29/01/2010
Anne Slacik
EXPOSITION
ANDRÉ DU BOUCHET
Aveuglément, peinture
Exposition du 29 janvier au 13 mars 2010
Présentation du livre peint d'Anne Slacik
Tableaux de Geneviève Asse, Miklos Bokor, Anne Slacik, Pierre Tal-Coat
22:06 Publié dans CLINS D'OEILS (arts plastiques) | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer | | Facebook
24/01/2010
Le bulletin des carnets d'eucharis - Février 2010 - N°19
EXTRAITS La fenêtre du wagon André Pieyre de Mandiargues Le lis de mer
PHOTOGRAPHIE Frédérico Alagna FRA DELRICO Artiste CoExtensif
&
NATHALIE RIERA Staccato Morendo (version sonore) sur le site Œuvres Vives
POESIE AVEC Florence Nöel Petit dégradé de lumière sur mosaïque d’herbes hautes
&
LES CAHIERS DE GARLABAN Mémoire sans tain Jean-Luc Pouliquen
Plossu cinéma à la galerie La Non-Maison & au FRAC Provence-Alpes-Côte d’Azur, Marseille
&
DU CÔTÉ DE CHEZ… JAMES JOYCE Ulysse (nouvelle traduction)
&
VIENT DE PARAITRE La chambre anéchoïque Loyan Clarisse éditions & Loques (une élégie) Dominique Quélen Fissile éditions
NOTE DE LECTURE de Loyan … CHRISTOPHE MANON Univerciel
&
PAR AILLEURS ………………….. REVUE NOUVEAUX DELITS – Cathy garcia - N°35
■ LES CARNETS D’EUCHARIS N°19
SUR CALAMEO http://fr.calameo.com/read/000037071d8d84eb943cf
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20/01/2010
Revue Nouveaux Délits N°35
R E V U E --------------------------------
Nouveaux Délits
Revue de poésie vive et dérivés
Cathy Garcia
N°35
2010, Odyssée de la femme.
AU SOMMAIRE
Délit métropolitain : Metropolis song de Gaëlle Josse (Yvelines)
Délits de poésie éparpillés :
Cristina Castello (Argentine), poèmes de son recueil tout frais Orage/Tempestad
Nathalie Riera (Var), extraits d’un recueil tout frais lui aussi, ClairVision
Cathy Garcia (Lot), nouvel extrait des Chroniques du hamac
Délit tramé : Beb Kabahn (Pyrénées-Atlantiques)
Délits en morceaux de choix avec Jany Pineau (Loire-Atlantique) et Marlène Tissot (Drôme)
Illustratrice : Cathy Garcia
http://ledecompresseuratelierpictopoetiquedecathygarcia.hautetfort.com/
Nous ne sommes plus rigides d’aspect cuir
Nous ne sommes plus antiques et vestales
Nous ne sommes plus obéissantes en jupon
Nous ne sommes plus épouses du Seigneur
Nous ne sommes plus gainées de dentelles barbelées
Nous ne sommes plus livides dans un bain de sang
Nous ne sommes plus vos béquilles de vair
Nous ne sommes plus naïves dans le duvet
Nous ne sommes plus nues sur le papier glacé
Nous ne sommes plus découpées en rondelles assemblables
Nous ne sommes plus muettes et domestiques
Nous ne sommes plus timides et nubiles
Nous ne sommes plus excisées du réel
Nous ne sommes plus issues de la côte biblique
Nous ne sommes plus des jeunes filles sages.
Anne Archet
in Ode à mes sœurs
Nouveaux Délits - Janvier 2010 - ISSN : 1761-6530 - Dépôt légal : à parution - Imprimée (papier recyclé) et diffusée par l’Association Nouveaux Délits - Létou - 46330 St Cirq-Lapopie
Directrice de publication, rédactrice en chef, maquettiste, illustratrice, plieuse, agrafeuse, colleuse de timbres : Cathy Garcia Correcteur : Michel Host
16:01 Publié dans Cathy Garcia | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer | | Facebook
L'anatomie de la Mélancolie - Shelley Jackson
vient de paraître
L'Anatomie de la Mélancolie
Shelley Jackson
traduit de l'anglais (USA) par Bernard Hoepffner
Editions José Corti, janvier 2010
Dans l’Anatomie de la Mélancolie, Robert Burton tente de faire l’anatomie d’un état de l’esprit, Shelley Jackson (née en 1963) tente, au contraire, de spiritualiser l’anatomie. Ce faisant, elle donne au lecteur tout le plaisir que l’on peut trouver dans les vieux livres de science que l’on connaît surtout aujourd’hui pour leur qualité littéraire. La Mélancolie de l’Anatomie, explore ce même territoire, celui des limites entre la littérature et la recherche scientifique, entre la citation à outrance et une écriture entièrement neuve, entre la religion et la fantaisie. Comme le dit l’auteur, « Si certaines de mes phrases sont d’une grande complexité, ce n’est rien quand on les compare à celles de Burton. »
Là où Burton pénètre dans le corps humain pour y chercher les liens entre l’esprit, la psyché et le corps tel qu’on le connaissait à la fin de la Renaissance (en fonction de la théorie des humeurs), Jackson imagine l’œuf, le sperme, le fœtus, le cancer, les nerfs, les godemichés, le flegme, les cheveux, le sommeil, le sang, le lait et la graisse comme extérieurs, séparés, influençant les humains, leur corps, leur culture, leurs relations, du dehors. Son livre est également structuré selon les humeurs, qui divisent le livre en quatre parties : Cholérique, Mélancolique, Flegmatique et Sanguin.
Jackson se concentre sur ce qu’elle appelle les « résidus » du corps, elle leur donne une vie séparée et imagine, avec humour, énormément d’imagination verbale et une très grande virtuosité de construction, comment les êtres humains peuvent interagir avec tous ces éléments dont ils font en général peu de cas.
Robert Coover a dit de Shelley Jackson qu’elle était un des talents les plus mûrs et originaux de sa génération.
Le cancer est apparu dans mon salon un jeudi entre onze heures et trois heures, je ne suis pas sûr du moment exact parce que je souffre d’attaques de migraine, et qu’il y a parfois des choses que je loupe, ou que je vois et qui ne sont pas là, des formes étincelantes telles des lames de déesses guerrières, des ailes de moulins transcendantaux. Une brindille portée par le vent pouvait très bien ne pas être remarquée quelque temps.
Il était à peine visible, une buée rose, tel un point injecté de sang dans l’air. Il était tellement petit qu’il n’était pas vraiment surprenant qu’il reste suspendu là, comme le ferait une plume immobile sur un courant d’air ascendant. J’ai du mal à l’admettre maintenant mais, quand je l’ai vu pour la première fois, je me suis dit qu’il était joli. Je l’ai poussé d’un souffle. Il est parti d’un côté, mais quand je l’ai recherché plus tard, il était revenu là où il était plus tôt.
Le cancer a grandi à une vitesse invraisemblable. Au début, je l’ai regardé avec curiosité, presque avec affection.
■ Lien : http://www.jose-corti.fr/titresetrangers/melancolie_anatomie_jackson.html
15:11 Publié dans José Corti | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer | | Facebook
16/01/2010
Bona Pieyre de Mandiargues (2)
TISSU TRANSPARENT
Gisait une terre, sous un ciel noir, qui fut peut-être son époux, si l’on veut donner figure de légende aux faits de neige et de pluie. Le vert pointu des seins crevait le blanc. Je sortis de la chambre froide pour chercher un caillou qui fût capable de feu. Et je trouvai au creux d’une boule de silex, l’ayant par mégarde rompue, les cristaux les plus splendides que j’eusse jamais vus, embués pourtant par quel nuage (oxyde) ? – d’un peu de flou, comme larme sur un bel œil, ou, le cœur me hèle, ce tissu transparent sur l’épaule de Bona.
(André Pieyre de Mandiargues, Astyanax, avec des peintres de Bona, Paris, Le Terrain Vague, 1957)
20:25 Publié dans Bona Pieyre de Mandiargues | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer | | Facebook
Bona Pieyre de Mandiargues (1)
Bona Tibertelli de Pisis
(épouse Pieyre de Mandiargues)
Peintre Ecrivain
(1926-2000)
L A P A U S E A R T P O E S I E
© Bona Pieyre de Mandiargues et André Breton en 1956.http://www.andrebreton.fr/
(Institut Mémoires de l’Edition Contemporaine)
Née à Rome, Bona Tibertelli De Pisis, nièce du peintre de l’école métaphysique Filippo De Pisis, s’engagea dans la voie de la peinture pendant la Seconde Guerre mondiale. Lors d’un séjour à Paris avec son oncle, elle rencontra André Pieyre de Mandiargues (1909-1991) qu’elle épousa en 1950. Considérée comme l’une des artistes majeures du renouveau du surréalisme au féminin, elle exposa en Italie et à Paris. Également traductrice de l’italien et écrivain, elle publia La Cafarde (Mercure de France, 1967) que son mari qualifia de « petit récit assez fantasque et terrible », une autobiographie, Bonaventure (Stock, 1977) ainsi que des poèmes, À moi-même (Fata Morgana, 1988). Peu de temps avant sa mort, elle rédigea en italien un livre de souvenirs d’enfance, Vivre en herbe (Gallimard, 2001).
© Bona et André Pieyre de Mandiargues
D’autres sites :
Bona, l’art et la littérature : les enjeux d’une poétique du fil[1]
Par Magali CROSET
Chercheur-associé à l’IMEC
(Institut Mémoires de l’Edition Contemporaine)
http://melusine.univ-paris3.fr/astu/bona.htm
19:54 Publié dans Bona Pieyre de Mandiargues | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer | | Facebook
12/01/2010
staccato morendo, Nathalie Riera (texte sonore)
16:29 Publié dans LECTURE SONORE, Nathalie Riera | Lien permanent | Commentaires (1) | Imprimer | | Facebook
08/01/2010
Bulletin d'eucharis n°18 - Janvier 2010
■ LES CARNETS D’EUCHARIS N°18
TELECHARGEMENT PDF carnets d'eucharis_n°18_janvier 2010.pdf
Sur Calaméo :
carnets d'eucharis_n°18_janvier 2010
SOMMAIRE………
Extraits Sable mouvant Pierre Reverdy La fonction poétique
PHOTOGRAPHIE Gilles Hutchinson Portraits serrés
&
NATHALIE RIERA Staccato Morendo sur le site Œuvres Vives
POESIE AVEC Sylvie Durbec Marseille, Eclats & Quartiers
&
Matthias Olmeta Galerie du Tableau du 11 au 16 janvier 2010
&
DU CÔTÉ DE CHEZ… FLANNERY O’CONNOR Les Braves gens ne courent pas les rues & autres extraits de Mystère et manières
VIENT DE PARAITRE L’anatomie de la Mélancolie Shelley Jackson Ed. José Corti
&
PAR AILLEURS ………………….. CIP Marseille – RICHARD SKRYZAK La constellation du vidéastre Lecture le 27 novembre 2009
■ LES CARNETS D’EUCHARIS N°18
SUR CALAMEO http://fr.calameo.com/read/000037071799eb7545b8f
21:40 Publié dans LES CARNETS D'EUCHARIS (pdf & calaméo) | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer | | Facebook
GUERNICA Alain Resnais - Robert Hessens
MARIA CASARES
(1922-1996)
GUERNICA, Alain Resnais
Texte de Paul Eluard dit par Maria Casarès
15:30 Publié dans VIDEOS, ANIMATIONS, DOCUMENTAIRES | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer | | Facebook