27/05/2011
Allen Ginsberg & Robert Lowell
Allen Ginsberg and Robert Lowell at St Mark's Church, New York City, February 23, 1977.
00:21 Publié dans CLINS D'OEILS (arts plastiques) | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer | | Facebook
26/05/2011
Pierre Bonnet, tout près de là, éd. Cardère, 2011
Le haut du bas
C’est l’humeur de l’humus
Qui donne aux pieds la fermeté
D’une marche longue
Sur des prairies cailloutées
L’humeur de l’humus
Harnache des lanternes
Du sommeil
D’un chemin sans raccourci
Sans possibles de bohême
Sans ailleurs ouverts :
Un chemin de frontières
La terre je la retourne
Je la foule je la désire
Je la cherche vers le haut
Je la chevauche
Les yeux aux savates
Et mon élan ailé
Pour les envols
Mes pieds ronds
Encourent l’éternité
Une vie de plomb
Alors que l’or
Ailleurs
Assure sa renommée
L’humus ami
A cette heure sauvage
Fait entrer la marche
Dans les constellations
Du sol
Cardère éditeur
42 rue du Pont de Nizon
F-30126 LIRAC
Tél : +33 (0)4 66 79 90 42
Fax : +33 (0)9 72 13 11 11
23:14 Publié dans Pierre Bonnet | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer | | Facebook
Serge Plagnol, peinture & dessins
23:10 Publié dans Alain Paire, CLINS D'OEILS (arts plastiques) | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer | | Facebook
Ovide D'Orphée à Achille, Les Métamorphoses, livres X, XI, XII - Editions Nous - Traduit et présenté par Marie Cosnay
Pour toi pleurent les oiseaux tristes, Orphée, et la foule des bêtes,
Pour toi les cailloux rudes et les forêts qui ont suivi tes poèmes
Pleurent. Pour toi l’arbre laisse son feuillage,
Tond ses cheveux, prend le deuil. Les fleuves aussi, dit-on,
Grossissent de leurs larmes et les Naïades et les Dryades
Repoussent les voiles sous l’habit noir et lâchent leurs cheveux.
Les membres gisent un peu partout. Fleuve de l’Hèbre, tu reçois
La tête et la lyre. Et, miracle, pendant qu’elle glisse au milieu du fleuve,
La lyre pleure je ne sais quoi de triste, quoi de triste la langue
Sans vie murmure et les rives répondent je ne sais quoi de triste.
NOBIS
une collection de nouvelles traductions de textes de l’antiquité.
Le pari de traductions à lire, aujourd’hui, comme des textes à part entière.
Dirigée par Marie Cosnay et Myrto Gondicas.
22:58 Publié dans 4EMES DE COUVERTURE, Marie Cosnay | Lien permanent | Commentaires (2) | Imprimer | | Facebook
Fabienne Raphoz, Jeux d’oiseaux dans un ciel vide augures (éditions Héros-Limite, 2011)
NOTE DE LECTURE
par Tristan Hordé
Voici un livre singulier, écrit par une passionnée des oiseaux (1), s’ouvrant sur une page explicative titrée "Quelques précisions — peut-être" qui, bien qu’elle introduise les distinctions d’ordre, famille et espèce, n’est pas la présentation d’un livre d’ornithologie. Le lecteur apprendra sans doute à propos des formes, couleurs, habitat, etc., des oiseaux, mais le propos n’est pas scientifique. Ou, si l’on préfère, puisqu’il s’agit d’un livre de poésie, la poésie travaille ici des matériaux divers ; des ouvrages savants est tiré et réécrit le fond du livre (les augures, à gauche), s’y ajoutent des fragments de dits traditionnels, de livres de voyage, etc. également recomposés, des citations, le tout lié par les notions venues de la classification du vivant. Enfin, s’introduisent dans cet ensemble des textes de Fabienne Raphoz, de dimensions très variables — quelques vers, quatre pages —, souvent datés et avec une indication de lieu, textes qui marquent une distance entre la poésie et la connaissance, distance qui semble presque effacée dans le plus gros du livre : la première page ne porte-t-elle pas en exergue une citation du paléontologue George Gaylord Simpson, « La taxinomie, qui est la mise en ordre par excellence, possède une éminente valeur esthétique » ?
Aux "jeux d’oiseaux dans un ciel vide" (le ciel de la page ?) répondent ceux d’oiseaux qui l’emplissent :
« Comment remplir le ciel ?
ne jamais se poser
le bleu fantôme les écrit partout » (p. 111)
"les" désigne les martinets, dont le nom apparaît en anglais (Swift) dans le titre, "Swiftizzall"(= « Swift is all »). En poursuivant l’image ciel / page, on pourrait dire que le livre est une immense volière, sans dimensions définies, susceptible de réunir tous les oiseaux, y compris ceux qui sont en danger de disparaître et ceux que les hommes ont exterminés, comme cela est mentionné systématiquement (par exemple : Le Pluvier roux le Pluvier de Sainte-Hélène sont en danger / Le Vanneau hirondelle est éteint (p. 71)), les oiseaux, comme la plus grande partie des êtres vivants, étant dans nos sociétés des marchandises : « Vingt millions de perroquets sont en captivité. / Plus l’espèce est en danger, plus sa cote est élevée. » (p. 90). Tous les oiseaux réunis : ceux de la préhistoire et ceux rencontrés au Crest, à Paris, au Costa Rica, en Savoie, etc., ceux évoqués dans les traditions populaires (Indiens d’Amérique ; hittite : française : Sébillot ; etc.), dessinés par le naturaliste (Audubon), présents dans un poème (Thoreau, Char, Shelley, Emily Dickinson, Du Bartas, Cummings, etc.), ceux liés à un contemporain de Fabienne Raphoz (Claude Adelen, Éric Sautou) ou à une personne proche (« La nonette a fait écrire un beau livre à Caroline », p. 176, « Le Rouge-gorge de Caroline SD s’appelle Blanchot », p. 162 — Caroline Sagot-Duvauroux) . Tous les oiseaux du monde : avant le Livre I, "Uccelli" (2), un poème est constitué par l’écriture du nom « oiseau » dans plus de cent langues. La nécessité qu’il y aurait de les nommer tous dans cette « randonnée en l’honneur de l’oiseau » (p. 207) tient sans doute au fait que les oiseaux symbolisent plus que tout autre vivant le monde naturel — ils sont présents partout, sur terre, dans le ciel — en tant qu’il n’est pas une réalité simple, qu’on ne peut lui assigner de limites :
Le Colibri pampa
porte le ciel au front
la forêt sur le dos
les nuages à la gorge
et
dessine l’infini
25 fois par seconde
(p. 109). Si l’on se souvient que les oiseaux sont l’ancêtre de l’homme, on comprend que leur proximité avec le ciel les transforme, avec un jeu sur la couleur du plumage, en voleurs de feu, qu’ils transmettent à l’homme :
le roitelet a pris le feu du ciel
s’est pris dans ses ailes
au rouge gorge l’a passé
s’est pris dans sa gorge
à l’alouette l’a passé
l’a donné aux hommes
(p. 144)
Les caractérisations des oiseaux sont, comme l’ensemble des noms, en quantité indéfinie ; de chacun est retenu un élément distinctif qui, souvent, n’a rien d’encyclopédique :
« (Trogloditydés)
En Europe nous n’avons que le mignon
Tous les troglodytes sont un peu roux
Tous les troglodytes lèvent la queue en chantant
Tous les troglodytes ne sont pas toujours des troglodytes
Le troglodyte est le roi des haies
Le troglodyte est le roi de l’hiver » (p. 154)
L’usage de l’anaphore, comme celui très régulier du parallélisme des constructions, introduit un rythme et suffit à éloigner (sans l’effacer) le caractère didactique de certains énoncés. Mais la seule énumération de noms construit souvent une série sonore séduisante et étrange : « Éroesses couturières dromoïques bathmocerques camaroptères éminies apâlis prinias sont des cisticoles qui l’eût cru ? » (p. 169). La question « qui l’eût cru ? » marque une distance et introduit l’énonciateur dans le texte. Sa présence se manifeste à d’autres endroits de manière variée, par exemple par l’allusion à l’activité d’éditeur de Fabienne Raphoz et Bertrand Fillaudeau : le vers « Troglodyte est le nom d’un personnage de La Route fantôme », (p. 154) évoque un livre de Frédéric Cosmeur édité en 2007 aux éditions José Corti ; le renvoi est aussi transparent dans « Le Cincle d’Amérique est très aimé de John Muir et de ses éditeurs français » (p. 148). Ailleurs, la trace du « je » est visible par la marque verbale : « Le Pipit maritime est le moineau domestique de Penn Arlan Ouessant (et d’autres îles mais n’y étais pas) ».
Enfin, un long poème, "Au merle de mon jardin", en même temps qu’il réunit une partie de ce qui est vivant (oiseaux, bien sûr, et autres animaux, et plantes — image d’un éden : « Paradise indeed in the hidden garden », p. 188, dans un autre poème), exprime la relation du "je" aux oiseaux (« un jour le merle de mon jardin comme le Merle de Grand Caïman éteint je le chialerai », p. 160) et précise la place du sujet dans ce monde foisonnant : « le merle de mon jardin n’est sûrement pas mon merle, comme mon jardin n’est finalement pas mon jardin » (p. 160). On retrouvera la fonction particulière du merle et de ce jardin dans le livre : pour ne retenir qu’un passage, « Puisqu’il faut bien mourir alors mourir sue le chant du Sirli du désert […] sur le chant du Rossignol Philomèle (ou sur le chant du merle de mon jardin) » (p.144 ; voir aussi p. 70).
Tous les oiseaux du monde, ai-je écrit ; toutes les variations aussi les couleurs, mais l’une seule peut être retenue, jeu de l’anaphore et du parallélisme de la construction qui rapproche de la litanie :
Le bleu de la tête du Motmot à tête bleue
est plus bleu que le bleu de Fra Angelico
Le bleu de la tête du Motmot à tête bleue
est plus bleu que tous les bleus de terre
Le bleu de la tête du Motmot à tête bleue
est l’expression du bleu dans la densité du vert
Le bleu de la tête du Motmot à tête bleue
est l’expression du bleu entre ciel et terre
Le bleu de la tête du Motmot à tête bleue
Le bleu de la tête
Le bleu
(p. 116). Les langues sont parfois mêlées, traduisant la variété des lieux, mais se construit ainsi une langue très particulière. Des désignations sont simplement juxtaposées : « L’engoulevent est un Tête-Chèvre un Succiacapre un Chotacabras a Goatsucker ein Ziegenmelker », ou des éléments de langue différentes constituent le poème : « […] la cellule dans la vase bouillonnante // all over again ? // .. // .. // .. // vielleicht » (p. 107 ; les // figurent un espace double). Fabienne Raphoz revendique « un rapport passionnel avec l’anglais » (p. 160) et ses deux poèmes écrits en anglais le prouvent. On lit dans ce goût de juxtaposer des langues le même plaisir à associer les mots, mots qu’elle n’hésite pas à créer quand besoin est : « Les souimangas colibrient l’Afrique » (p. 178), « Le véloce se maghrèbe en hiver / Le fitis subsahère son moteur sur le point de caler / Les pouillots vélocent le bord de l’Arve […]» p. 172), « grecquerait guerre » (206), « effontièrent la limite » (p. 146), etc. Ou à reprendre des termes régionaux : « Le Canard souchet est un bec en cuillère un louchard un barbelle une cuillerasse une goule large un rouge de rivière » (p. 43). Trouble du lecteur : ignorant tous les noms d’oiseaux, il ne sait plus si un mot est une unité de sa langue (La sitelle truffle) ou une création (verdiens pirsons).
Henri Pichette et, d’une façon différente, Jacques Demarcq (3), ont récréé (onomatopées ou verbes) les chants de quelques oiseaux. Fabienne Raphoz, qui suit cette voie ici et là (« Chi ! riou ! Chiou ! c’est moi qui suis le roi, / dit parfois le troglo à dos d’aigle au roitelet », p. 154), sait comme ses prédécesseurs l’impossibilité de la transcription, mais elle propose un "poème de lettres", qu’on peut lire pour les bruits des oiseaux en vol :
snn ! snn ! cnsnn !
!
n jr ps l’tmps
d slr L verdr
:
fffftttttttzzzzzzz
fffftttttttzzzzzzz
llw wngs
etc., (p. 197). Que l’on puisse dans cette suite recomposer des mots (temps, wings, etc.) conduit à signaler l’extrême richesse de la mise en pages : emploi de différents corps, jeu de l’italique et du romain, fer à gauche-fer à droite, emploi de colonnes, fragments suscrits, et dispositions complexes sur la page. Rien de calligraphique dans tout cela qui dessinerait une figure de l’oiseau, mais recherche de rythmes, volonté de proposer une lecture des mots et des blancs, dans la lignée par exemple (mais différemment) de Reverdy et du Bouchet.
On n’a fait ici que retenir des bribes de ce Jeux d’oiseaux…, il faut le lire et relire comme tout vrai livre de poèmes. Terminons avec le dernier poème titré "L’oiseau bleau" (mot-valise : beau + bleu ; et/ou bleu + allemand blau, « bleu »), qui réunit création verbale (création amusée), répétition (« bleu ») et énumération jusqu’au vertige :
Dans les deux livres [Uccelli et Uccellini] l’invisible est randonnée
dans la coda impossibleu n’est contoiseau
L’aigrette bleue le Lori nonette le Lori ultramarin le Ara hyacinthe le Ara de Lear le Ara glauque le Ara de Spix le Ara bleu le Touraco géant le Coua bleu le Martin-chasseur à longs brins le Martin-chasseur de Kofiau le Martin-chasseur de Biak le Martin-chasseur à poitrine bleue le Martin-chasseur bleu noir le Martin-chasseur des Moluques le Martin-chasseur Iazuli
(etc)
1 Fabienne Raphoz, qui dirige avec Bertrand Fillaudeau les éditions José Corti, a publié en 2009 L’aile bleue des contes : l’oiseau, Anthologie suivie de « l’oiseau-monde : une omniprésence » (2009), recueil de contes dans la collection "Merveilleux" qu’elle a créée.
22:44 Publié dans Fabienne Raphoz, NOTES DE LECTURES/RECENSIONS, Tristan Hordé | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer | | Facebook
John Cohen, Galerie la non-maison
à Paris...
www.galerielanonmaison.com
--------------------------------------------------
à Aix en Provence...
22:34 Publié dans CLINS D'OEILS (arts plastiques), La non-maison | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer | | Facebook
Jean-Claude Villain, Ithaques (éd. Le Cormier, 2011)
Rougeur du crépuscule. Des oiseaux le chant soudain s’est tu. Miroitement d’écailles. Ou de cristaux qui sait. Sous la mer des pépites de sang durci fondent. Contre des blocs de sel. Ailes détachées de quel carnage. Des plumes effritées flottent. Sur quelle brume saumâtre. Le glas du jour a sonné. A eux la prière. Mais à la mer. Toi. Tu retournes.
(p. 44)
….
Lentement la lumière. Chute. Vibrent les dômes immaculés. Seins en rebonds d’éclats. En pépites de clarté. Fondues dans le crépuscule. A tes narines un parfum. Fleure l’évidence. T’indique ton ultime port. Une épine dans le ciel. Ne tourmente plus. Tes vives cicatrices. Ici toute beauté t’interdit. Tu resteras donc. Jusqu’à ton souffle éteint. Jusqu’à ton dernier trou. En terre la lumière. Noire te portera. Dans sa chaude. Et invisible. Lueur.
(p. 61)
20 exemplaires numérotés et signés sur Rives Shetland,
enrichis d’un pastel de Marie-José Armando : 120 €
480 exemplaires sur Munken Print : 16 €
Quatrième de couverture
La célébration de la mer et de la lumière méditerranéennes, fréquentées en certains lieux élus par le poète, travaille ici doublement le texte poétique : par l’exultation d’une communion avec le monde et l’exercice de la lucidité. L’aventure intérieure qu’elle induit oscille entre la face claire d’une contemplation sans cesse renouvelée et la face obscure d’une expérience tragique telle que la Méditerranée la suscite depuis des millénaires. Ce livre, qui s’apparente par sa progression rythmique et syncopée à une partition musicale, propose un parcours initiatique conduisant à la tentation du silence : à la fois mutisme résultant d’une captation contemplative et conscience accrue de la vanité des mots. Empruntées à Constantin Cavafy, les Ithaques suggèrent ce rapport entre initiation et aboutissement, tout en exprimant les territoires symboliques où peuvent conduire les odyssées.
L’auteur
Jean-Claude Villain, né à Mâcon en 1947, vit entre le Var, sur une colline à proximité de la mer Méditerranée, et Sidi Bou Saïd en Tunisie. Sa venue dans le Sud est l’expression géographique d’une quête sensible et métaphysique. Le Sud profond qu’il cherche — soleil, lumière, mer, sensualité des corps nus sur le sable de l’été, mais aussi plus grande proximité du tragique — est certes méditerranéen, mais pas plus en Provence qu’en Espagne, en Italie, en Afrique du Nord ou en Grèce.
Il a publié une trentaine de recueils de poèmes, ainsi que des nouvelles, des essais, des pièces de théâtre, des chroniques et des livres d’artistes réalisés en collaboration avec des plasticiens. Certains de ses textes ont été traduits en italien, espagnol, anglais, allemand, grec, arabe, roumain, bulgare, lituanien, hébreu, tamazight et chinois.
22:12 Publié dans Jean-Claude Villain | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer | | Facebook
07/05/2011
Carnet d'eucharis n°28 (mai/juin 2011)
[SOMMAIRE………]
Natacha Rambova
Actrice du cinéma muet américain
John Cohen
Réalisateur Photographe Artiste folk GALERIE LA NON-MAISON
DU CÔTÉ DE…
Daniel HachardLa Chair, L’Autre, Le Soleil
Bernard MancietL’Enterrement à Sabres
EDITIONS FLAMMARION MARIE ETIENNE Le Livre des recels
EDITIONS DE CORLEVOUR PASCAL BOULANGER le lierre la foudre
AUPASDULAVOIR
SABINE PEGLION Derrière les grilles du parc & Girl with earings
■■■ Anthologie numérique
Quels infinis paysages ? Publie.net ■■■
Erich Fried
écrivain et poète de langue allemande
E. E. Cummings … (extrait de FONT 5)
SITESPOESIE
Fabienne Raphoz sur le site TERRES DE FEMMES
Jeux d’oiseaux dans un ciel vide augures, Une lecture de Tristan Hordé
Arman et la grande parade des objets Une analyse critique de Claude Darras
REVUE
PHOENIX Janvier 2011 N°1
Au format livre numérique/CALAMEO
Au format PDF Les carnets d'eucharis n°28_mai&juin 2011.pdf
23:49 Publié dans Claude Darras, LES CARNETS D'EUCHARIS (pdf & calaméo), Nathalie Riera, PORTRAIT & LECTURE CRITIQUE | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer | | Facebook
05/05/2011
La Petite Librairie des Champs (14 & 15 mai 2011)
SAMEDI 14 MAI 2011
à Boulbon
Journée de rencontre avec le Scriptorium
10h30 à 12h30 : déambulation « ÉCRITS AU FIL DE L’EAU » à partir de la place principale de Boulbon en passant par la bibliothèque
Les poètes du Scriptorium (Dominique Sorrente, Valérie Brantôme, Angèle Paoli, Olivier Bastide, André Ughetto,…) lisent des textes sur le thème « Écrits au fil de l’eau » au cours d’une pérégrination dans le village, marquée par plusieurs haltes. Les participants sont invités à partager des textes tirés de leur bibliothèque ou de leur crû…
12h30 à 14h : repas tiré du sac à la Petite Librairie des Champs
14h30- 16h30 : à la Petite Librairie des Champs Lecture-débat sur le thème « Poésie, vous avez dit collectif ? »
débat animé par Yves Thomas et Olivier Bastide. Lectures extraites du livre collectif « Le Scriptorium, Portrait de groupe en poésie », BoD 2010.
DIMANCHE 15 MAI 2011
à 15 heures à la Petite Librairie des Champs
Rencontre avec l'éditeur de NIHIL OBSTAT, Elise GRUAU et trois poètes des éditions LANSKINE : Jacques ESTAGER, Paul de BRANCION et Nathalie RIERA.
je ne suis plus l'absente de Jacques Estager est un voyage dans un temps incertain. Une écriture singulière qui nous emmène dans le silence du soir.
Temps mort de Paul de Brancion est une méditation sur le temps et la modernité.
Puisque Beauté il y a, de Nathalie Riera, est "le couronnement du jour qui passe". Chaque minute est sujet d'étonnement, chaque vie, si humble soit-elle, est l'objet d'un chant.
La Petite Librairie des Champs
Le moulin brûlé
04 90 43 94 82 ou 06 26 41 70 42
Sylvie Durbec
Le Moulin Brûlé
13150 Boulbon
France
04 90 43 94 82
06 26 41 70 42
21:56 Publié dans LECTURES PUBLIQUES, Nathalie Riera, Sylvie Durbec | Lien permanent | Commentaires (1) | Imprimer | | Facebook