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Plus près de nous

705840074.jpgLA POÉSIE DANS LES SOULÈVEMENTS
Avec Bernard Vargaftig
Serge Martin

Quatrième de couverture (Editions l'Harmattan, 2001)
La poétique sombre souvent dans une rhétorique ou une stylistique qui se redistribuent généralité ou originalité selon des pouvoirs régionaux quand il faudrait au contraire montrer le continu éthique et politique des poèmes au langage, et des œuvres à la vie. Mais aussi montrer la force du langage dans les poèmes. Il s'agit ici précisément d'accompagner cette force. Le cas : l'œuvre de Bernard Vargaftig. La méthode une relation critique pour la poétique, relation tenant ensemble l'empirisme d'une écoute et l'utopie d'une théorie. Le pari : que l'œuvre de Vargaftig soulève la poésie.

Lire gratuitement quelques pages de cet ouvrage

 

 

Consulter les articles suivants

 

 Bernard Vargaftig "textes", Semen, 11, vers une sémiotique différentielle, 1999

http://semen.revues.org/document2851.html

 

 

Marianne Ortega/Emilie Cauvin

Bernard Vargaftig : Quel(s) sens pour le vertige ?

"Nous deviendrons spirale..."

http://revel.unice.fr/loxias/document.html?id=83

 

Bernart Vargaftig - Dix ans, disant...

http://revel.unice.fr/loxias/document.html?id=57

 

Valérie Personnaz

"Nudité et présence : dévoilement d'une mise en scène"

http://revel.unice.fr/loxias/document.html?id=75

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07/03/2008 | Lien permanent

Les Carnets d'Eucharis N°44 - Hiver 2015

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Poésie | Littérature Photographie | Arts plastiques 

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 [« SUR LE CHEMIN DE L’HOMÈDE »]

© Nathalie Riera, 2014 | Photographie numérique

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PHOTOGRAPHIE

SAUL LEITER

Florence HenriAutoportrait au miroir

 

AUPASDULAVOIR

BRIGITTE GYR[Incertitude de la note juste – Lanskine]

JACQUES MOULIN[Portique – L’Atelier Contemporain]

Estelle Fenzy[Eldorado Lampedusa – La Part Commune]

ARMELLE LECLERCQ[Les Équinoxiales – Le corridor bleu, 2014]

Martine CROS  [Les jardins furtifs]

 

ZBIGNIEW HERBERT

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GREGORY CORSOTortue géante / Giant turtle

 

 

DES TRADUCTIONS

PEDRO ROSA BALDA[QUELQUES POÈMES DE : Uves como cuervos

 traduits par Rémy Durand & l’auteur]

Jane Hirshfield [QUELQUES POÈMES DE : SUCRÉ, SALÉ GIVEN SUGAR, GIVEN SALT

traduits par Delia Morris & Geneviève Liautard]

 

 

 [Clairvision]

----------------------------------- [Notes monochromes de Jacques Sicard]

 

Mael Guesdon - Pierre Bonnard - Djuna Barnes - Nicolas de StaelDES LECTURES/DES PORTRAITS

 [Christa Wolf : Une œuvre à cœur ouvert]par Nathalie Riera

 [Jean-Richard Bloch & Jean Paulhan, Correspondance 1920-1946]par Tristan Hordé

 

 

[NOUVELLESPARUTIONS]

JOSÉ CORTI l’ATELIER CONTEMPORAIN  Ypsilon– LE BRUIT DU TEMPS


      

 

Au format livre numérique/CALAMEO

http://fr.calameo.com/account/book

 

 

 

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22/02/2015 | Lien permanent

cipM

 

 

cipM CCP 26
(cahier critique de poésie)

 

dossier :  lorine niedecker / alejandra pizarnik / rosemarie waldrop

 

cipM, décembre 2013

 

ISBN : 9791091991094
304 pages
prix de vente TTC : 15 euros
ISSN : 1628-3929

Diffusion CDE / Distribution : Sodis


 

 



 

Dossier : Lorine Niedecker / Alejandra Pizarnik / Rosemarie Waldrop (sommaire)


Jean Daive, Un triangle p. 5
Martin Richet, « Cher Cid ». Lettres à Cid Corman p. 7
Nicolas Pesquès, De 2 à 6 mois, plus quelques boîtes p. 21
Abigail Lang, Quatre lettres de Lorine Niedecker à Louis Zukofsky p. 26
Emmanuel Laugier, Condenser. Notes pour un portrait de Lorine Niedecker p. 37
Bibliographie p. 41 .

Martha Isabel Moia, Quelques clefs d’Alejandra Pizarnik p. 43
Alejandra Pizarnik, Le poète et son poème p. 47
Jacques Ancet, La dame en rouge p. 49
Olga Orozco, Pavane pour une infante défunte p. 53
Ana Becciu, J’ai rencontré Alejandra Pizarnik… p. 55
Michèle Cohen Halimi, RUAH p. 60
Claudine Galéa, Les éditions Ypsilon p. 65
Bibliographie p. 66 .

Matthew Coopermen, Amour, comme des phrases : un entretien p. 68
David Lespiau, Fictions de pensée p. 77
Alain Cressan, « Poésie, une logique différente… » p. 80
John Olson, Clé pour comprendre la langue de Rosmarie Waldrop p. 81
Jonathan Monroe, Autrement dire… p. 86
Charles Bernstein, La Reproduction des profils… p. 90
Vincent Broqua, La logique de l’absence (Une lettre de chiffres) p. 92
Bibliographie p. 96

 

 

 

centre international de poésie Marseille

Centre de la Vieille Charité - 2, rue de la Charité - 13236 Marseille Cedex 02
tel : 04 91 91 26 45 - fax : 04 91 90 99 51
www.cipmarseille.com

 

 

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20/11/2013 | Lien permanent

Robert DUNCAN

L'Ouverture du champ et autres poèmes Traduit par Martin Richet

 

L'ouverture du champ_Robert Duncan.jpg

Lié au courant littéraire de Black Mountain et à celui de la Beat generation, Robert Duncan, né en 1919, est mort en 1988.

Composé entre 1956 et 1959 et publié en 1960 chez Grove Press, The opening of the field n’est pas seulement la première somme d’un maître poète ou l’articulation synthétique des avancées poétiques, contemporaines (le vers projectif décrit par Charles Olson y apparaît dans toute sa splendeur), et historiques, convoquant aussi bien Pindare que Louis Zukofsky, Marianne Moore ou Ingmar Bergman ; nous y trouvons la première pierre d’un édifice ambitieux, à l’échelle des Cantos d’Ezra Pound : l’œuvre d’une vie telle qu’elle se dessine et se définit dans une séquence transversale initiée ici, la « Structure de la Rime », qui se poursuivra dans les volumes suivants.

 

Le livre présente d’entrée ses trois thèmes ou éléments majeurs : la Loi, les Morts, le Champ. « La nature du Champ, écrit Duncan, est triple : il se conçoit intimement comme le champ donné de ma vie propre, intellectuellement comme le champ du langage (ou de l’esprit) et imaginairement comme le champ donné à l’homme (aux multiples langages).

 

Aussi, L’ouverture du champ et les deux séquences antérieures qui le précédent dans notre traduction dessinent une cosmologie qui admet aussi bien les cendres de l’homme de Néandertal (Un essai en guerre) que « les usines de la misère » (Poème commençant par une ligne de Pindare) ou «un jeu d’oiseaux dans un ciel vide » (Jeu d’épreuves) : « Le temps du poème ressemble à celui du rêve, car il organise lignes d’association et de contrastes en un ensemble hautement structuré. L’objectif commun du rêve et du poème est de donner socle à une forme au-delà de ce que nous connaissons, à un sentiment plus fort que la réalité.

 

 

SITE : José Corti Editions

 

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26/10/2012 | Lien permanent

Mariangela Gualtieri

Mariangela_Gualtieri.jpg

 

Je suis éclatée, je suis dans le passé proche

je suis toujours il y a cinq minutes

mon dire est en faillite

je ne suis jamais toute, je ne suis jamais toute, j’appartiens

à l’être et je ne sais le dire, je ne sais le dire

j’appartiens et je ne sais le dire, je ne sais le dire

j’appartiens à l’être et je ne sais le dire

je suis sans adjectifs et je suis sans prédicats

j’affaiblis la syntaxe, je consume les mots

je n’ai pas de mots influents, je n’ai pas de mots

chatoyants, je n’ai pas de mots changeants

je n’ai pas de mots qui dérangent

je n’ai pas assez de mots, mes mots

se brûlent, je n’ai pas de mots dévoilants, je n’ai pas

 

les mots qui reposent

je n’ai jamais assez de mots, jamais assez

de mots, jamais assez de mots

je n’ai que des mots courants, des mots sérieux

je n’ai que les mots du marché, seulement des mots

en faillite, je n’ai que des mots décevants

je n’ai que des mots qui me déçoivent

mes mots me déçoivent, ils me déçoivent toujours

toujours toujours ils me déçoivent et me manquent

je ne suis jamais toute, j’appartiens

 

à l’être et je ne sais pas le dire, je ne sais pas le dire,

(oui

J’appartiens et je ne sais pas le dire

J’appartiens à l’être, à l’être et je ne sais pas

(le dire

Oh ! j’écoute

Oh ! la patience d’entendre

Oh ! entendre ! entendre !

Oh ! totalité !

Oh ! qu’est-ce qui ne te consume pas !

Oh ! le tout que j’ai oublié !

Oh ! savoir ! oh ! vérité !

Oh ! changeante, toi et fluide, toi toujours

(enceinte !

 

Poème traduit par Martin Rueff, in Po&sie N° 110, « 1975-2004 : 30 ans de poésie italienne », Editions Belin, 2005

 

 

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26/08/2010 | Lien permanent

Sommaire DiptYque 2 : lumières intérieures

REVUE DIPTYQUE 2.jpg

Edito :

Florence Noël

Œuvres des artistes :

Pierre Gaudu, Solange Knopf, Annick Reymond, Grégoire Philipidhis, Marie Hercberg, Raphaële Colombi, Anastassia Elias, Clarisse Rebotier,Guidu Antonietti Di Cinarca, Anne d’Huart, jean-Michel Deny, Brahim Metiba, Jacques vandenberg, Danièle Colin,

Voix à la Une : De Toscane en Provence, Lumières d’un Jumelage au Scriptorium avec :

Paolo Fabrizio Jaccuzi, Maura Del Serra, André Ughetto, Angèle Paoli, Martino Baldi, Laurence Verrey, Olivier Bastide et Dominique Sorrente.

Nouvelles et récits de :

Claudine Tondreau, Camille Philibert Rossignol, Dolores Polo, Angèle Paoli, Mariane Brunschwig, Stéphane Méliade, Isabelle Guilloteau, Raymond Alcovère, Jean Buron, Mathieu Rivat

Anthologie poétique avec :

Nathalie Riera, Loyan, Lionel Edouard-Martin, Ile Eniger, Louis Raoul, Eric Dubois, Brigitte Célerier, Thomas Vinau, Zur, François Teyssandier, Michel Brosseau, Michèle Dujardin, Véronique Daine, Patrick Packwood, Kouki Rossi, Jean-Marc La Frenière, Sabine Huyn, Pascal Boulanger, France Burghelle-Rey, Roland Dauxois, Nicolas Vasse, Cathy Garcia, Sébastien Ecorce, Mathieu Brosseau, Juliette Zara, Arnaud Delcorte, Philippe Leuckx, Catherine Ysmal, Thélyson Orelien, Xavier Lainé, Jack Kéguenne, Denis Heudré, Alain Hélissen, Michel Gerbal

Chroniques des lumières intérieures et articles critiques de :

Sylvie Durbec, Philippe Leuckx, Angèle Paoli, Sylvie Salicetti, Florence Noël

Mais aussi :

Les Tentatives de critique de l’édition numérique de Brigitte Célerier

Un écho littéraire à Lynch par Loïc Marchand

Un écho poétique de Florence Noël

Une humeur de Xavier Lainé

 

-----------------

Florence Noël
resp. editoriale Revue Diptyque
11 rue Bois des Fosses
1350 Enines
Belgique
0032(0)19655167
0032(0)472493268
http://diptyque.wordpress.com

 

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02/01/2011 | Lien permanent

Eté II, Bernard Chambaz (une lecture de Pascal Boulanger)

 

NOTE DE LECTURE

(Pascal Boulanger)

 

 ETE II.jpg

Bernard Chambaz : Eté II

Ed. Flammarion, 2010

 

 

 

 

Ce volume annonce une reprise au chant VI d’une investigation minutieuse qui a pour point de départ tragique la mort d’un fils adolescent. Ce fils – Martin – devient en poème le m-pêcheur, le poisson volant.

Le poisson volant vient de Platon / il brille mais il n’a pas beaucoup de temps pour briller.

Il faut entendre ce titre comme un retour, jamais oublié, à l’été accidentel mais aussi à ce qui a été, une fois pour toutes, lancé dans la vie, dans la litanie des jours et des nuits.

Soutenir cette douleur, dans le déploiement et le froissement du temps, ne lève aucune fixation, n’entraîne aucune consolation. C’est la mort  / qui l’aura emporté / sur les mots.

Elle dévoile, par contre, l’excès en chacun de nous, cet abime d’existence infinie, cet amour long, cet amour à vif quand le courage consiste moins à combattre qu’à endurer. La répétition du deuil, dans le temps soudain suspendu, impose soit le silence absolu, soit le discours extensif proche des choses et des êtres et qui, sans masquer la détresse, la marque au contraire doublement.

Les poèmes de Bernard Chambaz, en prose ou versifiés, amples ou resserrés sont des décantations de ce qui agite et obsède. Ils passent de la perfection du monde à son imperfection, ils croisent une foule d’écrivains et de penseurs : Pétrarque, Descartes, Hegel, le tombeau d’Anatole de Mallarmé, Pound… Ils traversent des villes et des ciels, relancent des tensions, des hantises, creusent l’absence tout en évoquant la volupté de l’instant et tiennent tête à l’esprit et au cœur à jamais endeuillés. Ils rendent aussi hommage à la femme aimée, à celle qui n’écrit qu’en pensée, qu’en secret à son fils perdu. Et nous, lecteurs plus ou moins malheureux, prenons appui sur ces dix profonds chants au savoir fondamental pour saluer – malgré tout – le simple fait d’exister.

 

 

 

 

© Pascal Boulanger, Carnets d’eucharis, janvier 2011

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06/01/2011 | Lien permanent

Bulletin n°21 - avril 2010

Sans titre 1.jpg
couv'carnets d'eucharis n°21_avril 2010.jpg

© Cy DeCosse john stevenson gallery Two Artichokes

 

 

tototi tototi

Puissent-ils verdir et feuillir

ton corps et ton cœur, eh ! Chichimèque,

ovia ayehua

Une pierre de jade brute,

ton cœur,

yehua

Fleur de maïs grillé,

fleur de cacao,

ahua yya o ayya yye

Allons nous réjouir,

ohuaya ohuaya

 

 

Les Fleurs de l’Intérieur du Ciel

Chants de l’ancien Mexique

Patrick Saurin José Corti Editions, 2009

 

 

 

 

[SOMMAIRE………]


 

Guidu ANTONIETTI di CINARCA

Architecte libéral, Artiste plasticien, Photographe

EN COUVERTURE Cy DeCosse (1929)

EXTRAITS Le Mimosa Francis Ponge La promenade dans nos serres

MOLLY BLOOM de Jaroslav Juren (Lecture de Joyce)

&

Alain Helissen/ Didier Lemarchand On joue tout seul Editions Corps Puce

POESIE AVEC Roland Dauxois & Cristina Castello & Nathalie Riera

DU CÔTÉ DE CHEZ SALAH STETIE Lecture d’une femme

&

 

VIENT DE PARAITRE Tristran Gérard Cartier Obsidiane Editions ……………

NOTES DE LECTURE Pascal Boulanger Serge Martin : La poésie à plusieurs voix : rencontres avec trente poètes d’aujourd’hui Claude Darras Richard Millet ou la petite musique d’un grand écrivain Loyan Antoine Emaz, conférence Poésie pour quoi faire ? (Transcription tranchée)

&

PAR AILLEURS ………………….. ANTHOLOGIE POETIQUE – TERRES DE FEMMES – Printemps des poètes « Couleur femme »  2010

 

LES CARNETS D’EUCHARIS N°21

 sur calaméo http://fr.calameo.com/read/0000370712ac2458f6486

 TELECHARGEMENT PDF  http://lescarnetsdeucharis.hautetfort.com/media/00/02/1414857965.pdf  ou cliquer ici

   &nbs

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La Traverse du Tigre, De Lausanne à Genève (mars 2017)

 

 

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Lausanne, du 17 au 19 mars 2017.

|Photo : © Nathalie Riera

 

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Marion Graf présentait à Bibliomédia Un Danube poétique

(la Revue de Belles-Lettres, [rbl] 2016, 2).

|Photo : © Nathalie Riera

 

Si pour son cent-quarantième anniversaire, La Revue de Belles-Lettres se transforme en un long fleuve turbulent, ce n’est certainement pas, trente ans après le livre fondateur de Claudio Magris, dans le but de cultiver la nostalgie, mais bien pour se tourner vers le présent, cette Europe danubienne d’aujourd’hui. Devant les déchirures et la fabuleuse complexité de ces vastes espaces, et face au défi de renommer sans cesse – là-bas comme ici – des identités instables, exilées souvent, la poésie plus que jamais nous paraît nécessaire, car porteuse d’une réalité partagée et d’une vérité critique, démultipliée dans ses voix singulières.

 [Extrait de « Liminaire » Marion Graf pour le comité de rédaction]

 

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Un intermède musical avec Béla Bartók

|Photo : © Nathalie Riera

 

 

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Nathalie Riera présentait à Bibliomédia La Traverse du Tigre

 [Hors-série 2017 – Poésie Suisse romande]

|Photo : © Claude Brunet

 

Dans un monde en perte de mémoire et de calme, l’écriture en Suisse romande apparaît comme un recours. Sur fond d’inquiétude, elle se tourne vers l’autre, cherche des accords, une alternative à la solitude ou à la terreur. En résonance avec des figures amies, des paysages traversés, qu’ils soient du présent ou de l’enfance, passant outre la désillusion, elle emprunte aussi le langage de la mort, le plus court, interpelle la beauté.

[Extrait de « Pour la Traverse du Tigre, ouvrir le champ » Préface de Laurence Verrey]

 

 

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Genève, du 19 au 21 mars 2017.

|Photo : © Nathalie Riera

 

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Lundi 20 mars, à l’Université de Genève

[De gauche à droite : Laurent Jenny & Martin Rueff pour la revue Po&sie (Afriques 1&2),

Sylviane Dupuis, Marion Graf, Laurence Verrey et Nathalie Riera]

|Photos : © Claude Brunet

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29/03/2017 | Lien permanent

Revue Diptyque 2 - Lumières intérieures



REVUE

Diptyque #2 - Lumières intérieures

Florence Noël

11 rue Bois des Fosses

1350 Enines

Belgique

revuediptyque@yahoo.fr

 

 

Revue Diptyque n°2_Couv.jpg

■ LIEN : Cliquer ICI

 

 Nathalie Riera dans « Anthologie Poétique », p.38/39

 

 

Sommaire DiptYque 2 : lumières intérieures

 

 

 

Edito :

 

Florence Noël

 

Œuvres des artistes :

 

Pierre Gaudu, Solange Knopf, Annick Reymond, Grégoire Philipidhis, Marie Hercberg, Raphaële Colombi, Anastassia Elias, Clarisse Rebotier,Guidu Antonietti Di Cinarca, Anne d’Huart, jean-Michel Deny, Brahim Metiba, Jacques vandenberg, Danièle Colin,

 

Voix à la Une : De Toscane en Provence, Lumières d’un Jumelage au Scriptorium avec :

 

Paolo Fabrizio Jaccuzi, Maura Del Serra, André Ughetto, Angèle Paoli, Martino Baldi, Laurence Verrey, Olivier Bastide et Dominique Sorrente.

 

Nouvelles et récits de :

 

Claudine Tondreau, Camille Philibert Rossignol, Dolores Polo, Angèle Paoli, Mariane Brunschwig, Stéphane Méliade, Isabelle Guilloteau, Raymond Alcovère, Jean Buron, Mathieu Rivat

 

Anthologie poétique avec :

 

Nathalie Riera, Loyan, Lionel Edouard-Martin, Ile Eniger, Louis Raoul, Eric Dubois, Brigitte Célerier, Thomas Vinau, Zur, François Teyssandier, Michel Brosseau, Michèle Dujardin, Véronique Daine, Patrick Packwood, Kouki Rossi, Jean-Marc La Frenière, Sabine Huyn, Pascal Boulanger, France Burghelle-Rey, Roland Dauxois, Nicolas Vasse, Cathy Garcia, Sébastien Ecorce, Mathieu Brosseau, Juliette Zara, Arnaud Delcorte, Philippe Leuckx, Catherine Ysmal, Thélyson Orelien, Xavier Lainé, Jack Kéguenne, Denis Heudré, Alain Hélissen, Michel Gerbal

 

Chroniques des lumières intérieures et articles critiques de :

 

Sylvie Durbec, Philippe Leuckx, Angèle Paoli, Sylvie Salicetti, Florence Noël

 

Mais aussi :

 

Les Tentatives de critique de l’édition numérique de Brigitte Célerier

 

Un écho littéraire à Lynch par Loïc Marchand

 

Un écho poétique de Florence Noël

 

Une humeur de Xavier Lainé

 

 

 

 

 

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Florence Noël
resp. editoriale Revue Diptyque
11 rue Bois des Fosses
1350 Enines
Belgique
0032(0)19655167
0032(0)472493268
http://diptyque.wordpress.com

 

 

 

 

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13/08/2011 | Lien permanent

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