04/12/2010
Les éditions Lanskine et leurs auteurs Paul de Brancion, Jacques Estager et Nathalie Riera
Halle Saint-Pierre 2, rue Ronsard, Paris 18ème
Dimanche 28 novembre 2010
© Photo : Nathalie Riera
Lectures publiques
TEMPS MORT, Paul de Brancion
JE NE SUIS PLUS L’ABSENTE, Jacques Estager
PUISQUE BEAUTE IL Y A, Nathalie Riera
© Paul de Brancion, Brigitte Gyr, Nathalie Riera & Jacques Estager
© Jacques Estager
© Paul de Brancion
© Nathalie Riera
© Catherine Tourné (Responsable des Ed. Lanskine)
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19/11/2010
Yves Bonnefoy (Cité du livre, Aix-en-Provence)
Programme des rencontres avec Yves Bonnefoy
Fêter la poésie Yves Bonnefoy.pdf
Les Écritures Croisées
Patrick Bédrines
8/10 rue des Allumettes 13090 Aix-en-Provence
T. 04 42 26 16 85
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12/11/2010
La Halle Saint-Pierre : Paul de Brancion, Jacques Estager, Nathalie Riera
Les EDITIONS LANSKINE et l’association AICLA
ont le plaisir de vous inviter à une lecture poétique et musicale
le dimanche 28 novembre 2010 à 15 heures
à la Halle Saint-Pierre,
2 rue Ronsard à Paris 18ème
à l’occasion de la parution de :
· Temps mort, Paul de Brancion
· Je ne suis plus l'absente, Jacques Estager
· Puisque Beauté il y a, Nathalie Riera
en présence des auteurs
jazz, blues, soul, funk
Christophe Alary, saxophone et Fabian Daurat, guitare, chant
La lecture sera suivie d'une signature
entrée libre et gratuite
● URL : http://www.editions-lanskine.fr/
Pour + d’infos :
http://www.hallesaintpierre.org/index.php?page=events
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LES MEDIATHEQUES DE LA CCRVS : avec Marie Desplechin, Nathalie Riera, Merette Pryds Helle
Jeudi 4 novembre 2010 à Sars-les-Rosières
Discussion avec les écrivains
Marie Desplechin
Nathalie Riera
Merette Pryds Helle
Nathalie Riera lit des extraits de Puisque Beauté il y a, éd. Lanskine, 2010
Marie Desplechin, Nathalie Riera, Nathalie Tison, Merette Pryds Helle
PHOTOS Copyright © Thierry Pigneres
Dossier au format pdf
LES MEDIATHEQUES DE LA CCRVS.pdf
VIDEO You Tube
Cliquer ci-dessous :
http://www.youtube.com/watch?v=Q2WYovITXFc&feature=pl...
REPORTAGE PHOTOS
Sur le site de la commune de Thun-saint-Amand visionner photos et vidéos de la Table ronde :
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17/09/2010
Lectures publiques
LA PETITE LIBRAIRIE DES CHAMPS
FETE SES DEUX ANNEES D’EXISTENCE
LES 25 et 26 SEPTEMBRE
Sylvie DURBEC
Le Moulin brûlé
13 150 BOULBON
durbec.sylvie@orange.fr
04 90 43 94 82
06 26 41 70 42
http://lapetitelibrairiedeschamps.blogspot.com
Assemblée générale et réélection du bureau, samedi à 14 heures
Samedi de 15 à 17 heures carte blanche aux éditions Du Dessert de Lune, avec les poètes : Anne-Lise Blanchard, Pierre Soletti, Pierre Autin Grenier, Daniel Labedan, Jean-Louis Massot, Sylvie Durbec… lectures brèves.
Puis, de 18 heures à 19.30 lectures des poètes : Marielle Anselmo, Nathalie Riera, Angèle Paoli, en présence d'Hélène Sanguinetti.
Apéritif partagé avec Aurélia Lassaque, poète
Dimanche 11 heures exposition de Sylvie Deparis, plasticienne, Centre Culturel Ste Anne au village, (fléché à partir du carrefour direction Boulbon centre), et ce en présence des poètes Joël-Claude Meffre et Claude-Louis Combet (sous réserve).
Repas partagé à la Petite Librairie des Champs
15 heures lecture des poètes Joël-Claude Meffre et Claude-Louis Combet
16heures 30 lecture des poètes Angèle Paoli et Nathalie Riera, en présence de Marielle Anselmo
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05/04/2010
Alain Jouffroy à la Galerie La non-maison (de Michèle Cohen)
A L'OCCASION DE L'EXPOSITION DE MARCO BARBON, CHRONOTOPIES
LA GALERIE LA NON-MAISON VOUS INVITE A
UNE LECTURE SURPRISE
D'ALAIN JOUFFROY LE SAMEDI 24 AVRIL 2010 A 17H
Alain Jouffroy
Né à Paris en 1928, Alain Jouffroy a participé au mouvement surréaliste de 1947 à 1948. André Breton a fait paraître ses premiers poèmes d’Aube à l’Antipode dans la revue Néon. Henri Michaux et René Char en ont fait ensuite paraître dans la N.R.F., Le Mercure de France et Botteghe Oscure. De 1952 à 1954 il a voyagé en Italie pour étudier la peinture, classique et moderne, de ce pays. Ses chroniques d’art seront publiées chez Gallimard en 1963, sous le titre : Une révolution du regard. En 1958, le même éditeur a publié son recueil de poèmes A toi. En 1960, le prix Combat lui a été décerné pour son premier récit : Le Mur de la vie privée. Il a rencontré peu après à Paris William Burroughs, Allen Ginsberg et Gregory Corso, avec lesquels il fera des lectures publiques de ses poèmes à Paris et au Living Theater de New York. Il leur a consacré une anthologie, qui a fait connaître la Beat Generation en Europe, comme il a fait connaître ensuite les artistes du Pop art. De 1962 à 1963 il a voyagé aux Etats-Unis et à Cuba et rencontré Adonis, qui a traduit et fait paraître en arabe son poème Déclaration d’indépendance. En 1963, il a publié chez Gallimard son premier roman, Un rêve plus long que la nuit et, en 1966, le deuxième, Le temps d’un livre, réédité aux editions du Rocher en 1993. Les Editions du Soleil noir ont publié ses trois premiers recueils : Aube à l’antipode, Liberté des Libertés et Dégradation générale. En 1965, il s’est réconcilié avec André Breton et a entretenu avec lui des rapports amicaux jusqu’à sa mort. La même année il a fondé la collection de poche «Poésie / N.R.F.» chez Gallimard et, en 1967, avec Jean-Clarence Lambert, la revue d’avant-garde Opus international. Avec son poème Trajectoire et son essai L’abolition de l’art (début 1968), il s’engage à l’avance dans le mouvement de mai 68. De 1968 à 1972, Aragon l’a invité à écrire dans Les lettres françaises, qui ont publié ses poèmes et ses textes critiques. De 1972 à 1981, il fut le rédacteur en chef de la revue d’art XXe siècle. En 1978 a paru, chez Robert Laffont, son autobiographie : Le Roman vécu. Entre 1982 et 1985, nommé Conseiller culturel à l’Ambassade de France au Japon, où il avait déjà fait plusieurs séjours depuis 1977, il a organisé les deux premiers sommets culturels franco-japonais de 1985 et 1986.
Depuis son retour en France, il n’a cessé de publier recueils de poèmes, romans et essais et, depuis 1990, a réalisé de nombreux assemblages, qu’il appelle des «posages» et qui ont été exposés, ainsi que ses collages, à Génève, à Paris, à Tokyo, à Lyon et Besançon. En 1995 paraît son essai Manifeste de la poésie vécue (Gallimard) et son essai philosophique, De l’individualisme révolutionnaire, est republié chez Gallimard en 1999. La même année, le même éditeur fait paraître sa première anthologie de poèmes, C’est aujourd’hui toujours et, en 2001, une deuxième anthologie, C’est partout ici, puis une troisième : Vies. Il a voyagé depuis au Yemen, en Syrie, en Afrique occidentale, aux Antilles, et de nouveau en Corée et au Japon. Une exposition de ses livres et de ses illustrateurs a été organisée au Musée de l’Imprimerie de Lyon en 1999, dont le catalogue est présenté par Philippe Sollers, Michel Onfray, Pierre Restany, Serge Sautreau et Malek Abbou. Le Centre Georges Pompidou a édité le CD de sa conversation de 1954 avec Marcel Duchamp. Il a réalisé de nombreux «livres d’artiste» avec, entre autres, Matta, Brauner, Miro, Bellmer et Fontana. En 2000, les éditions Gallimard ont publié son récit Conspiration dans la collection «L’infini» ; en 2001, les editions italiennes Colophon ont publié cinq poèmes intitulés Pudding, illustrés par Enrico Baj. En 2002, les éditions Aldébaran ont fait paraître son Ode à André Breton, illustré par 60 de ses posages. Son Anthologie de la poésie française à la première personne du singulier, Rimbaud nouveau et sa pièce de théâtre Caffe Fiorio (une heure avant l’effondrement de Nietzsche) ont été publiés aux éditions du Rocher. Il a participé par ailleurs, pour Arte, à des films sur le dadaïsme, le surréalisme et conçu, pour la première chaîne, L’art et la machine.
Prix Apollinaire 200 pour C’est aujourd’hui toujours et prix Roger-Caillois 2000 pour toute son oeuvre, il a reçu le prix Alain Bousquet en 2004.
En 2006, prix d’or (meilleur critique d’art) décerné par Connaissance des Arts.
En 2007 il a publié Trans-Paradis-Express aux éditions Gallimard. La même année il a reçu la bourse de Goncourt de la poésie pour toute son oeuvre.
En 2008 : XXe siècle. Essais sur l’art moderne, suivis du Fantôme de l’art (Editions Fage) et Le livre qui n’existe nulle part (Editions de la Différence) et Une révolution du regard, éd. augmentée (Gallimard).
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29/02/2008
L'expérience de la lecture
Propositions pour un débat
« Le poète n’est pas un homme moins minuscule, moins indigent et moins absurde que les autres hommes. Mais sa violence, sa faiblesse et son incohérence ont pouvoir de s’inverser dans l’opération poétique et, par un retournement fondamental, qui le consume sans le grandir, de renouveler le pacte fragile qui maintient l’homme ouvert dans sa division, et lui rend le monde habitable »
Jacques Dupin
I. L’expérience de la lecture chez le poète
v Au-delà des pratiques d’écriture : que permet la lecture du poème, autant chez l’auteur qui lit un poème que chez l’auditeur qui le reçoit ?
Proposer quelques lectures en public. Ces expériences de lectures sont-elles fondatrices ?
Du côté de l’auditeur
De quelle manière la lecture d’un texte peut-elle nous bouleverser, la lecture comme « expérience du fraternel », lorsque l’on est moins seul et que les mots deviennent vos amis.
v La poésie en tant qu’elle est non pas une « substance » (selon Philippe Beck), mais un « acte » qui agit sur l’oreille.
« Entre la langue arrêtée du livre et celle vive du lecteur » (Antoine Emaz dans « Le Nouveau Recueil « )
C’est notre façon de lire ou d’entendre le poème qui fait le poème.
v La poésie en tant qu’elle nous permet de « mieux vivre », d’habiter le monde en poète : nos raisons à fréquenter la poésie ? Ou, la poésie est-elle fréquentable ?
II. Rapports Poésie/Public
Au milieu d’une culture mercantile, évènementielle et/ou spectaculaire : quelle est la visibilité de la poésie contemporaine dans l’espace culturel public ?
III. La poésie et ses alliances ou ses ouvertures du côté de la philosophie, de la peinture, des arts plastiques, de la musique…
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