07/02/2010
William Bronk
« Les poèmes de Bronk sont on ne peut plus éloignés de “rêveries philosophiques”. Ils font partie d'un flux de pensée vivant. Par la rigueur de leur pensée, par la précision de la voix, par leur pureté de forme et leur clarté aveuglante, ils sont d’une beauté qui étonne » (George Oppen)
Prix Maurice-Edgard Coindreau 1994
Le monde, le sans-monde
(The World, the worldless)
Traduit par Paol Keineg • Edition bilingue
Circé éditions
08:44 Publié dans 4EMES DE COUVERTURE, Circé, william Bronk | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer | | Facebook
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