aux regards vides d’yeux ? Comment avait-il pu concevoir cette rencontre de têtes ?
Dès les premières pages, le ton est donné. Une situation singulière, avec un Edouard en culpabilité, un Piotr pris d’hébétude et de panique, tous deux versés au milieu d’une cacophonie, d’une masse de gens aux conversations futiles et verbeuses, si peu attentifs aux horribles créatures de Piotr : plus personne n’y prêtait attention, si tant est que quiconque en eût seulement l’intention. Ces Têtes gâchaient presque le plaisir des conviés.
(…)
Comment avait-il osé croire que ces sublimes laideurs, ces laides beautés, ces Têtes extirpées de la tribu des damnés recevraient autre chose que le dédain d’un temps où le factice et le clinquant triomphent ?
Un livre qui, pour l’éditeur des Editions Albiana, se confronte à de vraies questions.
-Extraits-
Ci-dessous : Tète 1, 1996 gravure, 1981, pointe-sèche, 11 x 11
Ils pleurèrent un mélange d’eau et de sang, d’eau de sang, de rage et d’écoeurement, d’eau d’étang saumâtre, de mare flasque, de flaque aux eaux mortes et fangeuses où le moustique abonde, eaux de marécages, eaux dormantes où règne la touffeur. Chacun son royaume, chacun son trône et son spectre. Roi des flaques d’eau sales, roi des mares d’eaux de boue, roi des étangs d’eaux stagnantes, roi des écoulements huileux, les eaux de haut-le-cœur, roi des eaux de rage, roi des eaux de sang, suceur de sang, vampirique diktat, nécrophilique édit.
(p.35)
C’était un regard de désert, une terre d’yeux à l’aridité calleuse, un regard aux yeux de sécheresse, un regard de sable, un regard de tempête de sable, un regard de dunes, un regard ardent, un regard d’erg. C’était une immensité calcinée et grillée, un regard sans autre végétation que des arbustes épineux, un regard sans autre faune que lézard et scorpion, le serpent pour animal, le cactus pour végétal. C’était un regard de dard et d’épine, un regard des contrées immenses aux épouvantables chaleurs diurnes et froideurs nocturnes, un regard flou d’horizon incertain, la netteté de la ligne troublée, vaincue, distordue par les torrides torsions de la canicule, un regard dur de croûtes misérables, un regard calleux de crevasses et de gerçures. C’était un regard sans sources, sans puits, sans pluies, sans oasis, sans mirages et sans rêves, un regard sans trêve de soif, une soif que plus aucune ondée n’aurait épanchée, une soif que l’eau n’apaise plus. C’était un regard de traversée de désert sans nul but, sans boussole. C’était un regard dur d’une dureté muette.
(p.100)
Les gravures sont d’Isaac Celnikier, né à Varsovie en 1923, enfermé au ghetto de Byalystok de 1941 à 1943, et qui a reçu le Prix Mémoire de la Shoah de la Fondation Jacob Buchman en 1993.
Gladys, 1985 huile sur toile, 81 x 65
« La poésie pour réconcilier les âmes »
sur le site Paysages bretons
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Isabelle Zribi
Vient de paraître
Tous les soirs de ma vie
Ed. Verticales, février 2009
Note de lecture de Pascal Boulanger
Il est beaucoup question, dans ce très beau récit d’Isabelle Zribi, de désolation, de voix négatives et pessimistes, d’idiotie et de malchance, de nuits qui tombent en plombant l’existence…autant de scènes répétées qui révèlent, chez la narratrice, un désespoir lucide et profond. Il y a du Antoine Roquentin chez elle – rien jamais n’arrive, rien n’est nécessaire – chaque événement se voile ou bien, quand il pourrait surgir, il est déjà au bord de sa disparition nauséeuse.
Face à un réel qui ne se manifeste que par son absence ou sa défaillance, ce sont les attentes, les indécisions et les faillites qui résonnent à chaque page de ce récit. Et pourtant, des possibles autour de la fenêtre hölderlienne de l’enfermement survivent dans les lointains de l’amour. Et pourtant, Tous les soirs de ma vie est sans doute le récit le plus apaisé de Zribi car il propose aussi une rencontre et une fugue, avec une mystérieuse C., épiphanie offrant soudain un ressaisissement et une espérance. Ce livre brûle de ce qui fait obstacle à la présence. L’enjeu d’écrire consiste alors à questionner, dans un humour grinçant, une existence – la nôtre – monotone et vide. Face à la neutralité exacerbée, à la maladie de la répétition et de la tiédeur, nous ne sommes plus que des ombres muettes, plongées dans l’indifférence du monde. Plus d’immanence, encore moins de transcendance, mais le relevé froid et lucide de notre passion – notre souffrance – puisque rien ne peut excéder l’existence et sa banalité affligeante.
Flannery O’Connor, en bonne catholique, l’a exprimé : plus vive sera l’exigence de vivre plus évident risque d’apparaître le vide qu’on a sous les yeux. Zribi, triste par excès d’optimisme, traverse le négatif, y séjourne même, pour mieux déjouer nos illusions.
Pascal Boulanger
21:36 Publié dans NOTES DE LECTURES/RECENSIONS, Pascal Boulanger | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer | | Facebook
Szilard Huszank
Pendant mon séjour à Marseille j’ai souhaité tenir un journal. Un journal en peinture.
En fait, des portraits issus de mon environnement immédiat: le plus souvent ceux de jeunes artistes de différents pays qui résident ou ont résidé à Marseille et sont originaires de Côte d’Ivoire, d’Inde, de Grande-Bretagne, de Nouvelle-Guinée, de Hongrie, d’Allemagne et de France.
À la Galerie du Tableau, je présente, avant mon retour en Allemagne, une sélection d’une série de 40 oeuvres : “Des visages à Marseille“.
Szilard Huszank
Während meines Aufenthaltes in Marseille durch das OFAJ habe ich mir vorgenommen, ein Tagebuch zu führen. Als Maler ist es naheliegend, sich dabei der Ausdrucksmöglichkeiten der Malerei zu bedienen.
So entstanden Portraits aus meiner direkten Umgebung: großteils junge Künstler, die gleichermaßen in Marseille verweilen oder verweilt haben und aus verschiedenen Ländern - um einige Beispiele zu nennen: Elfenbeinküste,
Indien, Großbritannien, Neu-Guinea, Korea, Ungarn, Deutschland und Frankreich - kommen.
Vor meiner Rückreise nach Deutschland zeige ich in der Galerie du Tableau zum ersten Mal eine Auswahl der aus vierzig Arbeiten bestehenden Serie: "Des visages à Marseille".
"Que Szilard Huszank se soit consacré à un savoir-faire et une peinture réaliste est logique. Dès qu'il choisit un terme : un portrait ou un nu dans une position précise ou un intérieur ou encore une nature morte, il en résultera une série de peintures montrant le sujet sous ses différents aspects. Cette attitude tient beaucoup de celle d'un naturaliste, par la méthode et le concept. Souvent réapparaissent les mêmes éléments, motifs et variations de couleurs. A une époque où la plupart des artistes évitent toute répétition, par crainte de routine et pour préserver un peu de liberté, toute superficielle, Szilard n'a aucun scrupule à se servir de son expérience et de s’appuyer sur ses acquis. Et ainsi mûrit sa peinture, de toile en toile, gagnant en assurance, raffinement et élégance. Avec ce sérieux, qui n’exclut pas l’humour, il construit sa démarche artistique."
Peter Angermann
(Extrait du catalogue : Szilard Huszank, Malerei 2001-2007)
Du 23 au 28 février 2009
Vernissage lundi 23 février à 18h30
21:30 Publié dans CLINS D'OEILS (arts plastiques) | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer | | Facebook
20/02/2009
Nathalie Riera sur le site Bribes en ligne
Bribes en ligne
Site de Raphaël Monticelli
que je remercie vivement pour avoir accueilli mon dernier texte Tandis que je nais
(texte inédit illustré avec les encres de Jean-Christophe Schmitt)
09:25 Publié dans Nathalie Riera | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer | | Facebook
Luis Gonzales Palma
Luis Gonzales Palma
Photographe contemporain d'Amérique Latine. Né en 1957, il grandit au Guatema, fait des études d'architecture et de cinématographie à l'Université de San Carlos de Guatemala et se dirige ensuite vers la photographie. Depuis les années 1989, plus de 58 expositions en Amérique et en Europe.
Quelques photographies sur le site Galerie camera obscura
09:16 Publié dans CLINS D'OEILS (arts plastiques) | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer | | Facebook
Cathy Garcia
Interview
de Cathy Garcia
Poète, artiste, revuiste
par Bernard Mayaudon
DIALOGUE n°131 « Culture : Combats pour l’émancipation (1) » Janvier 2009
09:09 Publié dans Cathy Garcia | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer | | Facebook
19/02/2009
Amelia Rosselli
Amelia ROSSELLI
Poète italienne
(1930 - 1996)
L A P A U S E P O E S I E
© http://www.dinoignani.net/poeti.html
Sur le site Terres de femmes
La revue littéraire, artistique & cap corsaire d’Angèle Paoli
D’autres sites :
maintenant tu t’en vas de la table de l’hôte
ça ne finira jamais cette promenade
poétique et les grandes palmes qui te regardent
de derrière un mur bas. La palme est haute
la maison-bureau plus haute encore elle sert de fond
puis les frondaisons lui piquent le toit et ensuite
le ciel qui ne dit jamais rien de superflu
car il parle par allusions. Les oiseaux pointus
montent la garde en couples sont appelés en mission
de quartier en quartier. Moi je tombe de sommeil
ne résiste plus m’en vais. Comment faire
sinon vivre jusqu’à en mourir jeune ?
(1954)
avali ti ni va di a tola di l’òspitu
mai ùn hà da finì sta priminata
puètica è i palmi maiò chì ti fighjulani
da darettu un bassu muru. A palma hè alta
a casa-uffiziu alta ancu di più servi di fondu
pò i frondami li pizzicani u tettu è pò dopu
u celu ch’ùn dici mai nudda di troppu
parchì parla par allusioni. L’acceddi pinzuti
sò i vighjaneddi aduniti chjamati in missioni
di quartieri in quartieri. Ed eiu cascu di sonnu
ùn risistu più è mi ni vogu. Comu fà
osinò viva sinu à mora in ghjuventù ?
(1954)
(traduit en corse par Nubertu Pagannelli)
ora te ne vai dalla tavola dell'ospite
questo non finirà mai questa passeggiata
poetica e le grandi palme che ti guardano
da dietro un basso muro. La palma è alta
la casa-ufficio ancor più alta essa serve da sfondo
poi il fogliame le punge il tetto e ancora
il cielo che non dice mai niente di superfluo
perchè parla per allusioni. Gli uccelli puntuti
montano la guardia a coppie sono chiamati in missione
di quartiere in quartiere. E io casco dal sonno
non resisto più me ne vado. Come fare
se non vivere fino a morirne giovane? »
(traduction en italien par Giacomo Cerrai)
Ce poème a d’abord été écrit en français par Amelia Rosselli, puis traduit en italien par Giacomo Cerrai (Imperfetta Ellise, ci-dessus), et enfin traduit en corse par Nubertu Pagannelli.
Un nouveau post sur Amelia Rosselli :
Dans les arbres fruitiers de la vie se
débattait la dernière mouche. Un rebelle
défait par sa propre disposition
au bien se surveillait impatient d’en finir
avec le mal. Le monde surveillait très
las de l’emprisonnement. Sa propre
disposition au bien l’emprisonnait.
Negli alberi fruttiferi della vita si
dibatteva l’ultima mosca. Un ribelle
disfatto dalla sua propria disposizione
al bene si sorvegliava ansioso di finirla
con il male. Il mondo sorvegliava molto
stanco della prigionia. La sua propria
disposizione al bene lo imprigionava.
10:53 Publié dans Amelia Rosselli | Lien permanent | Commentaires (1) | Imprimer | | Facebook
18/02/2009
LA PENSEE DE MIDI N°27 - mars 2009
La prochaine parution |
| " L' Iran, derrière le miroir " |
17:30 Publié dans La Pensée de Midi | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer | | Facebook
15/02/2009
Isabella Soupart
Cliquez ci-dessous :
(Kiss of Death)
Conception scénique et chorégraphique Isabella Soupart
librement inspiré d’Hamlet de William Shakespeare
23:44 Publié dans VIDEOS, ANIMATIONS, DOCUMENTAIRES | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer | | Facebook
Aguayo Fermin
Peintre espagnol (1926-1977)
DESNUDOS DE MUJER Oil on Canvas
18,1 x 21,7 in. / 46 x 55 cm.
23:04 Publié dans CLINS D'OEILS (arts plastiques) | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer | | Facebook
Werner Bischof (1916-1954)
Photographe suisse
21:53 Publié dans CLINS D'OEILS (arts plastiques) | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer | | Facebook
Sous les pavés, la Terre - Bande annonce 2
« Si chaque être humain construit sa cohérence là où il est… ça c’est un soulèvement ! »
Pierre Rabhi (philosophe paysan)
Documentaire environnementaliste de 100 minutes
réalisé par Thierry Kruger et Pablo Girault
Disponible avril 2009
COURT DESCRIPTIF DE LA SOCIETE BRUT PRODUCTIONS
En 2000, BRUT PRODUCTIONS est une société créée par Laurent GALMOT pour construire des documentaires sociaux ancrés dans le quotidien(Russie, Mali, Guyane, Tchéquie, Sakhaline, Ukraine, Laos…et Pays de Loire) et pour donner vie aux idées ambitieuses des Auteurs tels que Pascal RABATE ou David SALLES. La singularité de l’écriture et des cadrages des auteurs issus de l’édition littéraire et artistique, associée aux capacités de techniciens professionnels, ont permis à BRUT PRODUCTIONS d’apporter un regard original, sensible et profond dans le domaine du documentaire social international.
Cette démarche de production s’équilibre en travaillant sur trois directions :
- des documentaires pour des Musées, des ONG, des Parcs régionaux, des circuits touristiques ainsi que des interviews, des making of et des courts métrages pour l’édition DVD… (de 2 à 26 mn).
- des documentaires-témoins de vies ou de survies exceptionnellement quotidiennes, distribués par « CINEXPORT international » pour les télévisions du monde. (des 26, 52 ou 100 mn).
- des formations à l’étranger à toutes les étapes de la réalisation (écriture, planning, cadrage, graphisme, photo, interview, montage, musique et sons …). Lire la suite
Laurent GALMOT
BRUT PRODUCTIONS
44 Avenue du Prof. Grasset
34090 MONTPELLIER/France
Tél/Fax. 04 67 61 03 16
20:57 Publié dans VIDEOS, ANIMATIONS, DOCUMENTAIRES | Lien permanent | Commentaires (1) | Imprimer | | Facebook
09/02/2009
La Petite Librairie des Champs
est une structure associative placée sous le signe de la passion et de la poésie. Passion pour le livre, pour la poésie, ceux qui écrivent, ceux qui publient, ceux qui lisent. Partager notre goût des livres. Ouvrir un lieu à la poésie mais aussi à l'expression plastique et à la musique. La PLC a ouvert ses portes, le 27/09/08, en organisant de manière ponctuelle rencontres, lectures, expositions et vente de livres issus de la "petite édition".
LA PETITE LIBRAIRIE DES CHAMPS
ouvre ses portes samedi 14 Février de 17h à 20 h pour vous proposer :
■ vente d'ouvrages, principalement des éditions CADEX et DUMERCHEZ
■ performance d'un artiste plasticien Jean-Claude GAGNIEUX vers 19 heures
■ lectures
■ vernissage de l'exposition Susanna LEHTINEN (dessins) et Bruno SAISON (Photographies)
La petite librairie sera également ouverte dimanche 15 Février de 15 h à 18 heures pour proposer la vente de livres, et vous laisser découvrir l'exposition
Sylvie DURBEC (06 26 41 70 42)
Catherine SAISON (06 84 10 31 05)
LE MOULIN BRULE
13 150 BOULBON
22:31 Publié dans CLINS D'OEILS (arts plastiques) | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer | | Facebook
Appel à projet
15:26 Publié dans CLINS D'OEILS (arts plastiques) | Lien permanent | Commentaires (1) | Imprimer | | Facebook
Tu ne répares pas
Tu rectifies une imperfection de l’œuvre
tu ne répares pas
Yannis Ritsos
Tu ne répares pas
-I-
Dentelle du trait
enjamber
encercler
que le tissu ne se déchire
l’aile
à mes joies
se fêlent
les mots que tu as trop écris
------------------------
L’air dans la verdure
le tableau
de la robe où tu as chaud
quand il te parle
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Lire la suite :
Poème écrit à partir de :
© Photographie 1 : Sergio Larrain
CHILE, Valparaiso, 1963, Café
© Photographie 2 : Franck Juery
Série « HAIKU »
00:25 Publié dans Nathalie Riera | Lien permanent | Commentaires (1) | Imprimer | | Facebook
08/02/2009
Sergio Larrain
© Sergio Larrain
CHILE, Valparaiso, 1963, Café
Un des héritiers de Quintana selon le photographe Patrice Loubon qui dirige à Nîmes la Galerie Negpos (« Le Monde 2 » du 7 février 2009.)
21:46 Publié dans CLINS D'OEILS (arts plastiques) | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer | | Facebook