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Les carnets d'eucharis n°29 - juillet&août 2011
Les carnets d’eucharis n°29
Juillet/Août 2011
[SOMMAIRE………]
Lilya Corneli
Photographe contemporaine
Thierry Michau - Eric Perrot
« Mon journal de ton voyage » LA GALERIE LE REALGAR
DU CÔTÉ DE…
Jacques EstagerLa nuit, Pierrot et Pierrot
Boris PasternakMa sœur la vie & autres poèmes
EDITIONS CHAMP VALLON ETIENNE FAURE Horizon du sol
EDITIONS TARABUSTE CLAUDE MINIERE JE HIEROGLYPHE
AUPASDULAVOIR
JOS ROY Ilbide
■■■Nadja Einzmann
Traduction inédite de Chantal Tanet■■■
George Oppen … Henri Cole
DES LECTURES
Sylvie Durbec La huppe de Virginia Une lecture de Nathalie Riera
REVUE
DIPTYQUE N°2
Au format livre numérique/CALAMEO
Au format PDF Les carnets d'eucharis n°29_juillet&août 2011.pdf
31/07/2011 | Lien permanent
Le bulletin d'eucharis n°13 du 14 septembre 2009
N°13
14 septembre 2009
Evelyn Nesbit Thaw (1884-1967)
- Ne respirez plus !
Je n’étais pas chez le photographe. J’étais dans le service de radiologie de Reykjavik. C’est le mot de toute société à ses citoyens : « Ne respirez plus. »
(ch. VI, p.25) – Les ombres errantes, Pascal Quignard
© Editions Grasset & Fasquelle, 2002
SOMMAIRE………
Extraits de Les ombres errantes de Pascal Quignard
&
Anne Slacik GRANDES PEINTURES Galerie l’Or du temps
La dernière épopée Charles-Mézence Briseul (Note de lecture Pascal Boulanger)
POESIE AVEC Roberto Mussapi Paroles du plongeur de Paestum
Non Vernissage LA PILE vouée à disparaître Galerie La Non-Maison
PHOTOGRAPHIE AVEC Thierry Cardon
&
DU CÔTÉ DE CHEZ… CLAUDE SIMON et Le Palace
GALERIE REMARQUE Deux Noyaux Pour Commencer La Journée Stéphanie Ferrat & Hélène Sanguinetti
&
PAR AILLEURS ………………….. La fureur du monde Salon du Livre Mouans-Sartoux
12/09/2009 | Lien permanent
RADIO ZIBELINE - Entretien avec Nathalie Riera, poète et fondatrice de la revue ”Les Carnets d'Eucharis”
À propos des Carnets D’Eucharis – Nathalie Riera
Nathalie Riera est poète, elle dirige la revue « Les Carnets d’Eucharis » qu’elle a fondée sous forme électronique en 2008 sur internet, et qui s’est enrichi d’un volume annuel, décliné sous forme papier depuis 2013. Une revue qui a fait l’objet d’une présentation le 31 mars dernier au cipM, à la Vieille Charité, par Nathalie Riera, Richard Skryzak et Alain Bourges.
L’occasion d’un entretien à propos de cette revue, en compagnie de Nathalie Riera.
Par Alain Paire
Une émission imaginée et réalisée par WRZ en partenariat avec le cipM.
Photo : Alain Paire, Nathalie Riera & C. M. Voiry © Claude Brunet
05/04/2017 | Lien permanent
La Traverse du Tigre, De Lausanne à Genève (mars 2017)
Lausanne, du 17 au 19 mars 2017.
|Photo : © Nathalie Riera
Marion Graf présentait à Bibliomédia Un Danube poétique
(la Revue de Belles-Lettres, [rbl] 2016, 2).
|Photo : © Nathalie Riera
Si pour son cent-quarantième anniversaire, La Revue de Belles-Lettres se transforme en un long fleuve turbulent, ce n’est certainement pas, trente ans après le livre fondateur de Claudio Magris, dans le but de cultiver la nostalgie, mais bien pour se tourner vers le présent, cette Europe danubienne d’aujourd’hui. Devant les déchirures et la fabuleuse complexité de ces vastes espaces, et face au défi de renommer sans cesse – là-bas comme ici – des identités instables, exilées souvent, la poésie plus que jamais nous paraît nécessaire, car porteuse d’une réalité partagée et d’une vérité critique, démultipliée dans ses voix singulières.
[Extrait de « Liminaire » Marion Graf pour le comité de rédaction]
Un intermède musical avec Béla Bartók
|Photo : © Nathalie Riera
Nathalie Riera présentait à Bibliomédia La Traverse du Tigre
[Hors-série 2017 – Poésie Suisse romande]
|Photo : © Claude Brunet
Dans un monde en perte de mémoire et de calme, l’écriture en Suisse romande apparaît comme un recours. Sur fond d’inquiétude, elle se tourne vers l’autre, cherche des accords, une alternative à la solitude ou à la terreur. En résonance avec des figures amies, des paysages traversés, qu’ils soient du présent ou de l’enfance, passant outre la désillusion, elle emprunte aussi le langage de la mort, le plus court, interpelle la beauté.
[Extrait de « Pour la Traverse du Tigre, ouvrir le champ » Préface de Laurence Verrey]
Genève, du 19 au 21 mars 2017.
|Photo : © Nathalie Riera
Lundi 20 mars, à l’Université de Genève
[De gauche à droite : Laurent Jenny & Martin Rueff pour la revue Po&sie (Afriques 1&2),
Sylviane Dupuis, Marion Graf, Laurence Verrey et Nathalie Riera]
|Photos : © Claude Brunet
29/03/2017 | Lien permanent
Petit Dictionnaire ”Hors-Champ” de l’art Brut au cinéma
NOTE DE LECTURE
(Claude Darras)
L’art Brut consacré par le cinéma :
un ouvrage de référence
L’ouvrage est un fabuleux sésame qui ouvre au lecteur les portes d’un territoire d’exception, celui des rêves et de l’art Brut. Une manière de quitter le réel, ses pesanteurs et sa raison, non pour disparaître et s’anéantir, mais pour accéder à un univers de formes habité par les féeries de l’imaginaire et l’innocence de la liberté. Initiateurs du Petit Dictionnaire hors-champ de l’art Brut au cinéma, Pierre-Jean Wurtz, Michel Dumas et Jérôme Dugast ont dirigé, à partir de Rencontres tenues à Nice dès 1998, un travail considérable, scrupuleux et encyclopédique, sollicitant de nombreux contributeurs qui ont décrit ou analysé un peu plus de cent longs, moyens et courts métrages dévolus à une centaine de créateurs français (en majorité) et étrangers. Ces artistes-là associent la passion des matériaux à une démarche primitiviste qui se fiche des critères académiques. Ils récusent toute école, tout héritage, toute tradition. Et ils n’ont pas attendu que Jean Dubuffet invente la notion d’art brut, en août 1945, pour mettre au jour des univers peints, sculptés, gravés, bâtis, cimentés, brodés ou tissés, des ouvrages nés spontanément, parfois dans la clandestinité, et délivrés de toute prétention culturelle. Notre siècle et les suivants n’épuiseront pas l’inventivité de ces autodidactes, fous, marginaux, médiums, révoltés, outsiders et autres singuliers. Certains d’entre eux ont été récupérés par le système des musées et happés par les sirènes de l’art officiel qu’ils ont passé leur vie à combattre. Le Petit Dictionnaire élargit le cercle notoire des Gaston Chaissac, Ferdinand Cheval, Chomo, Joseph Crépin, Augustin Lesage, Robert Tatin (France), Aloïse (Suisse), Alfonso Angel Ossorio (Philippines), Simon Rodia (Italie), Bill Traylor (États-Unis) et Scottie Wilson (Canada) à une kyrielle de contemporains moins connus du grand public : Pierre Avezard dit « Petit Pierre », Danielle Jacqui, Ciska Lallier, Francis Marshall, Claude Massé, Gaston Mouly, Raymond Reynaud, Pépé Vignes (France), Nek Chand (Inde), Angel Inigo (Cuba), José Miguel (Portugal) et Giovanni Podestà (Italie). Le philosophe Christian Delacampagne, l’historien et réalisateur de télévision Pierre de Lagarde, la cinéaste Agnès Varda et l’architecte Alain Bourbonnais figurent au générique de l’inventaire filmique attestant des interrogations suscitées par le mouvement pictural chez des intellectuels de tous horizons. Préfacé par le peintre provençal Pascal Verbena (qui a été filmé par le documentariste Philippe Lespinasse), cet ouvrage de référence porte en épigraphe une perle d’un autre « artisan » de la spécialité, le facteur poète Jules Mougin (filmé par Andrée Appercelle et André Leroux) : Trouver de la poésie dans un guidon de vélo, un bouton de porte, une paire de souliers ; émouvoir avec des objets aussi banaux : tuyaux de locomotives, gouttières, tas de cailloux ; s’occuper enfin de cela. Dans le dictionnaire aux quelque deux cents pages, l’écriture ajoute au septième art quelques belles lignes de fuite aux jeux de la perspective si bellement tracée. Unique regret, l’absence d’illustrations à défaut de rushes, d’extraits de tournages.
© Claude Darras, mai 2010
Petit Dictionnaire "Hors-Champ" de l’art Brut au cinéma (les éditions de l’Antre, 2008).
L’ouvrage est disponible dans les lieux suivants :
Librairie Masséna, à Nice, 55, rue Gioffrédo 06000 Nice 04 93 80 90 16; librairiemassena.com ; Musée de l' Art Brut à Lausanne ; Halle Saint Pierre à Paris. On peut le commander auprès du président de l’association Hors-Champ, Pierre-Jean Wurtz, à l’adresse numérique pierre-jean.wurtz@orange.fr Tarif public : 20 euros.
Nous vous recommandons également l’ouvrage « Art brut, l’instinct créateur », de Laurent Danchin, dans la collection Découvertes Gallimard, n° 500.
23/05/2010 | Lien permanent
Annette Messager
Lecture de
Claude Darras
ARTS
La cosmogonie fantastique et sentimentale d’Annette Messager
© Les carnets d’eucharis, 2012
Au fil des années, les vertus de l’expertise confortent le bien-fondé des monographies d’exception. Parmi celles-là, la « lecture chronologique » de l’œuvre d’Annette Messager à laquelle se livre Catherine Grenier témoigne de l’attention exigeante que l’historienne d’art et conservateur général du Patrimoine porte à la lionne d’or de la Biennale de Venise 2005 (primée pour son installation Casino). Chez l’artiste (née en 1943, à Berck-sur-Mer, dans le Pas-de-Calais), la critique d’une condition féminine dévaluée et meurtrie est omniprésente, implacable et ironique. Elle survient après quatre années à l’École parisienne des arts décoratifs, dès la décennie 1970, années de sa première exposition personnelle (1973, musée Lenbachhaus à Munich). Jean Dubuffet et André Breton inspirent l’héritière de la double passion d’un père architecte pour l’art brut et le spiritisme des peintres - ouvriers ou mineurs de fond du pays natal. S’écartant d’emblée des académies et des plâtres prônés dans les écoles traditionnelles, elle inventorie une multitude d’objets qui datent mieux que le carbone 14 des « périodes » particulières où dominent les arts populaires, les matériaux de rebut, les médias (publicité et cinéma), les contes de fées et la photographie d’amateur. Œuvres murales, graphiques, textiles, mobiles, sculpturales et d’installation, elles sont brodées, peintes, modelées, marouflées, éclairées ou soufflées, mettant en scène choses et gens, animaux et reliques, souvenirs et bribes d’actualité. Proverbes et Sentences, Tortures volontaires, Perversions ridicules, Mes jalousies, Les Piques, Chimères, Mes petites effigies, Continents noirs : l’ordinaire de la matière des formes et des œuvres compose une cosmogonie fantastique et sentimentale où la religiosité et l’érotisme dérèglent les sens de l’observateur tandis que l’amour et la souffrance minent sa sérénité.
« Annette Messager n’a jamais écrit de manifeste, plaide Catherine Grenier, plutôt des comptines, des digressions, des aphorismes. L’objet de sa quête n’est pas la vérité, mais la réalité. Son langage n’est pas naturaliste, mais poétique. Pourtant, tout en nous entraînant délibérément dans les chemins de traverse, elle nous montre d’œuvre en œuvre la radicalité d’un investissement artistique qui a la valeur d’un manifeste et l’éclat de la vérité. »
Annette Messager, par Catherine Grenier, éditions Flammarion, 240 pages, 2012.
© Claude Darras, Les carnets d’eucharis, 2012
22/11/2012 | Lien permanent
Revue Place de la Sorbonne, par Tristan Hordé
REVUE PLACE DE LA SORBONNE
revue annuelle, éditions du Relief, 15 €
Annuel n°2 – Mars 2012
On ne dit rien de remarquable quand on insiste sur le rôle essentiel des revues, quel que soit leur tirage (souvent modeste) et leur fréquence, pour la diffusion de la poésie : à côté d'auteurs bien connus, qui attirent l'acheteur, bien des auteurs nouveaux trouvent là un support indispensable. Leur diversité reflète la variété du paysage poétique en France, qu'elles soient pour l'essentiel consacrées à la poésie — Action poétique, Dans la lune, N4728, Nu(e), Rehauts, Triages, etc. — ou accordent une part plus ou moins importantes à d'autres formes de littérature, aux arts et à la lecture des œuvres — Conférence, L'Étrangère, Europe, Friches, Fusées, Il Particolare, Thauma, etc.1 Il faudrait ajouter la riche floraison de sites et blogs qui, sans les remplacer, complètent le rôle des revues papier.
En tout cas, l'arrivée d'une nouvelle revue ne peut que réjouir. Le second numéro de Place de la Sorbone, qui a pour sous-titre "Revue internationale de poésie de Paris Sorbonne", a vu le jour en mars. Son rédacteur en chef, Laurent Fourcaut, poète, est aussi un universitaire fin connaisseur de la poésie contemporaine, à laquelle une large pace est donnée (le 1/3 de la livraison), avec des poètes reconnus — de Marie-Claire Bancquart, Charles Dobzynsky à Jean-Pierre Verheggen —, d'autres beaucoup moins. Une large place est réservée à la poésie d'autres langues : Erich Fried pour l'allemand, Diane Glacy pour l'anglais des États-Unis, Rachel pour l'hébreu, David Rosenman-Taub pour l'espagnol du Chili ; les traductions, de qualité, sont toujours précédées du texte original, ce que ne font guère la plupart des revues.
Plusieurs rubriques prolongent ces deux ensembles. Dans cette livraison, Michel Collot, dont on connaît les travaux sur la poésie, donne des pistes pour s'y retrouver dans "le paysage brouillé de la poésie française contemporaine" ; d'une manière fort différente, Lionel Ray éclaire lui aussi dans un entretien la situation de la poésie vivante, tout comme le font les réflexions sur la question du sens de Jean-Claude Pinson.
Il faut ajouter "Contrepoins" avec les picto-clichés de Roxane Maurer et leur lecture, "Vis-à-vis" où un poème (de Claude Ber) est commenté, et des notes de lecture qui ne privilégient pas des ouvrages récents mais s'apparentent, un peu trop, plus à de mini monographies qu'à des notes. La revue (372 pages) est éditée sur un beau papier, avec une mise en pages aérée, une typographie bien lisible, et son prix (15 €) est modique. Longue vie à cette Place de la Sorbonne !
© Tristan Hordé
© Nathalie Riera, avril 2012
13/04/2012 | Lien permanent
Carnets d'eucharis n°9 du 8 juin 2009
© Acrylique sur bois, 2008 : Anne Brérot – OBJETS – « Des creux et des bosses » - Site
●●●●●●●●●●●●Poésie & Arts
plastiques●●●●●●●●●●●●
Rouge. Splendeur tout juste érubescente.
Rouge or et orange. D’abord
sur les pointes
des haies, des buissons,
puis dans les champs,
puis le long des ruisseaux ;
encore un peu embrumée,
l’herbe des enclos ;
tranquille dans cette lumière,
dans cette humeur,
le pâtis des chevaux –
est-ce un rêve
ou le premier véridique visage
du monde à son réveil ?
(…)
« De tout ce que j’ai prodigué
in abundantium et gratuitement
sans qu’on m’en soit reconnaissant,
qu’en est-il ? est-ce inutile, est-ce perdu,
ou bien est-ce la mathématique céleste
qui l’administre, impitoyable ?
Mario Luzi
Extrait A l’image de l’homme (7) – pp.136-137 - Traduit de l’italien par Jean-Yves Masson
2004, Editions Verdier pour la traduction française.
N°9
SOMMAIRE………
Virgil Brill/La chambre noire d’Eros par Claude Darras
Extraits de A l’image de l’homme de Mario Luzi
Pôle Arts Visuels Ouest France… Expo Claude Viallat
Isabelle Guigou, Brighton West Pier, note de lecture par Loyan
Jérome Rothenberg, Les Techniciens du sacré
&
GUIDU ANTONIETTI DI CINARCA Architecte plasticien
&
PAR AILLEURS ………………….. Claudine Bertrand
05/06/2009 | Lien permanent | Commentaires (2)
Les Carnets d'Eucharis & La Traverse du Tigre (Agenda, Printemps 2017)
LES CARNETS
D’EUCHARIS
& La Traverse du Tigre
AGENDA
Printemps 2017
■ SAMEDI 11/03/2017
Exposition TALENTS DE FEMMES – ART & ARTISANAT – FEMMES EN CRÉATION
(Du 04 au 12 mars 2017)
FORUM DU CASINO
3, avenue Ambroise Thomas
83400 HYÈRES
De 16h à 17h, des lectures avec les poètes Albertine Benedetto, Colette Gibelin, Nathalie Riera, Gisèle Sans.
L’Atelier des Carnets d’Eucharis tiendra un stand toute la journée pour présenter les nouveaux numéros de la revue et son hors-série 2017.
■ DIMANCHE 19/03/2017
Marché des éditeurs romands de poésie
(Du 13 au 25 mars 2017)
Rencontres, lectures, ateliers et tables rondes
BIBLIOMEDIA
Rue César-Roux 34
1005 LAUSANNE (Suisse)
http://printempspoesie.ch/wordpress/programme/
De 11h à 17h
En présence de 10 éditeurs romands : L’Aire, Couleurs d’encre, d’autre part, d’en bas, Eliane Vernay, Encre fraîche, Héros-Limite, Des Sables, Samizdat, Traces ; et des revues : L’Épître, L’Ours Blanc, La Revue de Belles-Lettres (RBL), La Traverse du Tigre, Viceversa Littérature.
■ LUNDI 20/03/2017
Passages en revues : de l’Afrique à la Suisse romande, en passant par le Danube
BIBLIOTHÈQUE DE L’UNIVERSITÉ DE GENÈVE
Site Uni Bastions, Espace Jura, rez-de-chaussée,
1205 GENÈVE (Suisse)
de 18h à 20h
Avec Nathalie Riera, Laurent Jenny, Claude Mouchard, Marion Graf.
Les revues sont un lieu de prédilection de l’activité poétique. Elle s’y écrit, elles la diffusent. Nous vous convions à rencontrer trois revues vivantes qui tentent de déplacer la poésie hors des frontières. Chacune consacre un numéro spécial à une aire géographique intense et méconnue.
– pour la Revue Les carnets d’Eucharis : Nathalie Riera (n°spécial « La Traverse du Tigre »)
– pour la Revue Po&sie : Laurent Jenny et Claude Mouchard (n°spécial « Afriques »)
– pour la Revue de Belles Lettres : Marion Graf (n° spécial « Un Danube poétique »)
Modérateurs : Sylviane Dupuis, Martin Rueff.
■ VENDREDI 31/03/2017
Présentation des Carnets d’Eucharis au cipM
CENTRE INTERNATIONAL DE POÉSIE MARSEILLE
Centre de la Vieille Charité – 2, rue de la Charité
13002 MARSEILLE
À partir de 19h
Avec les interventions de Nathalie Riera, Richard Skryzak et Alain Bourges.
09/03/2017 | Lien permanent
Revue Diérèse N°56
■ Thierry Metz © Françoise Metz
Thierry Metz
Poète
(1956-1997)
■ LIEN : http://diereseetlesdeuxsiciles.com/57374.html
La revue Diérèse, créée il y a quatorze ans par Daniel Martinez, s'attache à publier des textes inédits d'auteurs du monde entier. Elle propose aussi des textes de réflexion autour de livres et de films. Chaque numéro comporte environ 270 pages. Elle a notamment publié des textes de Jean-Claude Pirotte, Michel Butor, Pierre Dhainaut, Isabelle Lévesque, Henri Meschonnic (+), Max Alhau, Bernard Noël, Lionel Ray, Richard Rognet, Jean Rousselot (+), Chantal Dupuy-Dunier, Jacques Ancet, Ariane Dreyfus, Françoise Hàn, Yves Charnet, Joël Vernet...Le numéro 52/53, déjà entièrement consacré à Thierry Metz, est toujours disponible.
Diérèse n°56 (mai 2012) est consacré à Thierry Metz : Poèmes inédits, lettres, dédicaces, photographies... Dossier dirigé par Daniel Martinez et Isabelle Lévesque. Avec des textes de : Sophie Avon, Gérard Bocholier, Lionel Bourg, Gérard Bourgadier, Eric Dazzan, Pierre Dhainaut, Bernadette Engel-Roux, Gilles Lades, Paul Leuquet, Isabelle Lévesque, Daniel Martinez, Jean-Michel Maulpoix, Hervé Planquois, Nathalie Riera, Joël Vernet, Muriel Verstichel, Christian Viguié... Illustrations de Denis Castaing et de Michel Bourçon.
29/03/2012 | Lien permanent